Hébertistes

suédoise et Georges Demény. Et à propos de la gymnastique d’application entre : le sport qui se développe grâce aux lycéens et aux sociétés (mais deviendra indépendant du système scolaire après la loi des associations de 1901) et l’utilitarisme hébertiste qui ne s’affirmera réellement qu’après 1918. Ce sera seulement lorsque Georges Demény sera nommé professeur de physiologie en 1902 à Joinville que la gymnastique suédoise reculera peu à peu. Le manuel d’exercices physiques et de jeux scolaires

de Montagnards fait aussi partie de la Société. Le seul rouage en l’An II qui leur échappe encore est la Commune de Paris, mais, après l’élimination des Hébertistes en Germinal An II, la Commune est désormais noyautée par les Jacobins. À la fin de Germinal, ils exercent sans contrepoids leur autorité sur l’Assemblée, où la fin des Factions (Hébertistes, Dantonnistes) assure l’unité de l’action législative. Fin du Club[modifier]Début 1794, on pense que la Société compte 5 000 filiales dans toute la France

constitutionnel soit installé. A. L’adoption de mesures révolutionnaires de Terreur. Dès le mois de septembre, le régime dévient plus dur. Sous la pression de la commune, l’assemblée accepte de faire entrer des extrémistes dans le comité de SP : 2 hébertistes, COLLOT d’HERBOIS et BILLAUD- VARENNE. Vont radicaliser le comité : 6 sur 9 qui, on est sur, vont prendre des mesures extrémistes. Le 5 septembre 1793, l‘assemblée décrète « la Terreur est à l’ordre du jour ». Officiellement, la Terreur devient

seulement, les hygiénistes de l’époque s’emploient à vanter les mérites du grand air, mais ils y associent l’exercice physique pratiqué en milieu naturel. Ces conceptions naturistes trouvent leur application, au début du XXe siècle, dans la méthode hébertiste(3), qui se situe à la fois dans “la nature et l’air du temps(4)”. Elles témoignent de vastes projets moralisateurs : “Revenir à la nature, c’était promouvoir une vertu contre une décadence(5). ” De même, les premières disciplines du sport naissant

Il joue dans un premier temps les dantonistes contre les hébertistes qui sont déchaînés. Les hébertistes se montrent anti cléricaux et déchristianisateurs. On fait fermer les églises, on change le nom des villes qui commencent par « Saint ». ROBESPIERRE déteste l'athéisme mais ne va pas salir ses mains. Il va pousser DANTON et les siens à mener la charge contre les enragés et le groupe des modérés obtient l'arrestation des hébertistes. Ils sont arrêtés, déferrés devant le tribunal révolutionnaire

les denrées alimentaires au lieu de les vendre. Les prix sont bloqués et le cour forcé de l’assignat instauré. Le Comité de Salut Public dominé par Robespierre entreprend l’élimination de factions menaçant le gouvernement révolutionnaires : les Hébertistes (ultra-révolutionnaires) et les Indulgents de Danton. Cependant les dissensions entres Montagnards s’accroissent, beaucoup de modérés souhaitent la fin de la Terreur qui a entrainé la mort de 17 000 morts et la mise en place de la République.

une succession de liquidation. Beaucoup de Girondins ont été guillotinés entre le 31 mai et le 2 juin 1793, au cours du coup d'Etat. Robespierre, au printemps 1794 éliminera ceux des députés qu'il considère comme étant trop excessif: le groupe des hébertiste (ou enragés) et en même temps, ceux qu'il considère comme étant devenu trop modéré: le groupe des indulgents parmi Danton. Tout cela a conduit à craindre et les députés se ligueront sur ce danger qui pose sur toutes les têtes.  La troisième accusation

mouvement spontané de déchristianisation active s'étend rapidement à toute la France. Prise à l'instigation des chefs radicaux Chaumette et Hébert, cette décision accentue le fossé séparant les Jacobins centristes, menée par Robespierre, et les hébertistes "enragés", puissants à la Convention et au sein de la Commune de Paris. Grâce à la levée en masse, la guerre contre la coalition tourne à l'avantage de la France. Le général Jean-Baptiste Jourdan bat les Autrichiens à Wattignies le 16 octobre 1793

rôle majeur, faisant pression sur les assemblées, intervenant dans le débat public, participant aux journées révolutionnaires, à la défense de la patrie mais aussi aux massacres de septembre 1792. Leur rôle décline quand Robespierre élimine les Hébertistes. Sous la convention thermidorienne, leurs émeutes du 12 germinal (1er avril 1795) et du 1er prairial (20 mai) sont leur chant du cygne. L’armée les réprime, les désarme et ils ne constituent plus une force politique. Ils sont souvent assimilés

existe toujours une majorité et une minorité , la majorité c'est la volonté générale , la minorité doit être arrêté est exécuté. En appliquant cette logique , Robespierre va faire exécuter ses principaux opposants à la convention c'est à dire les Hebertistes , les Indulgents et les partisans de Danton. En juin 1794 , Robespierre fait voté une nouvelle loi qui permet d'accélérer les condamnations mais c'est la logique de ce système qui va se retourner contre Robespierre. Par peur de faire parti de la