Hayek Crises

jusqu’ici y avoir une relation de causalité entre inflation et absence de chômage. Avec l’avènement de la stagflation, cette relation ne « marchait » plus, ce qui faisait disparaître une recette bien pratique pour les gouvernants ! Comme souvent, les crises sont l’aiguillon qui permet de faire un pas en avant, et celle-ci a suscité l’émergence des concepts qui ont permis de faire la synthèse entre ce qu’il y avait de meilleur dans les contributions précédentes. En fait, les raisons qui faisaient que

industrialisés ont dû surmonter de nouvelles pressions économiques, d'abord liées aux chocs pétroliers de 19731974 et de 1979-1980, puis à l'intensification de la concurrence en provenance des pays asiatiques. Rappelons que les effets inflationnistes des crises pétrolières ont eu pour conséquence d'augmenter l'endettement des États, ce qui s'est traduit par le renforcement du pouvoir de négociation du capital financier, lequel constitue aujourd'hui l'acteur central des stratégies de globalisation. En outre

l’emploi. ⟹ 1974 = rupture de croissance. Commun à l’ensemble de l’Occident. Les performances des entreprises se resserrent dans la médiocrité. La croissance est divisée par 2 jusque dans les années 80. Les économies sont beaucoup + instables. 6 crises assez sévères depuis les années 70 : • 1er choc pétrolier (fin 1973) • 2ème choc pétrolier (fin 1979) • crack boursier d’octobre 1987 (baisse de 30 à 40 % pour les actions) • 1993 : guerre du Golfe (invasion du Koweït par l’Irak → pétrole) → montée

caractérisent l'économie marxiste: le travail, l'exploitation du prolétariat et les crises liées à l'accumulation de capital. Si Marx reprend la théorie de la valeur travail de Ricardo, il reproche à cet auteur de ne pas avoir analysé comment le système capitaliste avait émergé et comment cela avait donné aux capitalistes le pouvoir et la capacité d'exploiter les travailleurs qui n'ont que leur force de travail à vendre. Les crises s'inscrivent dans le cadre des lois de l'évolution du mode de production capitaliste

BIRD / FMI - OECE / OCDE - BIT - G 7 - Club de Paris.   PERSONNALITES / SELF MADE MEN - Dupont de Nemours - Rockfeller - Carnegie - Henry Ford - Taylor - Bouygues - J.L Lagardère   ECONOMISTES ALLAIS Maurice (Prix Nobel d'économie) HAYEK Friedrich HICKS John (cf modèle Hicks/Hansen) JEVONS W.S MALTHUS Robert MARSHALL Alfred MARX Karl MENGER Karl MILL John Stuart RICARDO David SAY Jean Baptiste SMITH Adam WALRAS Léon   ETAPES HISTORIQUES DU CAPITALISME : - Physiocrates

fonctionnement du mode productif qui change, + le partage reste calquer sur celui des années pré+ moins de profits car salaires moins importants >> baisse de profit + rentabilité,>>> changement dans les années 70-80. La crise de 1973 et 79 et 80= crises pétrolières ont entrainé un surcroit de l’inflation alors que les salaires étaient indexés sur l’inflation. Les coùts de production et à la consommation vont augmenter >> les E vont subirent le choc des prix importés, choc salarial car les salariés

effets de commerce de la Banque LANE, SON and FATHERS déclenche une crise de confiance. Dans le futur, comment éviter ces crises de confiance et comment réagir ? La suspension de la convertibilité de la Livre Sterling en 1797 s'est accompagnée d'une hausse des prix et d'une dépréciation du taux de change. Le retour de la convertibilité de la Livre en 1821 a été suivi de crises : 1825, 1837, 1839. A – Une marchandise spécifique : le point de vue de l'Ecole de la Circulation (Currency School) Principaux

économique à qui elle sera prêté afin de financer leurs propres dépense de consommation. Le rôle de la monnaie sera revu et corrigé de manière fondamental par les monétaristes et les keynésiens. D- L'explication des crises. La loi des débouchés de Say explique que les crises économiques comme des dysfonctionnements intersectoriel passagers car il pourra exister au même moment un déficit dans un secteur et un surplus dans un autre. Ce déséquilibre intersectoriel passager se traduit par un retour

répondent à des besoins. Ainsi l’économie connaîtra une expansion continue (ressources rares et besoins illimités = toujours s’efforcer à apporter des solutions pour satisfaire les nombreux besoins =il y aura toujours de la production) évitera les crises générales durables grâce à l’esprit d’entreprises . Dans ses conditions, la sous production ne peut résulter que des entraves dues à l’intervention de l’Etat. La surproduction quant à elle ne serait pas envisageable puisque chaque produit est un débauché

institution car valeur intrinsèque de l’objet qui sert de monnaie est quasi nulle. Pourtant les agents lui accordent une valeur qui est basée sur une relation de confiance. La fuite devant la monnaie est ainsi une caractéristique des périodes de crises graves notamment les périodes d’hyper inflation qu’on a connu dans l’Allemagne en début 1920 en Amérique latine en 1980. Les gens n’ont plus confiance dans les f° de la monnaie et la refusent. -Un fait culturel MM si on assiste à 1 marchandisation