Hegel Rationalisme

Projet de recherche - Le rêve et la rêverie Introduction Il est plus ironique que paradoxal que le genre français de la Rêverie soit né au XVIIIème siècle, siècle rationaliste, Siècle des Lumières, durant lequel le rationalisme scientifique s’est affirmé comme l’autorité suprême de la philosophie. Pourtant, ce fut aussi une période durant laquelle est né ce que nous avons appelé rétrospectivement le « préromantisme », un mouvement lié à la culture de la tendresse, l’expression

mêmes traits de caractère que cette dernière personne, et sur une échelle à long terme nous créons une hiérarchie biologique et sociale. Contre-conception Contrairement à l’humanisme qui fait un lien entre la passion et la raison, le rationalisme de son côté érige un mur en la passion et la raison. Selon les rationalistes les passions et les émotions sont suspectes, elles doivent être contrôlées par la raison, car elles faussent notre perception de la réalité. Cette idée atteint son summum

Quand Pascal dit qu’il est excessif de n’admettre que la raison ou qu’il y a une infinité de choses qui la surpassent, il veut circonscrire un champ d’action à la raison. Mais, ce faisant, il remet en cause la toute puissance de la raison, un rationalisme dogmatique, qui de Socrate à Descartes avait pour ambition de tout connaître, de tout expliquer. Alors, après avoir affirmé que les choses naturelles surpassent la raison, il s’interroge sur les choses surnaturelles. On voit bien qu’il s’oppose

rationnelle, mais il va plus loin que Leibniz sur question théologique = Des fondements possibles d’une démonstration de l’existence de Dieu= Kant commence à se méfier : 1. Kant se défie de tout forme d’irrationalisme et 2. Et se méfie des prétentions du rationalisme à pouvoir tout démontrer. Kant découvre scepticisme de Hume, il lui apprend à défier du dogmatisme qui se trouve dans rationaliste. Premier texte vraiment important de Kant = sur la forme et les principes du monde sensible et intelligible = on

premier temps nous étudions les limites de la raison et ce qu'elle ne peut pas démontrer. Puis, nous verrons que la raison permet parfois le progrès scientifique. Enfin, nous traiterons des modes de fonctionnement de la raison, de l’empirisme et du rationalisme. Dans cette première partie,nous verrons que La raison est le pouvoir de raisonner et d'atteindre la connaissance propre à l'homme. Que ce développement aboutisse à de simples représentations ou raisonnements, ou plus profondément à une connaissance

expérimentales est importante pour les rationalistes. Selon eux, les connaissances apprises grâce à notre logique sont les plus fiables. Ainsi, utiliser de telles connaissances est le meilleur moyen pour développer des traitements efficaces. Une lacune du rationalisme serait de se demander si les données expérimentales seraient plus fiables que les données théoriques. Sachant que chaque patient est différent, les données expérimentales donneraient une meilleure idée sur la façon de soigner les patients.

Echos français du courant pragmatique En France, Emile DURKHEIM (1858-1917) est le fondateur de la sociologie moderne. Il présente dans son cours – Pragmatique et sociologie – les différences entre le courant rationaliste et celui pragmatique. Le rationalisme comprend la langue, les mots et les concepts en termes d’impersonnalité et stabilité. Ceux-ci ne sont pas comme des représentations sensorielles individuelles et peuvent offrir les bases d’une pensée stable et consistante. Les concepts sont impersonnels

encore de celui de la philosophie de l'art (esthétique). Problématique épistémologique L'apparence sensible est-elle une source fiable de connaissance ? La connaissance vient-elle de l'expérience sensible (= empirisme) ou de la raison (= rationalisme) ? Descartes, dans son analyse du morceau de cire montre que les apparences sensibles du morceau de cire ne nous apprennent pas vraiment ce qu'est la cire, puisque la même cire demeure alors que toutes ses qualités sensibles changent. Mais peut-on

un objet central de leur tâtonnement, nous tenons à notre niveau à étudier le problème de la connaissance à la lumière de l’épistémologue français Gaston Bachelard (1884-1962): penseur contemporain. A travers une philosophie dispersée dont le rationalisme appliqué est la partie la plus importante, Bachelard concilie les idées à la réalité. Ayant débarrassé la connaissance d’un empirisme passif dépourvu de dynamisme, il va regrouper les conceptions empiriste et rationaliste autour d’une phénoménotechnique

quel point donné. De ce fait si l'une est acquise, l'autre est automatiquement exclue. Et pour fait, ces deux notions ont des définitions très distincte l'une de l'autre. La science est reconnue comme étant une connaissance, qui fait appel au rationalisme, et qui s'organise de façon objective et méthodique, elle ne reconnaît que ce qui est définit par preuve mathématiques. Alors que la religion repose sur des dogmes, des croyances qui font appel à la foi. Mais la science et la religion font-elles