Heptasyllabe

Mais c’est aussi une fête du langage. II. Une évasion par le langage 1) Une berceuse moderne La forme du poème n’est pas classique : les strophes (couplets) sont composées de 12 vers alternant 2 pentasyllabes et 1 heptasyllabe ; le poète ajoute une sorte de refrain de deux heptasyllabes. La forme est innovante, mais elle est aussi très régulière, et elle évoque une sorte de berceuse dont la musicalité et la douceur (sonorités) illustrent la douceur du pays évoqué et est presque « hypnotique » (une

implicite :Rien ne vaut un repas tranquille. | Deux tas sont dérangés lors d’un festin et donc le rat des champs déclare qu’il préfère manger au calme que de manger un festin en ayant peur. | construit aves des strophes de 4 vers avec des heptasyllabes | « Le Loup et l’Agneau » | un loup et un agneau | X du livre 1 | explicite :« La raison du plus fort est toujours la meilleure. » | Un agneau dérange un loup alors qu’il se désaltérait, donc le loup l’a mangé. | prédominance du discours

Nous allons nous intéresser ici à la forme du texte qui montre un changement d’idée. Nous pouvons trouver dans cette fable de Jean de La Fontaine des heptasyllabes : « Par leur clameurs firent tant » ; des octosyllabes : « Vous avez dû premièrement » et des alexandrins : « Une autre la suivit, une autre en fit autant ». Les heptasyllabes, vers impairs, sont dissymétriques : « Les Grenouilles se lassant » montre l’affolement et l’indécision des grenouilles. Les alexandrins, eux sont solennels

régulière constituées de vers courts sans rimes. Les vingt premières strophes sont construites de la même manière (sauf la 2e, la 13e et la 16e) : trois heptasyllabes : Sur + Complément circonstanciel de lieu une tétrasyllabe : « J’écris ton nom » (« ton nom » renvoie à la Liberté) La dernière strophe est aussi formée de trois heptasyllabes et d’une tétrasyllabe. Des anaphores sont présentes : « Sur » au début des trois premiers vers des vingt premières strophes et « je » aux vers 82 et 83

embrassée 7 (heptasyllabe) Me retenir par la main, il faudra rime embrassée 10 (décasyllabe) Que tout soit hors du temps, hors du monde. rime embrassée 10 (décasyllabe) Hors de tout ce qui est ou qui n’est pas rime plate ou suivie 10 (décasyllabe) Pour qu’à jamais s’effacent nos pas rime plate ou suivie 8 (octosyllabe) Mais que toi dans l’ombre tu sois. rime embrassée 7 (heptasyllabe) Lorsque

inspiré de la Hollande. Le poète propose une forme originale, une organisation en colonne, à travers les douzains mêlant heptasyllabes et pentasyllabes, entrecoupés de distiques répétitifs (heptasyllabe + hexasyllabe). Les couplets constitués de deux sizains (ou un douzain) sont construits de la même manière, deux pentasyllabes, un heptasyllabe, deux pentasyllabes et un heptasyllabe. Une rime plate est suivie de deux rimes embrassées. Ce poème est donc caractérisé par sa très grande musicalité. (Choix

Le poème Liberté est composé de vingt-et-un quatrains chacun constitué de trois heptasyllabes et terminé par un tétrasyllabe, cette composition en vers libres, témoigne du caractère surréaliste du poème. 20 strophes construites sur le même canevas :
- Anaphore de la préposition "sur", répétée 3 fois par strophe et suivie de compléments circonstanciels de lieu
- Dernier vers de la strophe : "J'écris ton nom" 
 -> Eluard cherche à ce que son texte soit facilement mémorisé pour être retransmis oralement

attention le poème puis relevez les thèmes principaux ainsi que les figures de style. Ex : anaphore de « Celui qui croyait au ciel celui qui n'y croyait pas ». Poème du XXe siècle => est-il régulier ? comment est-il construit ? - Il se compose de 64 heptasyllabes (vers de 7 syllabe) avec un vers qui revient très souvent => sorte de refrain. - chaque vers se termine en A (parfois même rimes riches) ou en « el » => sonorités qui reviennent, musique… => Échos, refrain. … Puis, mettez ces remarques en rapport

néanmoins une métaphore filée de la guerre. C’est donc l’histoire de deux hommes, assimilés à des résistants, qui se combattent pour libérer la même femme, prisonnière, qui représente la France occupée. La forme est assez traditionnelle, utilisant des heptasyllabes tout au long du poème, la seule trace de modernité réside dans l’absence totale de ponctuation. On constate que l’univers est éternel, la campagne, ce que l’on peut voir grâce au grillon (v.60), au blé (v.21), et à l’alouette et l’hirondelle(v

sept pieds > heptasyllabe, puis un distique d'heptasyllabes formant le refrain). Dans les couplets, les pentasyllabes ont des rimes masculines et les heptasyllabes ont des rimes féminines. Dans le distique qui forme le refrain, les heptasyllabes ont des rimes masculines. De la musique : Les vers impairs sont rarement utilisés par Baudelaire. On trouve des pentasyllabes dans Le serpent qui danse (FdM - XXVIII), La musique (FdM - LXIX), L'Amour et le Crâne (FdM - CXVII) et des heptasyllabes dans Le poison