Hobbes Locke Rousseau égalité Liberté

point de la rendre incapable de vouloir ce qu’elle veut pourtant, mais en plus et surtout ils s’imposent à moi sans que j’y puisse, mais ce n’est pas moi qui choisis de raffoler des petits pois et de détester les épinards – comme l’affirmait déjà Rousseau dans le Contrat social (I, 8), « L’impulsion du seul appétit est esclavage ». Afin que ma volonté soit tout à la fois forte et une, il faut donc qu’elle se libère de la tyrannie de désirs qui l’écartèlent pour se mettre sous le commandement de

chose. Ex : droit au travail, droit à un minimum vital. Le pouvoir de réclamer la chose, un prétention. Droits liberté : Ils consacrent une capacité à jouir de quelque chose que l'on a déjà. Ce sont des droits de faire quelque chose. Cette distinction est relativement facile à détruire car en réalité tous les droits liberté peuvent se comprendre comme des droits créances. Le droit liberté devient droit créance dès lors que l'on empêche son exercice. Cette distinction reste cependant utile pour comprendre

dans l’une et l’autre colonnes ne constituent pas nécessairement, dans l’économie du cours élaboré par le professeur, des têtes de chapitre. L’ordre dans lequel les notions sont abordées et leur articulation avec l’étude des œuvres relèvent de la liberté philosophique et de la responsabilité du professeur, pourvu que toutes soient examinées. Le professeur mettra en évidence la complémentarité des traitements dont une même notion aura pu être l’objet dans des moments distincts de son enseignement.

Libertés publiques et droits fondamentaux * Les libertés publiques de Théron : mémentos Témis. INTRODUCTION I) L’objet du cours * Pour le saisir, on peut s’intéresser à l’intitulé. Un tel intitulé sous entend l’existence de données qui sont dénommés libertés publiques et droits fondamentaux. L’examen de cette question conduit à voir et à dire quelles sont les libertés fondamentales et quelles sont les libertés publiques ? Pourquoi s’agit-il de libertés publiques et de droits fondamentaux

  Dans sa doctrine du droit, Kant, en 1791, écrit que « le droit est l’ensemble des conditions sous lesquelles la volonté individuelle de l’un peut s’unir et s’associer à la volonté individuelle de l’autre conformément à une loi universelle de liberté. » Cette définition témoigne d’une des raisons d’être essentielle du droit fondée et garantie l’intersubjectivité.  Déjà Aristote insistait sur l’aisance pol de l’animal humain. Kant va dire que c’est un animal pol, ms surtt un animal juridique

entre gouvernants et gouvernés, qui font partie d’un même corps politique. Relation différente, avec des gouvernants censés représenter la volonté des gouvernés. On a l’individu légitimant l’Etat politique, c’est la théorie du contrat social (Hobbes et Locke). CM est caractérisé par lé phénomène d’écriture, avec des règles juridiques précises pour la sureté des citoyens, mais dont il a manqué les mécanismes de sanction. Constitutionnalisme contemporain comble ces lacunes en instaurant des sanctions

nazis ont provoqué une désacralisation de la loi et le régime de Vichy en France qui a été un électrochoc. Ont comprends à ce moment là que le législateur n'est pas infaillible que le parlement peut se tromper, que la loi peut porter atteinte à la liberté et aux droits fondamentaux des individus. Il est donc nécessaire de ce protéger contre elle et pas seulement contre les actes du pouvoir exécutif ce qui signifie que la loi n'est plus au centre du système normatif. le développement du constitutionnalisme

Opposition parlementaire aurait pas connu retentissement si elle avait été que un moyen de défendre les intérêts des parlementaires et de la haute noblesse . Si parlement capable d entrainer derrière eux opinion publique c est car ils défendent libertés provinciales contre l’Etat monarchique qui est envahissant Ils disent former un obstacle au despotisme ( pouvoir absolu ) et les gens les croient. Ils donnent parfois scrupules (inquiétude) au gouvernement quant a la légitimité de son action c

perception en la fixant sur des copies trompeuses et la détournent des modèles de la nature. 2. Les œuvres d’art déjouent nos habitudes de perception Les œuvres d’art n’éduquent pas notre perception pour une raison de fond : parce qu’elles relèvent d’une liberté créatrice qui transgresse nos habitudes de perception, elles s’opposent à toute imposition d’une discipline de la sensibilité ou du jugement. C’est en déjouant les réflexes de perception que l’éducation a conditionnés en nous que l’œuvre d’art trouve

d'obscurité et d'ignorance et d'entrer dans un nouvel âge illuminé par la raison, la science et le respect de l'humanité. Les philosophes rationalistes du XVIIe siècle, tels que René Descartes et Baruch Spinoza, les philosophes politiques Thomas Hobbes et John Locke, et certains penseurs sceptiques en France comme Pierre Bayle peuvent être considérés comme les précurseurs des Lumières, bien que certains éléments de leurs doctrines qui allaient à l'encontre des conceptions empiristes et antiautoritaires