Hobbes Locke Rousseau égalité Liberté

JEAN JACQUES ROUSSEAU 1- Biographie de ROUSSEAU 2- Bibliographie de ROUSSEAU II- ETUDE THEMATIQUE DU LIVRE III CHAPITRE VI A IX 1- Les principaux themes 2- Rapport notionnel des themes 3- Difference notionnelle des themes III- ACTUALISATION DE LA THEMATIQUE ET RESUME 1- Résumé du livre III du chapitre VI à IX 2- Résumé général CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE INTRODUCTION Le Contrat social a été écrit à la même période que L’Emile. Rousseau après avoir

même dans l'état de sauvagerie, la société avait des règles. Donc, les sociétés primitives, qui ont du social, ne coïncident pas avec la description de l'État de nature de Locke, Hobbes et Rousseau. Hegel revient à l'image d'Aristote: « L'homme est une animal politique. » L'homme est naturellement libre selon Hegel et cette liberté s'atteint par la médiation infinie de l'éducation, qui doit imprégner la volonté sensible. Question 3: La raison dans l'histoire est une œuvre du philosophe allemand

La loi est sacrée et représente la vérité ; les législateurs révèlent la vérité. §1 – La majesté de la Loi A) La loi, acte de commandement Le législateur ordonne, commande ou interdit. Hobbes : la loi contraint, limite la Liberté. C’est un ordre, non un conseil. Mais il envisage une liberté contractuelle, une absence de la loi dans le choix de la résidence, éducation des enfants ou choix du métier. La loi implique une sanction : nullité, dommages et intérêts, peine criminelle. Loi

volontaire s'est construite des théories du contrat social ( 17ème et 18ème siècle). Thomas Hobbes qui a exposé sa théorie dans le «leviathan» qui date de 1651 et John locke dans «essai sur le gouvernement civil» qui date de 1690. Jean Jacques Rousseau «du contrat social» en 1762. Les hommes se sont associés de façon délibérée pour des raisons et sous des formes que ces auteurs analysent différemment. Hobbes: Explique qu'avant l'apparition du pouvoir politique, avant l'apparition des gouvernants

Aristote Périclès souligne le droit de chacun à la liberté d'expression, souligne les principes démocratiques. Hérodote va souligner la distinction entre monarchie et oligarchie, nombre de gouvernants et l'importance de l'isonomie (égalité de tous dans la confection de la loi) et souligne que les offices publiques sont confiées à des personnes tirées au sort, magistrats contrôlables à tout instant, insiste également sur la liberté d'expression et souligne les qualités et vertus de cette

l’état isolé ne serait qu’un être inachevé, n’ayant pas réalisé ses possibilités. - État de nature et contrat social : Le point de départ de Hobbes, pour penser la société et l’État, est l’individu à l’état de nature. Cet individu est isolé et en perpétuel conflit avec les autres ; leurs rapports ne sont que des rapports de puissance ; leur égalité est une égalité dans la capacité à se nuire. La formation de la société repose sur un calcul (égoïste) de la raison qui pousse les individus à reconnaître

processus de différenciation va s’achever avec la juridicisation des rapports entre gouvernant et gouvernés. Des textes virent le jour aussi bien en France qu’en Angleterre garantissant les droits des citoyens et consacrant comme principe suprême la liberté des gouvernés vis-à-vis des gouvernants. On peut citer à titre d’exemple la grande Charte de 1215 imposée à Jean sans Terre ou la Petition of Rights de 1628 et la Bill of Rights de 1689. Ces textes enfermèrent petit à petit le pouvoir politique dans

de Principes Fondamentaux qui fondent :
«UN ETAT DEMOCRATIQUE» -Régime démocratique
Ex : -Consultation d’Opinion
 -Désignation représentant parfois élection 
 -Délibération aux seins des assemblés
 -Reconnaissance des libertés nécessaires a toute Vie politique
Ex : Liberté Opinion de réunion, permettant a toute les formations politiques d’organiser librement leur activités ____________________________________________________________ _ 3.NOTION DE SOCIETE Le Mot « Société » à plusieurs

profit, il ne dépend de personne et se situe donc au-dessus des droits et des lois. Le peuple, enfin, ne peut s’opposer à lui, car ne devant rien à quiconque, il ne peut être dépossédé de son autorité. Mieux encore, le prince est le seul dont la liberté illimitée procède de l’état de nature dans lequel il est resté. Sa souveraineté est donc également indivisible et absolue. Elle est posée comme foncièrement unitaire et identifiée à l’État, toute répartition ou fragmentation du pouvoir étant interprétée

dépend de la conception constitutionnelle que l'on a (ainsi, si la Constitution française aborde en premier le pouvoir exécutif, la Constitution américaine débute par le législatif). La séparation des pouvoirs a été, pour l'essentiel, théorisée par Locke et Montesquieu, mais de manière bien différente de ce que l'on conceptualise aujourd'hui. En effet, les philosophes des Lumières ne concevaient qu'un simple aménagement entre différentes puissances équilibrées, qui se partageraient les différentes