Historique Du Système Comptable Ohada

 LA NORMALISATION COMPTABLE INTRODUCTION Mondialisation et globalisation sont devenus les mots emblématiques de notre époque. Ils traduisent le processus de normalisation des règles de commerce et consacrent l’ère de l’économie du marché, caractérisée par une grande concurrence, le pouvoir des consommateurs, les innovations technologiques et la révolution financière dans l’entreprise qui modifie radicalement l’activité de nombreux secteurs. L’importance des enjeux ne laisse aucun pays

les livres de ses correspondants) | OHADA | : | Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires | PSI | : | Prestataire de Service d'investissement | REMDOC | : | Remise Documentaire | SG | : | Société Générale | SGBC | : | Société Générale de Banques au Cameroun | SMS | : | Short Message Service | SOCHAN | : | Salle des Opérations de Change (SG Paris) | SYGMA | : | Système de Gros Montants Automatisés | SYSTAC | : | Système de Télécompensation en Afrique Centrale

ET ABREVIATIONS iv AVANT-PROPOS v INTRODUCTION 1 Chapitre I. Présentation de la SOFICO 3 I. Création et activités 3 II. Organisation de la SOFICO 4 Chapitre II. Assistance COMPTABLE de la pharmacie saint hilaire 6 I. La prise de connaissance de l’entreprise 6 II. Les traitements comptables 6 III. Elaboration des travaux de synthèse 14 Chapitre III. Assistance fiscale ET SOCIALE de la pharmacie Saint Hilaire 23 I. Les obligations fiscales 23 II. Les cotisations sociales

1 Les normes d’audit 5.2 La planification de la mission 5.3 L’exécution de la mission 5.4 Finalisation de la mission 1- CONCEPTS DE BASE LIES A L’AUDIT CONCEPTS LIES A L’INFORMATION FINANCIERE CONCEPTS LIES AUX PRINCIPES COMPTABLES PRINCIPES COMPTABLES 1.1 CONCEPTS LIES A L’INFORMATION FINANCIERE LA PERTINENCE Une information est pertinente lorsqu’elle est appropriée, susceptible d’influencer les décisions économiques des utilisateurs, en les aidant à évaluer des évènements passés

Institute of Internal Auditors ISA: International Standard on Auditing LSF: Loi de Sécurité financière MINFI: Ministère des Finances OCDE: Organisation pour la Coopération et le Développement économique OECCA : Ordre des Experts-Comptables et Comptables Agrées OHADA : Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires ONG: Organisation Non Gouvernementale SEC: Securities Exchanges Commission SOX: Sarbones Oxley Act UFAI: Union Francophone de l’Audit Interne USA: United

Première partie : Généralités sur les notions de contrôle interne CHAPITRE I : LE GENERALITE DU CONTROLE INTERNE Les définitions du Contrôle interne ont été nombreuses et ont eu le plus souvent comme auteurs des organisations professionnelles de comptables. Elles se sont modifiées au fur et à mesure que le temps et l'environnement de l'entreprise ont évolué, et comme suit les définitions les plus pertinentes et universelles et qui ont apporté une clarté sur le concept et les objectifs du Contrôle

de leur plan d’investissement qui semble plus difficile à mobiliser auprès des établissements de crédits, étant donné l’exigence forte de fourniture de garanties. Selon la situation au 30 juin 2008 présentée par le Conseil National du Crédit, le système bancaire camerounais a eu à accorder seulement 2,34 % des crédits à long terme destinés à l’investissement. Le problème de financement des besoins d’investissement rencontré par les entreprises au cours de ces dernières années provient en partie

C’est dans cette optique que nous avons effectué un stage à la BNI de Bouaké. INTRODUCTION……………………………………………………………….8 PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE LA STRUCTURE D’ACCUEIL………10 1. HISTORIQUE, MISSION ET STRUCTURE DE LA BNI…………...…….….11 1.1 Historique…………………………………………….…….....11 1.2 Missions……………………………………….……….…..…12 1.3 Structur………………………………………..……..……….12 2. PRODUITS ET SERVICES DE LA BANQUE………………………………14 2.1 Produits……………………………………………...……..…14 2.2 Services……………………………………………………

admis comme charges, à condition qu'ils ne soient pas exagérés : - Les frais généraux de siège pour la part incombant aux opérations faites au Cameroun et les rémunérations de certains services effectifs (études, assistance technique, financière ou comptable) rendus aux entreprises camerounaises par les personnes physiques ou morales étrangères ou camerounaises. En aucun cas il ne sera accepté à ce titre une somme supérieure à 5 % du bénéfice imposable avant déduction des frais en cause. (M.L.F. 2013)

crises économies, de la montée en puissance du commerce mondial, et des grands phénomènes migratoires. Or, fragilisé par ces différentes situations, le tissu économique se devait d'être conforté au plutôt. Subséquemment, l'économie est passée d'un système dépendant de l'Etat, qui se devait de prendre directement en charge les secteurs économiques déterminants présentant un aspect de service publique ; à une économie mixte dans laquelle l'entreprise privée joue un rôle prépondérant. Ce faisant, pleinement