Hayek Crises

l’individualisme méthodologique Le tout est la somme des parties, et cela même si ces parties n’ont aucunement l’intention de constituer ce tout. On parle d’effet émergent pour désigner le résultat non intentionnel d’actions individuelles. Friedrich von Hayek prend l’image simple de la façon dont sont créés les chemins pour illustrer cette idée : « Au début, chacun cherche pour soi ce qui lui semble être le meilleur sentier. Mais le fait qu’un sentier ait déjà été suivi une fois le rend probablement plus

système de concession (mixte de gestion privé et d’objectif public). Ex : Air France. Ce qui a contribué à la croissance publique, ce sont les guerres qui ont été accompagnées d’une forte croissance et d’une augmentation de l’Etat ; mais aussi les crises telles que 1929, 1970 (crise pétrolière) qui ont entraînées une globalisation de l’économie, des difficultés industrielles, une augmentation du chômage, ce qui explique l’augmentation des dépenses publiques. Dès le XIXème siècle, la loi de Wagner

prenait en compte la hausse de la valeur du bien, et on autorisait l’emprunteur à se ré endetter du montant de la progression de la valeur de son patrimoine. Pour les économistes de l'école « monétariste », conduite par Milton Friedman, les crises bancaires sont la principale forme de crise financière. Milton Friedman est un économiste américain né le 31 juillet 1912 à New York et mort le 16 novembre 2006 à San Francisco, considéré comme l'un des économistes les plus influents du XXe siècle

“industrialisation tardive” de certains pays en retard de développement. Les marchés financiers internationaux permettent alors de remédier à une insuffisance d’épargne locale. Et si cette internationalisation financière s’est aussi traduite par des crises majeures qui ont redessiné les rapports de domination, elle n’a cependant pas permis à tous les pays d’opérer un rattrapage, en particulier dans le cadre du système colonial. Elle a aussi souvent accompagné un processus de domination qui a plutôt

formant une sorte de garde-fous. Une liberté dangereuse : Dans la conception de Tocqueville, la liberté est donc un danger pour la démocratie car il s’agit en réalité de la tyrannie du peuple ; on retrouvera par la suite cette même crainte chez Hayek. Dans l’ouvrage inachevé « L’ancien régime et la révolution », Tocqueville montre que la centralisation administrative n’est pas l’oeuvre de la révolution mais bien celle de l’ancien régime. Cette dernière n’a finalement fait qu’accélérer un processus

proche. La seconde phase, celle du XXe siècle, prolonge les problématiques historicistes et évolutionnistes du siècle précédent, mais la formation des « systèmes socialistes » réels introduit une nouvelle dimension à la grande comparaison. Le débat Hayek-Lange dans les années trente formule abstraitement plusieurs questions fondamentales : coordination et rationalité, rôle des prix, centralisation et décentralisation des décisions, efficacité respective des systèmes capitaliste et socialiste. L’analyse

à des difficultés de redressement financier (PME). Bien que cela soit totalement indépendant d’aucune volonté, les dissimilitudes entre chaque domaine participe au creusement des inégalités économiques parmi les pays développés. Enfin, les crises économiques qui se caractérisent par une période de récession, marquent davantage la différenciation entre les différents revenus : ceux du travail, comme expliqué ci-dessus, mais entrent également en compte les revenus du capital, du patrimoine,

- une liste des effets négatifs de la mondialisation au niveau économique et politique : Economique : perte relative de pouvoir et d’autonomie des Etats ; l’hégémonie américaine ; une interdépendance des marchés financiers qui peut causer des crises graves et très rapides de par le monde ; une instabilité chronique de la situation des individus, des entreprises, des peuples, due à la compétition permanente, et l’absence d’égalité des chances pour les pays les plus démunis ; Politique : la

importantes que les recettes (doc 3). Au contraire, l'Etat par sa volonté de relance keynésienne augmente encore plus ces variations. C'est ce qui nous amène à étudier les fondements de la politique de Keynes comparée au modèle néolibérale. Crises économiques, révolutions industrielles, guerres mondiales et effondrements de plusieurs régimes sont le fondement du XXème siècle qui laissera naitre de nombreux et variés courants économiques. On en retient deux principaux : le courant keynésien

thésauriser une partie de la richesse produite et met à mal la théorie des débouchés. Cette thésaurisation peut entraîner des crises de sous consommation, déflation, baisse des prix qui entraîne une baisse des revenus donc elle entraîne un cercle vicieux. Malthus va être reconnu par Keynes comme le premier Cambrigien, car Malthus est le premier à mettre le doigt sur les crises de consommation. Un certain nombre de ces auteurs classiques ce sont posés la question de la répartition et de la misère