Hébertistes

multiplication de ces cultes (certains étant extrémistes et intolérants) et rappel, par un décret du 6 décembre 1793, la liberté de culte. En outre, conscient que cette politique de déchristianisation menée par les plus radicaux des montagnards (les Hebertistes) risque de soulever de nouveaux ennemis contre la Révolution, Robespierre, pour qui « l'idée de dieu est indispensable à la vie de toute société », fait adopter la loi du 18 floréal an II (7 mai 1794) qui affirme l'immortalité de l'âme et

porte-parole des sans-culottes est Hébert, substitut à la Commune de Paris et rédacteur du journal Père Duchêne. Cet homme, à la tête d’un groupe d’hébertistes, demande des épurations. Le 5 septembre 1793, la Convention décide de faire rentrer 2 hébertistes au Comité de Salut Public. Avec leur admission, on va décréter la Terreur à l’ordre du jour. Organisation, systématisation, accélération de la Terreur. On va donc entreprendre la punition expéditive de tous les traitres. (Saint-Just fait partie

Au printemps 1794 (an II), Robespierre va éliminer les factions rivales, les Hébertistes qui souhaitent le renforcement de la Terreur et les Dantonistes ou Indulgents qui souhaitent un arrêt de la Terreur. Robespierre justifie l’élimination des factions (arrestation puis procès devant le Tribunal Révolutionnaire) en expliquant que la Révolution doit avancer entre deux écueils : l’excès et le modérantisme. Les Hébertistes et Dantonistes sont exécutés. En mai, c’est la Grande Terreur après l’exécution

assaillent ce fonctionnement comme les hébertistes qui veulent le communisme des biens. Face à ces factions, le gouvernement révolutionnaire va mettre en place un système terroriste qu’il va légitimer et c’est Robespierre qui théorise cette terreur en disant que le gouvernement révolutionnaire « ne doit aux ennemies du peuples que la mort ». Cette terreur est mise à l’ordre du jours le 5 septembre 1793 pour lutter contre les factions soit trop radical (hébertistes), soit trop modérer (dantoniste).On

sont les enragés d’une part et les neutres d’autre part. Il va régler le sort des enragés qui tiennent un type de politique socialisante voire communisante prêchant une égalité sociologique. Parmi ces extrémistes, il y a Hébert et le groupe des hébertiste : ils vont avoir une grande audience au sein de la commune de Paris. Robespierre va obtenir en mars 1794 la condamnation de ces enragés, accusés de comploter avec les étrangers contre la France. Quelques jours après, Robespierre va régler le

et mises en œuvre locales Chapitre 2. Contextualisation nécessaire à l’étude. Puis lorsqu’en 1942 PASCOT prend la tête de ce commissariat, tout passe entièrement sous la tutelle d’état, le régime encore plus autoritaire. Il soutient le modèle Hébertiste comme Borotra mais souhaite calquer le modèle Allemand en France. De 1940 à 1944, beaucoup de lois sont promulguées et nombreuses circulaires et décrets sont présents actuellement dans les documents d’archives, cela reflète leur implication pour

tribunal révolutionnaire marque un tournant du 6 avril 1793 au 10 juin 1794 on compte 1216 condamnation à morts. Tout d’abord sont visé les contre révolutionnaires puis l’extrême gauche, le 24 mars 1794 sont qui sont à gauche de Robespierre, les Hébertistes et les Cordeliers. Puis viennent Danton et Camille des Moulins. C’est l’avènement d’une dictature personnelle avec le soutient du club des jacobins et de la commune de Paris. Le 1er avril 1794 la Convention décide de remplacer le conseil exécutif

St Juste. Concentration des pvrs consacrée par le décret du 14 Frimaire an II (déc 1793) => charte du gouv révolutionnaire. Les ennemis du peuple méritent la mort. La Terreur est à l’ordre du jour le 5 sept 1793 pour lutter contre les factions hébertistes (radicaux) et dantonistes (modérés) et pour lutter aussi contre le complot aristocratique et les ennemis de la Révolution (nobles, prêtres réfractaires, les accapareurs, accusés de fédéralisme puis tous les citoyens suspects dont la liste est établie

collectivisation des biens, ils essaient de faire pression sur la convention, et retour de baton, ils sont arrétés les enragés et les chefs de ce mouvement se suicideront en prison. Un autre groupe de pression radicale appelé « Les Exagérés » ou « Les Hebertistes », le chef de file de ce mouvement est Hébert un journaliste qui dirige un journal radical « Le père Duchêne » sa spécialité est la lecture à haute voix devant plusieurs personnes, qui a un effet comique, avec des gros mots. Hebert est derrière

révolutionnaires. L’application de ces mesures se heurte à de nombreuses résistances, mais recours à la Grande terreur pour les contrer. Elle est organisée par les Jacobins les plus violents, lesquels sont dirigés par Hebert (sont appelés les Hebertistes). La Terreur est placée à l’ordre du jour et est votée le 17 sept. 1793 la « loi des suspects » qui ordonne l’arrestation immédiate de tous les suspects (= ceux qui ne manifeste pas leur attachement à la révolution et les émigrés). Nombreuses