Hayek Crises

se manifeste entre la conception de l'état gendarme et celle de l'état providence. Ainsi, l'autorité publique n'a jamais cessé d'intervenir dans la sphère économique et sociale tout au long des années. Les 3 guerres (1870 1914 1939) ainsi que les crises économiques (1929 1973 1979 2008) vont donner une nouvelle légitimité aux interventions de l'état. La période actuelle se caractérise néanmoins par une remise en cause du rôle et de la place de l'état dans l'économie - Exemple:-En France doit-on

créance engendre la dépense publique . Ainsi l état doit mettre en œuvre un politique qui va exercer aux individus l exercice de leur droit. §- considération économique , implique le rejet du principe de neutralité . A partir de 1880 , série de crises économique cycliques jusque a 1929. cette crise devient une crise structurelle , longue , qui fait apparaître l insuffisance les entreprises se tournent alors vers l intervention publique pour rétablir le libéralisme économique dans l entre

critiquait déjà l'État interventionniste. Il affirme : « L'État ira-t-il jusqu’à empêcher ses citoyens de vivre pour mieux les protéger d’eux-mêmes? » Puis viendront les critiques de penseurs et d'économistes libéraux comme Schumpeter et Friedrich Von Hayek. L’intervention économique et sociale de l’État est-elle indispensable ? Quels sont les obstacles et les objections au renforcement du rôle de l’État ? Quelles sont les évolutions de l’État Providence ? Tout d’abord, nous constaterons que l’intervention

chômage inflation et déflation. Prolongement des néoclassiques en incorporant le temps et la monnaie (différent de KEYNES). Pas d’échange tant que pas d’équilibre. Le rôle de la monnaie les néoclassiques n’en parlent pas car elle est neutre. Pour HAYEK la monnaie n’est pas neutre. 3.3.1 Les outils conceptuels hayékiens A. le détour de production Emprunt à E. Von Böhm Baverk : « cela désigne le fait que pour se procurer des biens de consommation dont il a besoin, l’homme va consacrer une partie

du patrimoine des ménages américains est égal à 50% du PNB de 1929. Ils vont alors changer leur comportement d'achat, restreindre leur consommation. 2) Les crises bancaires: En 1929, on assiste à de très nombreuses faillites bancaires. La crise de 1929 est aussi et surtout une crise bancaire et s'est transformée en dépression du fait des crises bancaires. Entre 1930 et 1932, des milliers de banques ont fait faillite et le nombre de banques a été divisées par deux, passant de 25000 à 12000, si les

donc des « vertus collectives ». Son analyse fait de la consommation une action tout aussi utile que l'épargne et annonce les thèses futures de John Maynard Keynes. Par d'autres aspects, elle préfigure le libéralisme économique et, selon Friedrich Hayek, « l'ordre spontané ». Influence des philosophes des Lumières Les philosophes des Lumières développent aussi des analyses économiques : Montesquieu est salué par Keynes pour avoir compris le premier le rôle des taux d’intérêt comme instrument de

les pouvoirs ». Il y dénonce le risque d'une administration, d'une bureaucratie, oppressive. Le citoyen doit résister au pouvoir, d'autant plus que le pouvoir est corrupteur. Les libéraux contribueront à sauver la République lors des différentes crises (boulangiste, affaire Dreyfus). => Le XXe siècle s'accompagne d'une montée des contestations du libéralisme politique. Il doit faire face d'une part aux doctrines socialistes et marxistes pour qui les libertés des libéraux ne sont que formelles

cette analyse avec la « loi des débouchés » (qu’on appelle également la loi de Say) selon laquelle l’Offre crée sa propre Demande. L’idée est que la production crée des revenus qui permettent d’assurer des débouchés à cette production. Dès lors les crises de surproduction sont impossibles. II°/ 3) c) Les théories du Libre-échange La conception mercantiliste voyait dans le commerce entre nations un jeu à somme nul dans lequel les gains des unes sont la contrepartie des pertes des autres. Les classiques

est supposé se gérer lui-même selon la loi de l'offre et la demande. Cette «loi», que Smith considère comme irréfutable, est constamment en train de varier. Cette condition entraîne des croissances, mais aussi des crises économiques importantes et surtout inévitables. Ces crises ont pour effet de réduire fortement la demande en produits, ce qui entraîne un ralentissement de la production et ensuite un taux de chômage élevé. La majorité, sinon la totalité des chômeurs font partie de la classe ouvrière

du désir que les hommes éprouvent pour les choses (théorie de la valeur utilité chez Say). On trouve un autre clivage important dans l'école classique, ainsi une partie des classiques décrivent un monde autorégulé par la « main invisible » où les crises durables sont impossibles (selon la loi dite « de Say ») tandis que d'autres craignent de voir la surnatalité provoquer la famine, dû à la croissance économique qui entraine un enrichissement de la population et donc un taux de mortalité décroissant