Heptasyllabe

poèmes des Fleurs du Mal en comportent : 110 en alexandrins, 33 en octosyllabes, 4 en décasyllabes, 1 en heptasyllabes. Seuls 15 utilisent une combinaison métrique : 7 en alexandrins et octosyllabes, 2 en octosyllabes et pentasyllabes, 1 en alexandrins et pentasyllabes, 1 en décasyllabes et octosyllabes, 1 en décasyllabese et pentasyllabes, 1 en heptasyllabes et pentasyllabes, 1 en heptasyllabes et tétrasyllabes, 1 en octosyllabes, hexasyllabes et tétrasyllabes. Baudelaire reste obstinément fidèle

vers). Malgré que la forme du poème reste assez libre, on peut remarquer que les trois premières strophes sont composées de vers hexasyllabes et de vers heptasyllabes uniquement, celles-ci sont toujours débutées par un hexasyllabe suivi d’un heptasyllabe. La quatrième, plus diversifiée contient un vers ennéasyllabe, un autre octosyllabe, un heptasyllabe ainsi qu’un décasyllabe et un hexasyllabe. A part à la première strophe, où les deux derniers vers riment entre eux en formant des rimes suffisantes

transmet une rêverie poétique ? I Un poème particulier a) une construction originale -il y a 3 douzains et 3 distiques, dans chaque douzains, utilisation des vers impairs => il y a des heptasyllabes qui embrassent des distiques de pentasyllabes → les pentasyllabes forment des rimes plates et les heptasyllabes sont embrassés → il y a donc une musicalité particulière, les vers courts créés un rythme rapide, les phrases sont longues : 2 phrases pour le deuxième douzain, la rapidité est dû également

sensuel. Il ne s'agit pas d'un voyage mais d'une promesse de voyage épanouissant le rêve. Composition originale : 3 strophes séparées par un refrain, heptasyllabes et pentasyllabes : le poème présente une forte musicalité. Chaque distique (composé de 2 vers) comporte 5 syllabes, c'est un pentamètre ou pentasyllabe. Il y a aussi une heptasyllabe (7). Vers 23 : " orientale " à Diérèse (prononcer une syllabe en 2 temps). L'emplacement des diérèses (V10, V23, V38) prouve la régularité des rythmes

latin (Phèdre) de l'Antiquité. Texte: (Lire) Versification: -écrit en heptasyllabes et trisyllabes, rimes croisées puis suivies C'est un récit: =>simple (utilisation d'un vocabulaire simple, phrases coutres, deux personnages seulement) =>attrayant (présence de discours direct, qui rend la fable plus vivante), structures des rimes variées (croisées puis suivies)=> changement, lecture pas monotone vers courts (heptasyllabes et trisyllabes) rendent la lecture rapide La fable est construite sur

agréable la fable rythme des vers, animaux, personnification, aspect théâtrale (cf préface) lie, avec corneille, Molière, Racine Strophes : - isométrique -hétérométrique Vers mêlés : alexandrins (12), octosyllabes (8), heptasyllabe (7) système de rimes : croisées, plates, embrassées évocation de la nature a)cadre (9 à 11) marécageuse, sous les eaux, dans les joncs, dans les roseaux °évocation du milieu aquatique → sommaire et suggestive LF aime beaucoup le milieu

Pour mon esprit ont les charmes Si mystérieux De tes traitres yeux 12- Brillant à travers leurs larmes. » Charles Baudelaire, « L’Invitation au voyage » (Les Fleurs du mal) 1) Les principaux types de vers : 12 syllabes = alexandrin 7 syllabes = heptasyllabe 10 = décasyllabe 6 syllabes = hexasyllabe 8 = octosyllabe 5 syllabes = pentasyllabe Expl : « Mon enfant, ma sœur » = pentasyllabe (mon / en / fant / ma / sœur) 2) Le problème du e muet : Dans certains cas un problème se pose : faut-il prononcer

Thème Le pot de terre et le Hypocrisie pot de fleur Le lion et le moucheron Force Combat Visée Résumé Métrique Morale Critique des gens hypocrites Le pot de fer proposa au pot de terre de voyager ensemble mais le pot de terre se brisa. Heptasyllabes Alexandrins Riches et pauvres ne savent pas vivre ensemblent Critique des courtisans Combat entre le lion pensant gagner et un moucheron mais ce dernier gagna. Octosyllabes Alexandrins Il faut juger à leur juste valeur les ennemis semblant

présent de narration, ce qui rend le récit (qui tend déjà vers la fin) plus vivant. Il y a ainsi une nette accélération du rythme ; l’effet dramatique est renforcé, le pot de terre clopinant vers son destin. Cette petite excursion est racontée en heptasyllabes. Ce vers impair se prête bien au récit de la progression sur trois pieds des pots : Pot de fer son camarade Se met droit à ses côtés. Mes gens s'en vont à trois pieds, Clopin-clopant comme ils peuvent, L'un contre l'autre jetés Au moindre

longueur, rimes.) Strophes : 1 douzain, 1 distique x2 avec le distique = au refrain, 3 couplets, 3 refrains. Le mètre : pentasyllabe (5) / heptasyllabe (7) . Ce sont des vers impairs (pour le douzain) => rappelle poésie verlainienne pour qui l’impair est musical. Ici, Baudelaire donne la musicalité ou le tempo d’une berceuse. Le mètre du distique : 2 heptasyllabe dans le refrain qui se suivent ce qui le rallonge. Il parle d’une compagne de voyage car il l’invite dans un pays particulier. Elle