Henry Longfellow

LES THEORIES DE LA FIRME Auteur : Gilbert KOENIG Editeur :  Economica   INTERET DE L’OUVRAGE Professeur à l’Université de Strasbourg I et à l’I.E.P., Gilbert KOENIG présente les fondements théoriques des organisations à objectifs et à décideurs multiples. Il permet au lecteur de référer rapidement à certains concepts du management à partir de situations vécues dans le monde des affaires et en gestion des organisations. CONCEPTS ET IDEES CLES   L’auteur rappelle « la nature de

L’approche de Mintzberg (1) L’école de la contingence renouvelle l’analyse des formes structurelles. Cette école, notamment avec l’ouvrage de Mintzberg « structure et dynamique des organisations », remet en cause la représentation formelle de la structure. L’approche de Mintzberg (2) Pour Mintzberg, l’organisation n’est pas vue comme composée de services ayant des liens hiérarchiques ou fonctionnels mais comme un assemblage de six parties échangeant des flux de différentes natures (flux d’autorité

Le but est d'éviter les déplacements des ouvriers, la "flânerie" et les temps morts. On peut parler ici de parcellisation du travail. Les conséquences pour les travailleurs : Hiérarchisation des salariés et Déqualification du travail ●LE FORMDISME Henry Ford années 1920, il améliore l'OST Travail à la chaine, le produit en cours de fabrication défile devant le travailleur. Celui-ci n'est donc plus maître de son rythme de travail. Standardisation des pièces, les différentes pièces ont toutes exactement

accroître rapidement la production et la productivité de l'industrie américaine, alors que des centaines de milliers d'Américains s'embarquaient pour aller combattre en Europe. Les syndicats durent cesser leurs attaques. Dès avril 1913, l'industriel Henry Ford, s'inspirant des travaux de Frederick Taylor, avait installé son premier réseau d'assemblage à Détroit, en cherchant à fractionner les opérations de montage et à les confier à des travailleurs différents tout au long d'une ligne où les produits

A partir des années 1950 au Japon, Ohno, vice-président de la société Toyota, met en place une nouvelle organisation du travail pour pallier les défauts du système tayloro-fordien (production de masse qui ne prend pas en compte la demande, pénibilité du travail importante pour les salariés...). Dans les années 1980, les grandes puissances industrielles et développées reprennent, avec quelques modifications, ce toyotisme, et créent ainsi les NFOT (Nouvelles Formes d'Organisation du Travail). Au coeur

troisième exposition à la Galerie Lelong, l’artiste montrera de nouvelles sculptures en albâtre ainsi qu’une série d’œuvres récentes sur papier." Jaume Plensa a fait ses études d'art à Barcelone, à l'école de la Llotja, puis travaillé à la fondation Henry Moore et à l'atelier Calder à Saché. Après une formation classique, travaillant le bronze, la fonte et le fer forgé, il incorpore dans ses travaux différents objets, dont des objets de récupération, avant de revenir par la suite à une technique bien

(prix de l'automobile va chuter de moitié: accessible aux employés). Ces gains vont permettre d'augmenter les salaires. AU NIVEAU MACRO ECONOMIQUE Le fordisme est un mode de régulation de l'économie qui associe les méthodes mises au point par Henry Ford ( OST , standardisation des produits, le salaire déficience) pour permettre la production de masse, la production industrielle à bas prix et d'autre part des mécanismes de négociations sociales qui garantissent que les gains de productivité ainsi

questions précédentes. Une revue de littérature de quelques théories dominantes de la relation stratégies/système d’information ont permis d’identifier trois points de vue : 1er point de vue : La stratégie d’entreprise précède le système d’information. Henry Fayol, annonce 14 principes pour une bonne gestion, sans évoquer une seule fois le rôle de l’information. D’après lui, les clefs de la réussite sont : 1. La division du travail ; 2. L’autorité ; 3. La discipline ; 4. L’unité de commandement ; 5. L’unité

undertaken to achieve a particular aim”. (Principles of Management, Kreitner) The management is a topic including many different fundamental ideas. Economists, managers or sociologists try to find a definition of this term that seems very complicated. Henry Mintzberg said “Management is a practice that has to combine a good deal of craft, namely experience, with a certain amount of art, as vision and insight, and some science, particularly in the form of analysis and technique”. It’s an example of the

semblent permettre la conciliation entre la motivation, la flexibilité et l’efficacité. Le rôle du dirigeant s’en trouve changé : il fixe les grandes orientations et coordonne le travail des membres de l’organisation (au point que certains auteurs, comme Henry Mintzberg, le comparent à un chef d’orchestre). Le vocabulaire évolue, lui aussi : le chef d’antan s’est transformé en manager, en leader, puis en responsable de projet, en coordinateur, voire en coach. L’évolution décrite n’est évidemment pas générale