Helicobacter pylori

Ligue contre le Cancer. « Une consommation excessive de viandes, de poissons fumés ou de sel augmente le risque de cancer gastrique. Le tabac est lui aussi en cause ». Tout comme l’inflammation chronique de l’estomac induite par la bactérie Helicobacter pylori, vieille connaissance des gastro-entérologues…. Les symptômes du cancer de l'estomac « Les symptômes sont généralement tardifs et non spécifiques : de vagues douleurs à l'estomac, une perte d'appétit, des nausées et des vomissements, une

authentifie le reflux lorsqu’elle découvre les lésions muqueuses, permet de les classer, de savoir d’emblée si l’on a affaire à une forme sévère ou bénigne. et de rechercher la présence éventuelle du germe responsable des ulcères de l’estomac (Hélicobacter Pylori) dont la présence justifiera un traitement antibiotique ▪ Si la fibroscopie est normale, pour étayer le diagnostic (notamment si les signes d’appel sont ORL ou respiratoires), on peut avoir recours à une pH-métrie. Cet examen consiste à

Pneumophilla .  Legionnellose • Pastorella Multocida. Germe des morçure, griffure • Brucella . Responsable de la brucellose (formage non pasteurisé) o Spiralée  Virgule • Campilobacter :principale cause de diarrhée en France • Hélicobacter Pylori : cancer de l’estomac • Vibrio Cholerae: Agent du choléra  Spiralée • Leptosira Ictero Haemoragia . Provoque hémorragie, tranmis par les urines de rat par ex. Leptospirose qui donne un jaunis, atteinte hépatique. • Borrelia Burderferi

Remaut de Winter AM. (1999). La surveillance nutritionnelle: une approche opérationnelle et durable. In : Studies in health services organisation and policy, 13. Belgique: ITG Press. 82 p. Milman et coll. (1998). Serum ferritin, hemoglobin and helicobacter pylori infection : a seroepidemiologic survey comprising 2794 danish adults. In : Gastroenterology ; 115(2) : 268-274. Najean Y. (1995). Metabolisme du fer. In : Encycl Med Chir. Endocrinologie Nutrition, Paris, France, 10 ; 359 :9. OMS/UNICEF. (1995)

II.5.4. Diminution du taux de cholestérol 25 II.5.5. Activité anti-cancérigène 25 II.5.6. Inactivation des substances toxiques 25 II.5.7. Effet sur l’inhibition des bactéries pathogènes 26 II.5.8. Traitement de l’infection par Helicobacter pylori 26 II.5.9. Effet sur la constipation 27 Chapitre 2 Matériel et méthodes 28 I. Origine et traitement des souches 28 II. Recherche de l’activité gazogène 28 III. Mesure de l’activité acidifiante 28 IV. Mesure de l’activité lipolytique

catarrhalis ● Méningocoque « grain de café » Bacilles Gram négatif Entérobactéries : famille de diverses bactéries Pseudomonas Haemophilus Bordella pertussis (coqueluche) Légionella (réseaux d’eau chaude) Pasteurella Brucella Acinetobacter Helicobacter pylori (ulcère) Etc … Enterobactéries Klebsiella pneumoniae, oxytoca Escherichia coli = « colibacille » (infection urinaire) Serratia marcescens Salmonella enterica typhi, paratyphi (typhoïde) mais il existe d’autres sérotypes (TIAC) Shigella Enterobacter

neuropsychiques conduisant à l’acidose. Certaines autres conséquences restent invisibles et silencieuses pendant très longtemps avant d’être découvertes. C’est le cas du développement de champignon germes indésirables comme le Candida albicans et Helicobacter pylori, très à leur aise dans les milieux acidifiés. Surtout lorsqu’ils sont bien approvisionnés en sucre, leur nutriment préféré. Ils le métabolisent en gaz carbonique et en alcool, dont l’accumulation provoque ballonements et selles dénaturées

| | |Campylobacter |Diarrhées | | |Helicobacter pylori |Ulcères de l’estomac et du duodénum | Annexe 2 Suite du tableau annexe 1[7] |Bactérie : Genre |Noms |Principales maladies

Dans les pays industrialisés, 5 % des cas de cancers seraient imputables à des infections, et à travers le monde, pas moins de 18 %. Des exemples : le papillomavirus (cancer du col de l’utérus), les virus de l’hépatite B et C, et la bactérie Helicobacter pylori (cancer de l’estomac). * Exposition à des substances radioactives. L’exploitation de l’énergie nucléaire comporte des risques pour les populations. L’accident nucléaire de Tchernobyl, par exemple, a entraîné de nombreux décès par cancer

variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, la fréquence de résistance acquise en France (> 10 % ; valeurs extrêmes) est indiquée entre parenthèses. Espèces sensibles : Aérobies à Gram - : Helicobacter pylori (30 %). Anaérobies : Bacteroides fragilis, bifidobacterium (60 - 70 %), bilophila, clostridium, Clostridium difficile, Clostridium perfringens, eubacterium (20 - 30 %), fusobacterium, peptostreptococcus, prevotella, porphyromonas, veillonella