Hépatite virale

reconnaissent leurs récepteurs sur…des cellules. -Membrane plasmique La structure virale  Virion « Particule virale complète et entièrement développée composé d’un acide nucléique enfermé dans une coque protéique qui le protège de l’environnement et lui sert de véhicule pour se propager d’une cellule hôte à une autre ».  C’est lorsque le virus est « vivant », disons actif.  4 05/10/2012 La structure virale  L’acide nucléique ADN ou ARN  Monocaténaire ou bicaténaire  Linéaire

méningocoques et anti pneumocoques  Les antigènes purifiés qui sont antihaemophilus LES VACCINS LES DIFFERENTS TYPES DE VACCIN Les vaccins viraux   Les vaccins vivants atténués (Ex : Poliomyélite par voie buccale, oreillons, rubéole).  Les vaccins vivant inactivés complet (grippe, polio injectable, rage).  Les vaccins à fonction antigénique (Hépatite B). LES VACCINS CONSERVATION DES VACCINS Conservation au froid entre 4° et 8°. LES VACCINS CONTRE-INDICATIONS  Hyperthermie Maladies infectieuses

maladies infectieuses - Notions de maladies émergentes ou ré-émergentes 1 heure II. Infections virales Pour chaque pathologie traitée, les items suivants seront déclinés : physiopathologie, signes cliniques, diagnostic biologique, thérapeutiques et prévention - Hépatites virales  - Infections par le VIH - Infections à Herpesviridae - Infections respiratoires virales : grippe, bronchiolite à VRS - Infections gastro-entériques : rotavirus, norovirus …(pédiatrie et personnes agées)

totalement désorganisé avec nodules de régénération 2. Histopathologie Micronodulaire < 3mmOH, hémochromatose Macronodulaire >3mmviral Dans les septa fibreux infiltrat inflammatoire PMN, cellule T , plasmocyte avec canaux biliaires Corps de Mallory (non spécifique) Coupe : absence de stéatose peut-être OH sevré 3. Rappel théorique Etiologies : alcool 60-70%, hépatite chronique (B,C et D) 10%, médicaments, maladie billiaires 5-10%, hémochromatose, maladie de Wilson, déficit alpha anti-tripsine Diagnostic :

Dans les autres cas, où les glucocorticoïdes peuvent être remplacés par d'autres médicaments, on évitera de les prescrire dans les circonstances suivantes : Contre-indications * grossesse, allaitement * maladie virale grave en évolution (herpès, zona, hépatite virale aiguë) car les glucocorticoïdes entraînent une baisse de l'inflammation et de l'immunité nécessaire à la lutte contre ces infections, * ulcère gastro-duodénal en évolution (c'est-à-dire non traité), * cirrhose severe

Paludisme (moustiques) Maladies sexuellement transmissibles (infection par le VIH, hépatite virale B...) Diarrhée du voyageur Arbovirose (dengue, encéphalites virales) Ankylostomiase et anguillulose (pieds nus) Toxi-infection alimentaire collective Dengue (moustiques) Histoplasmose (inhalation de spores) Hépatite virale A Rickettsiose Hépatite virale B : par contact sexuel ou utilisation de matériel de soins contaminé Hépatite virale E Borréliose Leptospirose (en eau douce) Amibiase Rage (chiens,

sont contagieuses) et muqueuses (bouche, langue, vulve, gland, anus). Ces signes cutanés et muqueux sont associés à de nombreux ganglions palpables indolores, une fatigue, une température corporelle légèrement augmentée, des maux de tête. Méningite, hépatite, atteintes rénales et articulaires sont possibles. 3- La syphilis tertiaire : Elle survient en l'absence de traitement, après quelques mois ou années silencieuses. Elle est caractérisée par des atteintes neurologiques (on parle de neuro-syphilis)

● Le dosage des plaquettes (si agrégation des plaquettes dans le tube EDTA) ❖ Tube sec Les tubes secs possèdent soit un bouchon rouge soit un bouchon jaune. Il peut servir pour les analyses suivantes : sérologie Les sérologies virales : VIH, hépatite A, hépatite B, hépatite C, mononucléose infectieuse (EBV), CMV… Les sérologies bactériennes : syphilis, maladie de Lyme … Les sérologies parasitaires : la toxoplasmose est la plus connue et la plus pratiquée ) certaines biochimiques (enzymes, protéines

Immonumodulateur ➢ Augmentation du métabolisme glucidique et protidique INDICATIONS ➢ Maladie auto-immune ➢ Réactions inflammatoires sévère ➢ Réactions allergiques CONTRE-INDICATIONS ➢ Grossesse et allaitement ➢ Maladie virale sévère ➢ Cirrhose ➢ Etat psychotique EFFETS INDESIRABLES (surtout si traitement prolongé) ➢ Troubles métaboliques : rétention hydrosodée, hypokaliémie, alcalose métabolique, ostéoporose, fractures, retard de croissance, ostéo-nécrose

prise de sang, afin que l’infection n’aboutissent pas à des complications vus dans le 2) Si l’infection est dûe à une bactérie, le médecin va prescrire un traitement antibiotique, et si l’infection est dûe à un virus, il prescrira un traitement anto-viraux. Plus le traitement commence vite, plus il est efficace. Pour le VIH, il n’existe pas de traitements pour guérir, mais certains permettent de retarder la propagation de la maladie. Les IST Les infections sexuellement