Hautbois

drap mortuaire qui est une pièce de tissu dans laquelle on enveloppe le cadavre). Deuxièmement, l’exposition du mort (la prothésis). Troisièmement, a lieu le transport du mort au petit matin sur un chariot ou un brancard vers la nécropole au son des hautbois (instrument de musique à vent) et des sanglots des pleureuses. Quatrièmement, l’inhumation du cercueil en bois que l’on enferme dans un tombeau souterrain, aérien ou une incinération sur un bûcher. Les cendres et ossements étaient recueillis dans

bon ! Énumération plus ou moins longue de termes. Ex : Adieu, veau, vache, cochon, couvée. ( La Fontaine ) ( excès, amplification ) Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. (Voltaire) C’est une énumération de termes organisée de Ex : Va, cours, vole et nous venge ! (Corneille) façon croissante ou décroissante. Je me meurs, je suis

de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité, Vaste comme la nuit et comme la clarté, Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. II est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, - Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens. Le poème correspondances

continue (plus souvent le clavecin) et de temps en temps un instrument à vent. L’évolution de cet orchestre : une trentaine de musiciens, toujours un orchestre à cordes mais ici les instruments de la famille des bois sont présents par 2 (2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 1 ou 2 bassons et 2 cors) auxquels sont 2 timbales (accordées sur tonique-dominante), il se développe grâce à l’apparition de la symphonie et par le développement du concert public. Ce nouvel orchestre permet de faire des oppositions

avait rien de « si […] ordonné que les deux armées », la rime en /é/ des termes « ordonné » et « armée » appuie l’idée de perfection esthétique [Bien] . Ensuite, le narrateur associe la guerre à un orchestre de « trompettes », de « fifres », et de « hautbois ». L’usage du champ lexical de la symphonie montre une vision harmonieuse de la guerre Bien, la description des instruments allant dans le même sens que l’ordre des armées. De plus, quand le narrateur déclare que « les canons renversèrent » [Quoi

dans le ¨meilleur des mondes possibles¨. Ton ironique : démontre l’absurdité de la guerre = plutôt une grande pièce de théâtre ou tous jouent un rôle de figurant, car il n’y a pas de vrai héros. | Énumération | «Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons» (p.15, 139-140) | Le solennel accueil qu’offre l’harmonie exprime, sur un ton sarcastique, le grandiose évènement qu’est la guerre. En incluant les canons, Voltaire dénonce le ridicule de la guerre qui aux yeux des soldats

composée en 1995, autour des bruits de la ville de New York aux États-Unis, elle est une des œuvres les plus connues du compositeur américain de musique minimaliste. Comme toute symphonie, City Life contient un orchestre mixte : deux flûtes, deux hautbois, deux clarinettes, deux pianos, deux claviers à échantillons (électronique, MIDI, synthétiseur), deux vibraphones, trois ou quatre percussions, un quintette à cordes (deux violons, violoncelle et un alto) et une contrebasse. Représentation de City

orale dont il ne subsiste que quelques rares traces. Durant toute cette longue période, apparaissent simultanément en Europe des instruments de musique inconnus jusqu’alors. Rapportés d’Orient par les Croisés, ces instruments à cordes frottées, ces hautbois primitifs et ces percussions orientales donneront naissance aux ancêtres des instruments actuels de l’orchestre et permettront diverses compositions destinées à la danse. La littérature au moyen age La littérature médiévale en France correspond

jardin de Ryoan-ji, attire par son ordonnance numérique et sa mystérieuse abstraction minérale. Impressionné par sa première visite du jardin en 1962, John Cage dessine et compose entre 1983 et 1985 cinq pièces du même nom, pour voix, contrebasse, hautbois, trombone et flûte, accompagnées par une seule et même partition de percussion. Les dessins et les gravures de John Cage sont indissociables de son langage musical. Il détermine dans cette pièce les événements sonores au hasard des courbes accidentées

les classes sociales. Ils ne font pas parti du même monde. Passage 2 : Passage 3 : Il se moque de la guerre. Avec comme phrase «  si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les armés » l.68 ou encore « les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie. » l.69 qui nous fait penser qu’on regarde un opéra ou un spectacle alors que malheureusement non ! Il montre le plaisir que prennent les deux armés à être en guerre alors que des milliers de gens