Histoire Comparée Des Institutions

système totalitaire, (1951), Paris, Seuil, coll. Points, 1972 Avril P., La Ve République. Histoire politique et constitutionnelle, Paris, PUF, 1994. Berstein S., Démocraties, régimes autoritaires et totalitarisme au XXè siècle, Paris, Hachette, 1992, 251 p. Burdeau Georges, La Démocratie, Paris, Seuil, 1978. Constant F., 1998, La citoyenneté, Paris, Ed. Monchrétien, coll. clefs Meny Yves, Politiques comparées, les démocraties, Domat Politique, ed. Montchrétien, 1987. pp. 121-153. §1 – Aperçus historiques

se répéter jamais. Essentiellement locaux et individuels, ils passent pour ne plus revenir, et sont par conséquent réfractaires à toute généralisation, c'est-à-dire à toute étude scientifique, puisqu'il n'y a pas de science du particulier. Les institutions économiques, politiques, juridiques, dépendent de la race, du climat, de toutes les circonstances au milieu desquelles elles se développent : ce sont autant de quantités hétérogènes qui ne se prêtent pas à la comparaison. Elles ont dans chaque

septembre. J. Sapir, « 7 jours qui ébranlèrent la finance », posté le 22 septembre 2008 sur EHESS, Actualités de la Recherche en Histoire Visuelle à : http://www.arhv.lhivic.org/index.php/2008/09/22/816-sept-jours-qui-ebranlerent-la-finance Et J. Sapir, « Trop peu, trop tard – les aventures du Plan Paulson », mis en ligne le 6 octobre 2008 ; site Actualités de la Recherche en Histoire Visuelle URL : http://www.arhv.lhivic.org/index.php/2008/10/06/833-trop-peu-trop-tard 1 Contact : sapir@msh-paris.fr

sur le métier et en faire l’étude ; mais en tenant ensemble, pour ne rien perdre de cette richesse suggestive, les éléments de l’essai et les éléments des théories de l’essai, dans une démarche de poétique réflexive. POUR UNE MÉTAPOÉTIQUE COMPARÉE Un tel programme méthodologique paraît-il trop abstrait ? Regardons par-dessus l’épaule d’un honnête chercheur en littérature qui voudrait éclaircir, à sa modeste mesure, le genre profus effleuré plus haut. Avec confiance tout d’abord dans

consommations énergétiques générées par les activités d’une entreprise – procédé et/ou bâtiment (chauffage, électricité, ventilation, climatisation, etc.) –, compte tenu de ses caractéristiques et usages. Les consommations d’énergie sont mesurées et comparées aux ratios du secteur concerné en vue d’établir le potentiel d’économie d’énergie. L’audit énergétique débouche sur un programme d’actions visant l’efficacité énergétique d’un bâtiment (ou d’un procédé industriel) et constitue par la même occasion

d’assimiler les francophones au Québec, il faut faire en sorte qu’il ne puisse prospérer ailleurs » (Paquin, p.85) Ainsi, c’est par crainte injustifiable et illogique de la part des Canadiens Anglais que les Canadiens Français exportent leurs institutions, leur langue ou leur religion ailleurs qu’au Québec, afin de faire du Canada un pays francophone. De plus, le taux phénoménal de natalité des Canadiens Français de l’époque conjugué avec le mouvement démographique des Canadiens Français dû au

transaction, surtout la version de Williamson, utilise un concept d'efficacité très précis mais particulier : une efficacité comparée de formes discrètes de modes de gouvernance déterminée par celle qui obtient le coût de transaction le plus bas. Pour effectuer une série de transactions, les agents économiques doivent choisir un instrument. C'est un mode de gouvernance, ou institution de l'économie (Williamson 1994). Il permet de réaliser des tâches identiques. Il n'y a donc pas de préférence à priori

social contemporain et notamment aux nouvelles modalités identitaires de construction du vouloir-vivre collectif. L’École a longtemps été l’outil privilégié de L’originalité de la manifestation est de réunir la fabrique du citoyen français, institution pour la première fois dans le cadre universitaire à l’œuvre dans le processus de construction artistes et chercheurs pour débattre de la ques- d’une identité commune faite de récits collection du lien social contemporain : des tables tifs et

animaux. Mais des travaux récents en éthologie et en primatologie ont montré l'existence de cultures animales. En sociologie, la culture est définie comme "ce qui est commun à un groupe d'individus et comme ce qui le "soude". Ainsi, pour une institution internationale comme l'UNESCO : « Dans son sens le plus large, la culture peut aujourd'hui être considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social

et généralement acceptables est l’une des raisons de l’aspect polémique du champ littéraire, comme si la théorie consistait toujours à trancher entre deux options exagérément opposées : évaluation ou description, contexte ou texte, rhétorique ou histoire, positivisme ou impressionnisme, objectivité ou subjectivisme, généralisme ou particularisme, art ou science, mimésis ou sémiosis, forme ou contenu. La prolifération de ces alternatives, qui se présentent toujours, comme les dichotomies de Platon