Histoire économique

croissance économique malgré tout. Le repli du moyen âge ca sera une négation de l’activité économique. La valeur du moyen-âge et une valeur guerrière. On cherche plus à regrouper des richesses et la valeur guerrière sera valoriser par la société. Le repli est une vision européenne, car a l’extérieure c’est l’apogée du monde musulman. Quand on a parle de repli c'est-à-dire que l’économie passe après la valeur guerrière. Section 1 : Le Moyen-âge comme ordre guerrier, comme ordre non économique. Il

UNIVERSITE DE BRETAGNE OCCIDENTALE DEUG 1ERE ANNEE HISTOIRE DES FAITS ET DE LA PENSEE ECONOMIQUE S.CALLENS HISTOIRE DES FAITS ET DES IDÉES ÉCONOMIQUES (XVIIIème-XXème siècles) Année universitaire 2001-2002 Second Semestre 1 © 2002 Tous droits réservés. http://bibliotheques.univ-lille1.fr/grisemine UNIVERSITE DE BRETAGNE OCCIDENTALE DEUG 1ERE ANNEE HISTOIRE DES FAITS ET DE LA PENSEE ECONOMIQUE Illustration en Frontispice : extrait de la Déclaration des Droits de l’Homme

Histoire de la pensée économique Introduction : Le terme « économie » apparaît dans la Grèce antique et signifie « loi de la maison ». Il a un aspect très microéconomique à la base. L’économie s’impose comme une science de gestion de la rareté. Sous entendue une science qui étudie la production, la répartition et la circulation des richesses. Cependant le mot science devient quiproquo lorsqu’on sait que dans le sens courant il renvoie à une exactitude. L’économie ne peut pas être une science

Histoire économique. (26/09/2011.) Chapitre 2 : Développement, croissance et crises au cours du XIX ème siècle. I.) Croissance et crises de l'Ancien Régime au XIX ème siècle. a.) Les crises d'Ancien Régime. Jusque sous l'Ancien Régime, jusqu'en 1789, on ne peut pas dire qu'il y a eu beaucoup de croissance. (Environ 1 % de croissance.) Même en absence de croissance, il y a des périodes de crises, qui sont pires que la stabilité. Ces crises d'Ancien Régime sont ce qu'on appelle des crises préindustrielles

pensée économique ? 2- L’histoire de la pensée économique et l’histoire des autres sciences 3- Les méthodes de l’HPE 3.1. Une histoire rationnelle ou une histoire intellectuelle ? 3.2. Approche relativiste vs. Approche paradigmatique 1) A quoi sert l’histoire de la pensée économique ? A RIEN Comme l’affirmait Georges STIGLER en 1969, l’histoire de la pensée économique est une perte de temps inutile, comme nous avons tant à faire avec la théorie économique moderne

Introduction générale Quand on parle d'histoire de la pensée économique, il y a des enjeux sur l'histoire (apparition des différents concepts). L'idée est de se pencher sur les aspects philosophiques. Le regard de l'évolution de la pensée économique montre des formes de spécialisation (des auteurs ne feront que de l'économie). Les auteurs qui ne font que de l'économie apparaissent au XIXe siècle. Le terme d'économie apparaît dans la Grèce Antique par des écrits d'auteurs qui sont avant tout des

I N T R O D U C T IO N G E N E R A LE Qu’est-ce que nous allons faire pendant ce cours ? 1. étudier la pensée économique 2. faire de l’histoire Définissons plus précisément ces termes. L’Histoire L’histoire en tant que domaine de connaissances articulé, n’a guère plus de deux siècles. Notre connaissance a donc fait d’énormes progrès en peu de temps. Exemples : • les conditions de travail au 19ème • la diffusion des technologies. L’histoire n’est jamais neutre. Cela ne veut pas dire que l’histoire

Introduction : Quelques mots sur la nécessité d’étudier l’histoire de la pensée économique : L’H.P.E. est intéressante dans la mesure où elle permet de faire l’histoire de la pensée d’une discipline qui s’est formée à un moment donné. En effet, un certain nombre de questions fondamentales aujourd’hui sont éclairées par une connaissance historique (nécessité de comprendre le présent). Exemples : L’école néo-classique (fin XIX è jusqu’à aujourd’hui) est considérée comme libérale pour la majorité

guerre et les conséquences économiques. Le coût humain : Entre 22 et 25 millions de morts dont 16 millions de morts directs. Les pertes humaines liées à la guerre entrainent le recul des naissances. En France, de 1909 à 1913, il y avait 755 000 naissances. Et entre 1915 et 1919, il y avait 369 000 naissances, sans connaître le "baby-boom". Environ 20 % de la population active a disparu en France et en Allemagne. Cette première guerre a également mobilisé le potentiel économique, beaucoup plus que par

personnel, il contribue à l’intérêt général» 4) Les libertés économiques (libre-échange, liberté d'entreprendre, libre choix de consommation, de travail, etc.) sont nécessaires au bon fonctionnement de l'économie et que l’intervention de l’État doit se limité à la sécurité, diplomatie, justice respect de la concurrence. Le libéralisme économique garanti l’efficacité économique, en d’autre terme, Il devrait avoir aucun obstacle à la liberté économique pour que chaque individu assure la rationalité « laissé