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notion d’art. Un critère est nécessaire pour distinguer ce qui est de l’art de ce qui n’en n’est pas. La différence spécifique pourrait être esthétique ou qualitative : l’art pourrait se définir par le beau. L’art est ce qui produirait de la beauté. Cependant ce critère est-il valable universellement ? Peut-on universellement s’entendre sur ce qui est beau pour s’entendre universellement sur ce qui relève de l’art ? L’universalité du goût fait manifestement difficulté selon l’opinion commune, pour

Paul Valéry avait une aversion naturelle envers les philosophes et les esthéticiens. C'est donc naturellement dans cet extrait qu'il nous livre ses cauchemars: Un art si parfait qu'il se contenterait de fournir les définitions du beau, qui substituerait à ses œuvres réellement produites, les règles esthétiques qu'elles sont censée satisfaire. Si le philosophe se sent qu'une autre « essence » qu'une âme d'artiste a-t-il une légitimité à établir des règles esthétiques? Nous montrerons en première

Fiche de lecture : Analytique du beau, in Critique de la faculté de juger, (Kant) Mouvement du texte Citations Analyse des concepts Première partie (§1-5) : Kant détermine la qualité du jugement de goût Le jugement de goût n’est pas un jugement de connaissance, car la représentation d’un objet donné est rapportée au sujet et au plaisir (ou au déplaisir) causé par l’objet ; par conséquent, ce n’est pas un jugement logique mais esthétique, ce qui signifie que son principe déterminant est

Art et Technique. Etymologiquement la notion d’art se confond avec celle de la technique. Aussi bien dans la technique que dans l’art, il s’agit d’agir et de transformer la matière. L’artificielle (qui est le créer/ fabriquer) s’oppose au naturel (le donnée). Avec le démiurge qui est le dieu créateur mais cette dimension divine qui à l’origine est réservé au démiurge trouve un prolongement dans les productions de l’Homme. Ex : Les armes atomiques qui peuvent faire exploser la terre. L’Homme

sujet. Dans les champs de l’art c’est l’apparition de la perspective et la naissance de l‘esthétique. Un dessin en perspective se rapporte à un point de vue, en fonction du regard du sujet. Pour la naissance de l’esthétique il s’agit de penser le beau en rapport avec la sensualité du moi. La question de l’esthétique est pourquoi est-ce que j’aime? La question de l’esthétique a atteint le sommet avec Kant. « le goût est la faculté de juger un objet ou un mode de représentation par l’intermédiaire

qu'il faut en terme d'équipement donc la différence se fait dans l'esthétique. La part de la communication, de l'esthétique est devenue majeure ». L'esthétique a d'abord était la science de la beauté et du naturel. De nos jours, le mot artificiel apparaît comme une extension du mot naturel. Aujourd'hui, la biologie, la vie, la technique se rejoignent. La relation entre les sciences du vivant et les sciences de l'artificiel nous amène vers un futur avec de nouvelles technologies. Ces technologies

importante de l’Etat ; mais ils ne sont pas l’Etat. L’Etat n’a pas toujours existé Pour Aristote, vivre en société est naturel pour l’homme. La cité n’a jamais commencé, elle a toujours été là. De même que la famille, et la hiérarchie qui s’impose à tous les hommes qui veulent vivre en harmonie : « Il est manifeste, à partir de cela, que la cité fait partie des choses naturelles, et que l’homme est par nature un animal politique, et que celui qui est hors cité […] est soit un être dégradé soit un

inversement. L’homme s’exprime dans ce qu’il réalise, il donne un sens à ce qu’il dit, fait et produit. C’est en ce sens qu’il fait son œuvre la plus propre. Art : parure, tatouage : donné par Hegel dans « Esthétique », qui sont bien un signe distinctif de notre humanité, l’homme cherche à s’arracher de l’état naturel ; à se distinguer de l’animal par des marques sur son corps. Le corps est travaillé, il fait l’objet d’une réappropriation symbolique. Il n’est pas laissé à lui-même dans sa nudité originelle

N’étant pas le fruit du hasard, elle possède donc des règles : méthodes, principes & procédés mis en œuvre pour mener à terme toute réalisation. Mais si la présence de règles est nécessaire pour qu’il y ait « art » — car l’art n’est pas un produit naturel — suivre une règle ne suffit pas et c’est pourquoi la question se pose : Y a-t-il des règles de l’art ? Certes, il y a des règles, mais l’artiste ne se limite pas à les suivre et les appliquer : il les approprie à l’idée de l’œuvre. Dans la mesure

l'objet d'une demande d'autorisation auprès des éditeurs et des auteurs. Vous pouvez citer librement cet article en en mentionnant l’auteur et la provenance. Il y a une actualité philosophique de l’esthétique. Mais les débats sur les questions esthétiques paraissent partagés entre un renouveau de l’esthétique par la philosophie analytique – dont la sobriété argumentative, la clarté des thèses plaident, selon ses auteurs et ses défenseurs, en faveur de son « sérieux scientifique », à la fois contre