Histoire Du Rire Et De La Dérision

TPE sur « Le Rire » Thème : Bien-être et santé Réalisées par : Encadrée par : Assor Jessica 1ère S1 Mme Harroch, professeur d’SVT Bitton Déborah 1ère S2 Ecole :YABNE Abitbol Eden 1ère S4 Années : 2013/2014 Serezo Sarah 1ère S4 Plan : I- Le rire dans la littérature au fil des siècles A- Le rire dans l’Antiquité B- Le rire au Moyen-âge C- Le rire durant la période de la Renaissance D- Le classicisme E- Le rire au XIXème siècle F- Le rire au XXème siècle

pessimiste. L'absurdité du monde soumis à la vieillesse et à la mort, l'absurdité du langage qui ne peut que se répéter sans innover, sans rien dire (dans Oh les beaux jours) ont une valeur de preuve ou de démonstration. Cela n'exclut pas qu'on puisse rire à certains passages de la pièce de Beckett. Le nonsense, quant à lui, semble difficilement utilisable dans le cadre d'une philosophie. Enfin, pour certains, le nonsense s'apparente au paradoxe, au mot d'esprit. Le paradoxe consiste à opposer

psychologique très particulier, et c'est ce qui fait son originalité. Michel Tournier a confié : «L'idée de cette histoire m'est venue à la lecture des “Mots” de Jean-Paul Sartre. Faisant allusion à sa petite taille, l'auteur précise qu'elle ne fait tout de même pas de lui un nain. Je me suis alors demandé quel était le seuil qui établissait le partage entre les nains et les hommes petits. Mon histoire est donc celle d'un grand nain (pourquoi parle-t-ontoujours de «petits nains»?), si grand qu’il lui suffit

Histoire des arts. #Le dictareur, Charlie Chaplin. Première partie: présentation du film Quoi, quand et où ? Type de film, nationalité, réalisateur, date.. • Le dictateur, film (art cinématograhique donc art visiuel) américain en noir et blanc et sonorisé de 1940, est une satire où le réalisateur Charlie Chaplin tourne en dérision le système totalitaire nazi et surtout son représentant principal. C'est le premier vrai long métrage parlant de Charlie Chaplin. Celui-ci, comme c'est le

mathématicien auteur d’Alice au pays des merveilles. Charles Lutwidge Dodgson de son vrai nom est né le 14 janvier 1832 à Daresbury puis vécu à Croft dans le Yorkshire, entouré de ses dix frères et sœurs. Dès son plus jeune âge, il aimait inventer des histoires, notamment en créant des spectacles de marionnettes. Enfant gaucher, on considère aujourd’hui que son goût pour l’inversion et le renversement proviendrait de cela. Il quitte jeune la maison familiale pour aller en pension à Richmond à l’âge de

d'autant qu'il a reçu une éducation de grande qualité auprès de Ponocrates. Grandgousier et Gargantua seraient donc à l'image des Silènes du prologue, ces boites sur lesquels étaient des " pinctures contrefaictes à plaisir pour exciter le monde à rire » (cette définition convient bien à nos géants) : frivoles à l'extérieur mais remplis de qualités. [Conclusion] Les rois géants deviennent au fur et à mesure du roman de grands hommes dont la qualité principale est la magnanimité (ce terme, qui

pourvus de leurs qualités et de leurs défauts.) la parabole est récit allégorique qui contient un enseignement moral  On appelle allégorie un tableau, une histoire, un objet qui représentent une idée.L'allégorie est donc une métaphore d'un genre particulier. Elle est une figure rhétorique qui consiste à exprimer une idée en utilisant une histoire ou une représentation qui doit servir de support comparatif.En effet, elle offre une image à la fois unitaire et détaillée de l'idée qu'elle représente. Par

en fin de vie, corps mourant, Hamm semble dormir: mort ? (présence du mouchoir en sang peut le laisser penser) Clov se met en mvt, péniblement, comme rouillée. Vers quelle fin ? Quelle destinat° ? Hésitations, allers-retours entre les 2 fenêtres, « rire bref » énigmatique. Comique ou malaise : pantomime en forme de croix aux 4 coins de la scène (fin ou jeu absurde et inquiétant ?) II. Début de la fin. Première réplique de Clov: « Fini. C'est fini. Ça va finir. Ça va peut être finir ». → répétitions

Tansi nous rappelle, dans un entretien accordé à Bernard Magnier pour le compte de la revue Notre librairie : « Aucune partie du monde ne peut plus se soustraire au monde créé par les hommes, et qui reste un monde de douleur » 3. Falilou Ndiaye, « Dérision et Déraison dans La Plaie de Malick Fall », in Annales de la Faculté des Lettres et Sciences humaines Dakar, n° 32, 2002, p. 271. 2 Ibid, p. 275. 3 Bernard Magnier, « Je ne suis pas à développer mais à prendre ou à laisser : entretien avec Sony Labou

colère ou la rage, les jours qui passent comme un monstre dévorant, et donne alors au titre une tonalité pessimiste. 3. La première de couverture reproduit l’affiche du film où Colin et Chloé se sourient avec tendresse et complicité. Elle suggère une histoire d’amour heureux (la jeune femme est en robe de mariée), la fête, le bonheur et l’harmonie, sans contrepartie négative, si ce n’est l’écume qui, précisément, vient ternir cette photo qui évoque un moment solennel et un bonheur sans nuage. On peut