Hegel Esthétique Idée Principale

philosophies mettant en cause l’unité et l’autonomie de la conscience, dénonçant son impuissance ou contestant même son existence. Œuvres Descartes, Méditations métaphysiques, Principes de philosophie ; Freud, Malaise dans la civilisation ; Hegel, Phénoménologie de l’esprit ; Husserl, Méditations cartésiennes, Kant, Critique de la raison pure, Critique de la raison pratique ; Locke, Essai sur l’entendement humain ; Nietzsche, Par-delà bien et mal ; Rousseau, Émile ou de l’éducation ; Sartre :

sa première et unique certitude ; si l’homme doute, il doit être sûr qu’il pense et s’il pense, il doit donc être un être pensant. « cogito ergo sum » ; Je pense donc je suis. Il a aussi la certitude intuitive qu’il existe une être parfait. Cette idée de perfection ne peut venir que d’un être parfait, en d’autres termes, de Dieu. Que Dieu existe est pour Descartes une vérité aussi immédiate que celle qui établit un sujet pensant. Il pense en effet qu’il y a un lien entre la pensée et l’existence ;

instruit en religion grâce à son éducation acquise dans une famille de rabbin de père en fils, bien qu'il soit considéré comme athée et connu pour ses propos critique sur le sujet [« La religion, c'est l'opium du peuple »]. Adepte de la philosophie de Hegel (1770-1831), il développe dans ce texte une de ses idées selon laquelle le travail est dans son essence libérateur. Mais en quoi le travail est-il libérateur ? Devenu sociologue, il change sa réflexion et constate que dans la société industrielle

Mounier définit l’existentialisme « comme une réaction de la philosophie de l’homme contre les excès de la philosophie des idées et de la philosophie des choses ». Cette conception de l’existentialisme nous permet de scinder l’existentialisme en deux principales branches : l’existentialisme athée de Heidegger et Sartre et l’existentialisme chrétien dont Gabriel Marcel est le plus grand représentant. L’on aurait pu leur ajouter une branche, celle de l’existentialisme marxiste, mais il est plus commode de

l’objet) • Monde des Beaux-arts = monde d’énigmes mais pourtant facile à décrire (monuments, tableaux, sculptures, poèmes, symphonies…). Va s’inspirer de Kant (Critique du jugement) et de Hegel (Cours d’esthétique). Mais contrairement à Kant, va essayer de réintégrer le sublime dans le beau ; contrairement à Hegel, pas de fil historique (Arts symbolique surtout architectural, classique surtout sculptural puis romantique surtout peinture et musique). • Tous ces arts sont des produits naturels

Comment Schopenhauer peut donner l’assurance qu’il y a une chose en soi, si pour y accéder il faut de la causalité, ceci étant du phénoménal. On tourne en rond. Le risque qu’il y ait un cercle vicieux se retrouve chez Schopenhauer. C’est pourquoi Hegel rejette le criticisme car toute critique se transgresse et tout phénomène se dégage de la chose en soi. Le criticisme n’est pas une philosophie pour lui. ( La résolution du problème - Réponse de Schopenhauer Il faut passer d’un usage physique

Essais CASTORIADIS, La Montée de l’insignifiance, Points Seuil 1995. Amartya SEN, La démocratie des autres, Rivages poche. |Louis Nucéra |Livre |Adulte | |321.8 SEN | |Disponible | LE DROIT *HEGEL*, Principes de la philosophie du droit, Vrin ou Quadrige ou Tel Gallimard. 10-15 RAWLS*, Théorie de la justice, Points Seuil |Louis Nucéra |Livre |Adulte | |172 RAW | |Disponible | SPINOZA, Traité Théologico-politique, G

langage), il n’y a pas de culture sans langage, et inversement. L’homme s’exprime dans ce qu’il réalise, il donne un sens à ce qu’il dit, fait et produit. C’est en ce sens qu’il fait son œuvre la plus propre. Art : parure, tatouage : donné par Hegel dans « Esthétique », qui sont bien un signe distinctif de notre humanité, l’homme cherche à s’arracher de l’état naturel ; à se distinguer de l’animal par des marques sur son corps. Le corps est travaillé, il fait l’objet d’une réappropriation symbolique. Il

Peut-on définir le beau ? A) La finalité sans fin de l’œuvre d’art. La finalité première de l’œuvre d’art est la production d’un sentiment esthétique qui touche mes cinq sens et ma sensibilité. La première fonction de l’art est évidemment de produire de la beauté, puisque c’est sa définition. Le beau renvoie à la valeur à laquelle renvoie le jugement esthétique. La beauté est une finalité sans fin, car elle n’a pas d’autre but qu’elle-même. Elle est gratuite et infiniment libre. C’est ce qui correspond

goût amer. La perception de toute odeur s'accompagne nécessairement d'un sentiment de plaisir ou de déplaisir. C'est l'indice révélateur du manque de finesse de cet organe sensoriel. C'est d'ailleurs ce rapport qui est considéré comme la raison principale de l'absence de vocabulaire olfactif. On peut ainsi dégager trois explications au fait que l'odeur ne détermine que des sensations difficilement analysables : l'imperfection de l'appareil sensoriel – la fugacité de l'odeur – les liens de l'odorat