Hippolyte et Aricie

des lieux inexestants avec des personnages non réels. Résumé de la pièce Alors que le roi Thésée est absent depuis longtemps, son fils Hippolyte aime secrètement Aricie, une ennemie de Thésée. La reine Phèdre avoue à sa nourrice qu'elle éprouve une passion pour son beau fils, Hippolyte. C'est un amour interdit. Aricie avoue elle aussi aimer Hippolyte et lui propose le trône d'Attique. La mort de Thésée a été annoncée alors qu'il a réapparu quelques temps après. Des histoires d'amour et de haine

 Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre(1677). Ici, ces six plus grandes , surtout Phèdre qui fut sa plus grande tragédie , est composé de 1654 alexandrins. Dans le passage que nous étudierons qui est l’acte IV scène 6, Phèdre apprend qu’Hippolyte aime Aricie et elle exprime donc rage et jalousie envers la princesse de sang royal. Dans une première partie nous étudierons la violence sous ses différents aspects. Puis, dans une deuxième partie il conviendra de souligner la folie paranoïaque de l’homme

femme de Thésée, fille de Minos et de Pasiphaé # HIPPOLYTE, fils de Thésée et d'Antiope (reine des Amazones) # ARICIE, princesse du sang royale d'Athènes # ŒNONE, nourrice et confidente de Phèdre # THÉRAMÈNE, gouverneur d'Hippolyte # ISMÈNE, confidente d'Aricie # PANOPE, femme de la suite de Phèdre # GARDES Résumé de l’œuvre : Hippolyte annonce à son confident Théramène son intention de quitter la ville de Trézène pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi de Thésée

vers montre aussi que la situation échappe à Hippolyte, qui ne peut plus contrôler ses chevaux. - Verbes de mouvement pour montrer le désordre, l'agitation, la tourmente. Perception visuelle. Les gardes d' Hippolyte imitent Théramène, et ont l'air déconcertés, choqués et ne savent pas ce qu'il faut faire. - Métaphore qui compare le corps d'Hippolyte à une plaie, pour montrer la gravité de ses blessures. - Synecdoque : la « main » désigne Hippolyte tout entier. Fils d'une amazone, il aime la

siècle avant J.C | Doit être comporter de V actes : L’acte de l’exposition , et les trois autres le dénouement | La pièce est composé de V actes :L’acte I comprend 5 scènes qui présentent tous les personnages principaux ( Phèdre , Thésée , Hippolyte , Aricie , Oenone , Théramène , Ismène et Panope ) Dans les trois suivants«, Thésée meurs , Phèdre avoue son amour a Hyppolite mais ce dernier est amoureux d’Aricie , la pire ennemie du royaume…ce sont les évènement qui font avancer l’histoire , puis

Acte 1, Scène 1 ; Phèdre 1/ Une scène d’exposition 1) Mise en place de l’intrigue 2) Le caractère des principaux personnages 2/ L’aveu 1) Théramène confident 2) Hippolyte confesse implicitement son amour La scène d’exposition est construite pour donner aux spectateurs les éléments nécessaires à la compréhension de la situation initiale. Cette scène est soumise a des règles, la présentation de l’intrigue, le contexte, les décors de la pièce et les personnages. Par principe, la scène

pitié de ma jalouse rage ». En effet, Phèdre éprouve des sentiments pour Hippolyte, son beau-fils, qui la repousse. Hippolyte est épris d’Aricie : « Ils bravent la fureur d’une amante insensée. » Ce refus de la part d’Hippolyte la met dans une rage folle, son amour pour Hippolyte est si fort qu’elle ne peut supporter l’idylle qu’il vit avec Aricie : « Non, je ne puis souffrir d’un bonheur qui m’outrage », « Il faut perdre Aricie ». Dans le texte, cette passion s’exprime à travers un vocabulaire de

satisfait que son héro ne soit complice de cette calomnie honteuse contre un innocent ; et il se délecte à la voir ----------------------------------------------------------------------------1- Phèdre, Op. Cit. P: 55 4 tomber à genoux devant Hippolyte en mendiant un peu d'amour. Cette passion n'est pas chez elle un épanouissement du cœur, mais une convoitise à goûter le péché, un mal qui éteint toute lumière dans son cœur et qui étouffe chez elle le cri de la raison: « Hélas! du crime affreux

reine d'Athènes qui tombe amoureuse de son beau-fils, elle lui avoue son amour lorsqu'elle croit que son mari, Thésée, est mort. Mais cet amour n'est pas réciproque. Au retour de Thésée, Oenone, la confidente de Phèdre, raconte à Thésée que c'est Hippolyte qui aime Phèdre pour la protéger. Fou de rage, Thésée maudira son fils. S'ensuivra la mort de tous les personnages sauf celle de Thésée et d'Aricie. On peut alors se demander si Phèdre est une tragédie classique. Tout d'abord nous verrons les caractéristiques

premier moment : la souffrance que Phèdre aiguise avant de s'attendrir sur elle-même. Elle passe par trois étapes : la plainte, d'abord (les vers 1214-1224)pénétrée d'une stupeur (« Ils s'aiment ! ») et d'une sorte d'ironie douloureuses devant cet Hippolyte que, employant les hyperboles de la langue précieuse, elle pouvait accepter comme un « farouche ennemi » de tout amour, mais qui lui a donné « une rivale » , puis déchirante (les vers 1225-1230) ; le retour sur le passé avec son désir de comprendre