Heureux Et Devoir

faible, mortel, exposé à la maladie, aux affres de la solitude, à de multiples soucis et de surcroît, priver du seul être qui pouvait le combler, Dieu. « Les hommes n’ayant pu guérir la mort, la misère, l’ignorance, ils se sont avisés pour se rendre heureux de n’y point penser. » Le divertissement est l’échappatoire choisi, dans cette situation, à la conscience de son insuffisance, de sa misère, de son vide, de sa déréliction (abandon, désespérance, abattement). La notion pascalienne de divertissement

désire pas une chose parce qu’on la juge bonne, on la désire parce qu’elle est bonne. Rousseau : « Malheur à qui n’a plus rien à désirer », l’imagination permet de représenter par avance le plaisir de la possession. Descartes : « Pour être toujours heureux, il ne faut pas désirer l’impossible », « Il vaut mieux changer ses désirs plutôt que l’ordre du monde » Freud : Deux pulsions, la vie et la mort Travail : Toute activité contrainte dont la fonction première est la satisfaction de ses besoins. Marx :

l'argumentation d'Epicure. Mais il ne peut pas remplacer l'étude détaillée de cette argumentation (lisez le texte!!!). 1 - Prologue- introduction générale: Il est nécessaire de s'exercer à la philosophie quel que soit l'age, le moment d'être heureux ne doit pas attendre. (§§122-123) 2 - Les dieux ne sont pas à craindre car ils sont bienheureux et immortels. Ils sont donc indifférents par rapport aux hommes. Critique des opinions populaires à leurs propos. (§§123-124) 3 - La mort n'est rien

du concept, quiconque veut se donner comme impératif dans la vie de se consacrer effectivement à cette recherche sera bien embarrassé : « Le concept de bonheur est un concept si indéterminé, que, malgré le désir qu’a tout homme d’arriver à être heureux, personne ne peut jamais dire en termes précis et cohérents ce que véritablement il désire et veut. La raison en est que tous les éléments qui font partie du concept de bonheur sont dans leur ensemble empiriques, c’est-à-dire doivent être empruntés

ce que nous possédons. Sommes-nous, réellement responsables de notre bonheur, comme de notre malheur et si l’un ou l’autre dépendait du hasard ? Pourtant certains événements contribuent à notre bonheur ou alors nous rendent malheureux. Nous allons devoir résoudre cela, en essayant de comprendre ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. Pour finir, nous verrons pourquoi le bonheur se désigne par sa durée: en quoi l’homme doit il le chercher dans le moment présent. I- Le bonheur selon

La philosophie antique postule que tout homme mène sa vie pour être heureux et cherche donc cet état de satisfaction stable et durable qu'est le bonheur. Ce dernier peut-être considéré comme la finalité de l'existence humaine tant la quête pour l'atteindre est universelle. Notre société est constituée d'injonctions au bonheur que ce soit dans le discours publicitaire, avec la consommation comme moyen de l'atteindre, ou politique. Les hommes vont donc poursuivre le bonheur à leur manière, de façon

nom de devoir envers autrui. Selon Kant, pour vérifier si une action est morale, il faut pouvoir en faire une loi universelle. Il n’est pas possible d’élever la maxime qui suit à la hauteur d’une loi universelle : « je n’ai pas à me préoccuper du bonheur des autres ». Personne ne voudrait vivre dans un tel monde où tous les hommes seraient indifférents aux autres. Donc, nous avons tous ce que Kant nomme « un devoir large envers autrui » , qui est un devoir de bienfaisance. Ce devoir consiste

Sujet de Philosophie: « Peut-on désirer l’impossible pour être heureux ? » Selon Saint Augustin, "Le bonheur, c'est de continuer à désirer ce qu'on possède ". Ici, ce théologien désigne le bonheur tel une volonté de faire perdurer le plus possible le désir. En effet, désirer est source de sentiments et d’émotions, plus ou moins positives, mais qui nous enrichissent chaque fois. Ce qu’il entend par « ce qu’on possède » fait allusion à ce dont nous disposons, nous détenons et savons. En d’autres

COURS INTRODUCTIF Notions Principales : la Conscience - la Vérité - l’Esprit - la Liberté - le Bonheur Notions Secondaires : le Désir - la Culture - la Raison et le Réel - la Morale - le Devoir - la Justice I - CONSIDERATIONS PRELIMINAIRES SUR LA PHILOSOPHIE Citations: "si tu dis qu'on doit φ tu dois φ; mais si tu prétens qu'on doit pas φ alors tu dois φ ne fut-ce pour que le prouver. De toute façon, tu dois φ car c'est φ que de se demander si on doit le faire." ARISTOTE "La φ fut-elle inutile

2014-03-01 Philosophie et rationalité Groupe 01 Devoir #2 La liberté est-elle nécessaire à une vie heureuse ? Il faut nous mettre à l’évidence qu’il existe un état d’être qui explique la raison même de notre existence sur terre, un état d’être que plusieurs essaient sans cesse de combattre chaque