Heptasyllabe

une parole poétique retournant à ses sources populaires (exemple de Chanson d’Automne de Verlaine). Description C’est un poème de vingt strophes. Toutes les strophes sont construites de la même façon. Chaque quatrain est formé de 3 heptasyllabes (7) et d’un tétrasyllabe (3) constitué de mots brefs. Il y a une anaphore avec le mot « sur », répété trois fois par strophe et toujours suivi d’un complément circonstanciel de lieu et le dernier vers est « J’écris ton nom ». Le rythme du poème

et essaye d’atteindre les combattants en soutenant leurs causes et maintenir un espoir d’une éventuelle victoire. Lire ou apprendre le poème . Le poème est composé de 21 strophes formé sous la forme de quatrain qui contiennent eux-mêmes 3 heptasyllabes et 1 tétrasyllabes. Ils sont construient de la même façon, sur l’anaphore du mot « sur » qui revient tel une répétition que l’on peut appelé litanie. D’ailleur cette litanie est renforcé par la répétition du vers « j’écris ton nom » qui revient

imaginaire dans ce poème. I. Un tableau en tryptique A. Une construction en tryptique * On considérera d’abord les contours. * Composé de 3 doubles sizains hétérométriques, alternant 2 pentasyllabes + 1 heptasyllabe entrecoupé d’1 refrain = 2 vers en heptasyllabes. * Alternance rimes masculines (penta) + rimes féminines (hepta) => résonances ou échos sonores + jeu subtil de différence et de répétition + impression de bercement. * Chacune de ces strophes marque une étapes

éléments qui sont récurrents et invariables tels que le refrain. Ainsi il se répète avec la présence du refrain présent entre les strophes par « Vienne la nuit sonne l’heure ; Les jours s’en vont je demeure » . Ce refrain et composer de deux heptasyllabes qui donne un distique en deux vers. La répétition du refrain donne l’impression d’une certaine monotonie et d’une plainte qu’exprime l’auteur. D’autre part l’auteur développe un regret de cet amour perdu et cette angoisse de devoir faire face

présent. Le cadre mélange réalisme et fantaisie, cherchant à divertir le lecteur pour qu’il intègre mieux l’enseignement de la fable. On trouve également des heptasyllabes (« Par leur clameurs firent tant ») des octosyllabes (« Vous avez dû premièrement ») et des alexandrins (« Une autre la suivit, une autre en fit autant »). Les heptasyllabes plus courts : « Les Grenouilles se lassant » montre l’affolement et l’indécision des grenouilles. Les alexandrins, eux sont solennels, ils évoquent soit Jupiter

fables commencent de la même façon : « La cigale ayant chanté » (heptasyllabe) « Tout l’été » (3 syllabes) Le rythme est cassé, et cela permet de pressentir un malaise dès la situation initiale, de plus, cet enjambement met en valeur « Tout l’été », encore renforcé par l’espace typologique qui lui est consacré. De même, l’élément perturbateur (la bise) est le même dans les 2 fables : « Quand la bise fut venue » (heptasyllabe) Là aussi, le vers impair souligne cet élément en cassant la régularité

féminines, suffisantes pour la plupart réunis en tercets. Apollinaire, pour briser le rythme a désarticulé le 2éme décasyllabe à la césure et en a constitué 2 vers : l’un qui ne rime avec aucun autre de 4, l’autre de 6 syllabes. Refrain : distique en heptasyllabes non ponctués   composition cyclique, éternel recommencement avec la reprise du 1° vers. PLAN DU TEXTE 1° strophe : le décor lance la méditation et le rappel du souvenir des amours passées. Déjà les 3 thèmes s'entrelacent. 2° strophe : monologue

1 à 3 : transformation de la mendiante sous le regard du poète => éloge Strophes 4 à 11 : rêveries du poète, une mendiante poétique Strophes 12 à 14 : retour à la réalité  Versification : 14 quatrains => poème long mais vers courts Heptasyllabes (vers impairs, rares en poésie) + tétrasyllabe => légèreté Projet de lecture : L’imagination créatrice de Baudelaire transfigure l’image de la mendiante Mouvement 1 : strophes 1 à 3 → éloge paradoxal de la mendiante rousse Une jeune fille

Le Poème La forme du poème Ce poème de 24 vers est composé de quatre quatrains et quatre distiques. Les distiques y jouent le rôle de refrain, ce qui confère au poème une impression de monotonie, de plainte. De plus, leurs vers en heptasyllabes demeurent indispensables à la musicalité du poème. Le premier vers est repris à la fin du poème, ce qui lui donne un aspect circulaire, sans fin. Un poème ambigu L’absence

suivant commence par une voyelle. -Pour un doublement de consonne, on coupe entre les deux. Les vers Un vers est une ligne dans un poème. Nombre de syllabes : -4 : tétrasyllabe -5 : pentasyllabe -6 : hexasyllabe -7 : heptasyllabe -8 : octosyllabe -9 : ennéasyllabe -10 : décasyllabe -11 : hendécasyllabe -12 : alexandrin Les rimes Les rimes ont plusieurs caractéristiques : Leur disposition : -les rimes plates ou suivies (AABB) -les rimes