Hémistiche

et de se rallier à sa cause. En effet la guerre n’est jamais évoquée directement. Il n’y a que dans le première hémistiche du premier vers de la première strophe que l’on peut comprendre qu’une guerre horrible à eu lieu. L’ellipse (vers 1) « Les Turcs ont passé par là » nous pousse à deviner qu’une terrible bataille c’est déroulée et nous pousse aussi à deviner le pire. L’autre hémistiche du vers et le vers suivant sont au présent,   contrairement aux quatre autre vers qui suivent et qui eux sont au

Pétrarque il semble regretter d’avoir cru en la poésie. Le lexique de l’erreur : « consumer, sans, vain, passe-temps, erreur » disqualifiant la poésie en contradiction avec « je pardonne » renforcé par l’allitération en [r]. V8 on observe le premier hémistiche qui n’est composé que de mot outil, dont l’adverbe « auparavant » compte à lui tout seul 4 syllabes, le tout est renforcé par une assonance en [an] [« auparavant, tremble »]. Le terme « souci » doit être pris au sens le plus fort, quand à « l’orage

DIVINITÉ + elle rappelle la fatalité de la condi° humaine AVC RESPECT -> les sonorités douces. -> comparaison de rêve en opposition à pierre : « rêve » -> abstrait, léger « pierre »-> dure, lourd V2-> hémistiche coupé + appariti° du son « i » dans le deuxième hémistiche -> SOUFFRANCE DU POÈTE V3 + V4 -> RELATION du poète et de la BT, présente depuis toujours « Éternel » mais qui met le poète dans une situa° de souffrance « muet » À l’issue de cette strophe, le poète tait ses

la métaphore « emmanché », cette longueur suggère un sérieux excessif du héron : Ce sont des alexandrins. Normalement, les alexandrins suggèrent la majesté. Le rythme est particulier. En effet, un alexandrin a une césure qui coupe fortement deux hémistiches. Elle est présente mais il y a aussi des coupes secondaires. On a un rythme 3-3 3-3. On a un rythme très marqué et très régulier qui semble rimer avec la démarche et la préciosité du Héron ce qui confirme un certain ridicule. Grace à sa hauteur

actualisé, s'opposant à une image méliorative ancrée dans un espace temporel passé : l'imparfait. Nous constatons particulièrement cette antinomie dans la construction du premier quatrain : en effet, au premier hémistiche " Quand vous serez bien vieille" (v1) répond le dernier hémistiche " du temps que j'étais belle" (v.4); qui de plus est soutenue par un écho renforcé par les sonorités : l'assonance Belle / vieille. Nous avons alors un effet de clausule, qui souligne clairement la dichotomie du

la strophe par l’anaphore élégiaque de « Chio », mis en valeur par la diérèse, qui sonne comme un éloge funèbre. Victor Hugo accentue en outre cette opposition dans le vers « Chio, l’île des vins, //n’est plus qu’un sombre écueil » puisque chaque hémistiche présente dans le même vers, grâce à la césure, deux visages de Chio. (5-) La juxtaposition d’un passé rayonnant et d’un présent sans espoir dévoile donc (6-) la dureté et le caractère implacable de la guerre qui détruit tout. II-Relecture pour

l'arrivée, et une certaine façon de se déplacer, dont la détermination est soulignée par l'emploi répété du futur. La situation de ces verbes à l'intérieur du poème ("je partirai" occupe les premiers pieds du vers 2, "j'irai" ponctue le début de chaque hémistiche du vers 3) fait de chacun d'eux une étape importante et décisive de l'itinéraire. Ils ponctuent le texte en soulignant une volonté que rien ne saurait arrêter. C'est précisément cette détermination, et la manière de voyager, qui font apparaître

l'autre. Au vers 14, c'est un appel voué à ne pas être entendu. Là encore, il y a une sorte de paradoxe. Le conditionnel passé rejette tout accomplissement dans l'irréel mais le verbe aimer exprime une certitude, celle de l'amour. Le deuxième hémistiche concentre tout le mystère de la rencontre et toute l'amertume du poète. La passante s'est-elle détournée par indifférence, Par pudeur, par fierté ou par cruauté? Baudelaire a exprimé ici le drame de l'incompréhension entre l'homme et la femme.


s’appelle l’hémistiche (hémi- = moitié et -stiche = vers) : Je ne sais pas l’endroit // ; mais un peu de couragepremier hémistiche deuxième hémistiche La césure a donc une place qui varie selon la longueur du vers, mais elle se trouve presque toujours après une syllabe accentuée (4). De manière générale, on la trouve assez naturellement en la plaçant au moment où l’on reprend son souffle. Les deux hémistiches peuvent d’ailleurs se comparer à une phrase avec montée et descente (5). C’est donc une diction en accent

dans une diction prosaïque, ne pas recevoir d’accent. Mais le rythme de l’alexandrin, qui porte traditionnellement deux accents toniques dans chacun de ses hémistiches, incite à accentuer ce pronom : « La servante / au grand cœur // dont vous / étiez jalouse ». Cette scansion du vers permet de souligner l’assonance en [u] dans le second hémistiche, qui rapproche la mère de son attribut, la jalousie. Cette jalousie révèle autant l’abandon ressenti par l’enfant que l’amour meurtri de la mère, lorsqu’elle