Hayek Capitalisme

1) l'age d'or des 30 glorieuse Au lendemain de la seconde guerre mondiale Tirans les leçon de la crise de 1929 et de la 2d guerre mondial une grande majoritée des citoyens du monde a estimée legitime que l'etat intervienne pour reglementer le capitalisme Shématiquement , le monde de l'aprés guerre dénomer 30 glorieuse a été construit autour des idées de 3 hommes Ford , Beveridge , Keynes : -Le Fordisme , une théorie des bienfaits des hauts salaires il explique , qu'il n'existe pas de prospérité

(intangibles). Vers le 15ème siècle schisme au sein du monde chrétien Protestantisme et capitalisme M.Weber (1864-1920) « Ethique protestante et esprit du capitalisme » (1905) RATIONALISATION DES ACTIVITES Réforme protestante : scission dans le monde chrétien entre les catholiques et les protestants (16ème siècle) Il existe des affinités électives entre le protestantisme de l’esprit du capitalisme grâce à une approche plus rationnelle du monde Chez Luther (1483-1546) : Profession-vocation :

Le capitalisme se réduit-il à une économie de marché ? Le capitalisme est un système économique fondé sur les principes de la propriété privée des moyens de production, la liberté d’entreprendre, la recherche du profit, l’accumulation du capital et sur le salariat. L’économie de marché s’est développée dans le cadre du capitalisme au cours du XIXe, XXe siècle, elle désigne un système économique caractérisé par un marché compétitif dans lequel les prix sont déterminés uniquement par la loi de

socialisme utopique et du «socialisme libertaire» des anarchistes. Le courant de pensée marxiste, en s'imposant comme une idéologie de référence du courant socialiste, se veut porteur d’un socialisme scientifique qui est fondé sur une analyse du capitalisme. Jusqu’en 1945, le Marxisme est l’essentiel de la pensée socialiste qui demeure une des plus importantes d’Europe De plus en plus de « sous courant » appartenant au socialisme B) Le libéralisme en opposition avec le socialisme

Fiche de lecture : Comprendre le capitalisme Chapitre 1 : Quelles sont les origines du capitalisme ? Bien qu’employé par les sociologues français du 19ème siècle, ASSELAIN fait remarquer que sans l’œuvre de MARX, le terme « capitalisme » n’aurait probablement pas acquis l’ampleur qu’il a aujourd’hui. Mot qui va connaître son essor au 20ème grâce aux travaux des sociologues-économistes allemands, qui vont s’éloigner de l’approche marxiste. 1/ Le capitalisme : un produit du développement des

Progrès technique et évolution économique Capitalisme, innovation, entrepreneur, destruction créatrice, cycles...tels sont les mots clés de la pensée de Schumpeter. Plus qu'un simple économiste, Schumpeter est un penseur des sciences sociales. A ce titre, on peut le situer aux côtés des plus grands (Smith, Marx, Keynes, Hayek) que l'on peut lire sous d'autres angles que la science économique: sociologie, psychologie, politique...Son célèbre livre Capitalisme, socialisme et démocratie (1942) en est

variation des quantités et non par la variation des prix. Marshall va mettre en évidence la notion d’élasticité. MARX Le capitalisme est par nature dynamique. Au cœur du capitalisme, le principe de l’accumulation du capital qui nécessite que l’économie se mondialise. Il observe la mondialisation et la marchandisation : tout fini en marchandise. Selon Marx, le capitalisme connaît des crises. L’accumulation du capital n’est pas toujours possible : donc crise. 3 types de crises : - crise de

Selon Keynes le chômage involontaire est dû à une insuffisance de la demande effective, qui est toujours inférieure au niveau qui assurerait le plein emploi, Qui est son principal opposant à l'époque? Son principal opposant était Friedrich Hayek, qui développa une théorie de la politique monétaire tout à fait contraire aux idées keynésiennes. Quelle est la thèse de Keynes dans chaque ouvrage? Dans La pauvreté dans l'abondance Keynes établit un constat de la politique et de l'économie

Malthus ne pensaient. De ce point de vue, Say peut être considéré comme le père de l’ultralibéralisme représenté aujourd’hui par les nouveaux économistes classiques (Thomas Sargent, Robert Barro et Robert Lucas) aussi bien que par les disciples de Hayek (Pascal Salin ou Philippe Simonnot en France). Ses écrits Traité d’économie politique (1803), éd. Calmann-Lévy, 1972. Catéchisme d’économie politique (1821), publié, avec d’autres textes, chez GF-Flammarion sous le titre Cours d’économie politique

cette question de la dignité fondamentale de chaque être humain. Puisant son inspiration dans le libéralisme classique d’un John Locke, le libertarisme connaît ses lettres de noblesse avec les économistes autrichiens Ludwig von Mises et Friedrich Hayek, et ses formulations les plus radicales avec des auteurs américains comme Murray Rothbard ou Robert Nozick. Pour les libertariens une société juste n’est pas une société heureuse, mais une société libre, c’est-à-dire composée d’individus souverains