Hegel L Esthétique L Opinion La Plus Courante Qu On Se Fait De La Fin

l'art occupe-t-il un rang plus élevé que la nature ? Il faut attendre la fin de sa première phrase pour voir la thèse de l'auteur. Hegel semble ici nous montrer la supériorité de la beauté de l'art par rapport à la nature, « nous pouvons d'ores et déjà affirmer que la beau de l'art occupe un rang plus élevé que la nature ». À la fin de cet extrait, il semblerait donc, que Hegel est voulu élucider une notion notamment celle de la beauté de l'art. Pour cela Hegel part d'une opinion commune pour amener sa

discours : le jugement esthétique, l’interprétation de l’œuvre et la philosophie de l’art. En quoi ces discours sur l’œuvre d’art prétendent être la vérité ? Le jugement esthétique Analyse de l’expression « jugement esthétique » Un jugement est une phrase de la forme S est P. S veut dire le sujet (ce dont on parle) et P est le prédicat (ce qu’on dit sur ce que l’on parle). Exemple : la terre est ronde (la terre est le sujet et ronde est le prédicat). Le mot esthétique comme substantif désigne

aspects de l’existence. Couramment : Comme l’amour : la beauté est un qualificatif marquant une opinion Employé constamment, souvent à tort à travers Belle femme, belle idée, beau match, beau costume…  Pente naturelle du sujet (appréhension courante) : Non la Beauté n’existe pas que dans l’Art. Cependant : Cette définition du Beau ne provient-elle pas simplement d’une opinion ? Ne conduit-elle pas à une contingence de la notion de Beauté ? Dans un premier temps nous essaierons

Commentaire de texte. Hegel, Esthétique, introduction. Introduction. Accroche. Quand en 1957 le public américain est allé au cinéma voir le film de Sidney Lumet, Douze hommes en colère, c'était probablement pour oublier ses soucis et s'évader du quotidien. Pourtant, en sortant, il avait reçu la conviction de certaines vérités : l'importance du doute méthodique, la force de persuasion de la raison, la capacité de tout homme à délibérer, ... Le cinéma est souvent présenté comme un divertissement

aspects de l’existence. Couramment : Comme l’amour : la beauté est un qualificatif marquant une opinion Employé constamment, souvent à tort à travers Belle femme, belle idée, beau match, beau costume…  Pente naturelle du sujet (appréhension courante) : Non la Beauté n’existe pas que dans l’Art. Cependant : Cette définition du Beau ne provient-elle pas simplement d’une opinion ? Ne conduit-elle pas à une contingence de la notion de Beauté ? Dans un premier temps nous essaierons

religieuses, soumises à une évolution plus ou moins lente déterminée soit par les innovations techniques, pour ce qui est des arts, ou par les bouleversements de mœurs et les renversements idéologiques, pour les formes religieuse. On observe que les religions servent souvent de socle d’identité culturelle, mais que dans les sociétés marquées par l’essor des sciences physicomathématiques et de la technologie qui l’accompagne, l’autorité religieuse décline et fait l’objet de débats, de contestations

certains chants ont également inspiré le compositeur G. Mahler. Mais Nietzsche s’est d’abord fait connaître, par la publication de son livre consacré à la Naissance de la tragédie, alors qu’il était jeune professeur de philologie classique à l’université de Bâle. Avec Nietzsche nous sommes d’emblée placés dans une philosophie du soupçon, dans une philosophie critique à l’égard, non seulement des traditions mais, plus profondément, de toute l’histoire de la philosophie, en particulier depuis Platon (depuis

cet égard, il est symptomatique de constater que Saint Thomas d’Aquin, par exemple, ne fut pas plus sensible aux cathédrales que Platon à l’Acropole. Pour toute une tradition classique, l’art se résume en fait à un simple « savoir-faire », vaguement soutenu par un peu de théorie.  L’autre signification du mot « art » est beaucoup plus moderne et désigne la création de choses belles, d’objets esthétiques : « L’art ou les arts désignent toute production de la beauté par les œuvres d’un être conscient » 

authentiques sur la vie de ce peintre. Cependant c’est en France à Montmartre et à Montparnasse qu’il vit et peint. Pauvre et sans succès, il mène la vie d’artiste et ses excès : bohème, infortune, passions amoureuses, alcool et cannabis ! Bien qu’entouré des plus grands : Pablo Picasso, Georges Braques, Henri Matisse… ; il reste un marginal de la Belle Époque. Sa vie s’achève rapidement. Il meurt de tuberculose à l’âge de 35 ans (1920). Isabelle SINIGAGLIA Page 1 Thème 2 : Des goûts et des couleurs

produit des oeuvres d'art, celui qui est pourvu d'un talent spécifique que l'on a l'habitude de caractériser de génie. 2) Ne cherche-t-il qu'à : Le sujet pose ici une double question a) L'artiste vise-t-il une fin consciente et délibérée ? b) Est-il légitime de réduire cette fin au divertissement ? 3) Divertir : Ce terme renvoie dans un premier sens à ce qui amuse ou délasse par opposition au labeur, à une activité pénible. Dans un deuxième sens, on peut comprendre "divertir" comme