Holisme

sociologiques qui se distinguent par différents découpages : - Historique (les courants théoriques) - Thématiques (champs de recherche), on découpe la sociologie en plusieurs thèmes qui sont religieuse, sociale, culturelle etc … - Scolaire : exemple  holisme (ce serait les sociologies qui prennent en compte la globalité du système, le tout, càd la société, l’intégration de groupes) VS individualisme (qui met en avant des stratégies individuelles). Les sociologies les plus contemporaines tendent à dépasser

théologiques du jeune Hegel qui cherchent à détruire la transcendance du christianisme ; message purement immanent de Jésus, « vertus sans domination, sans sujétion », Hegel, 1907). Hegel : certes opposition État, dominé par l’altruisme et le holisme/société civile, dominée par l’égoïsme et l’individualisme – mais absorption de la société civile dans l’État : l’État est une totalité englobant ses éléments, y compris ceux qui lui sont contradictoires (liberté individuelle surdimensionnée par exemple)

fine les pratiques des acteurs. Psychosociologie = étude scientifique des comportements sociaux (facteurs sociaux qui influencent le comportement des individus). Quelques courants sociologiques : 2 approches de la société : holisme et l'individualisme Holisme : Une approche holiste est une approche qui considère que ce sont les structures sociales qui influencent et expliquent les comportements individuels. Individualisme : Considère que les phénomènes collectifs sont le résultat d'action

satisfaire à cet individualisme avec le minimum d’entraves collectives. A l’inverse, le holisme peut se définir comme une tendance à constituer des ensembles qui sont supérieurs à la somme de leurs parties. L’intérêt holiste répond alors aux besoins de cet ensemble avant de s’intéresser aux besoins des individus. Il est alors évident que le principe de solidarité ne peut se concevoir ni dans l’individualisme, ni dans le holisme (qui sont des formes limitées de manifestation de l’intérêt). Nous posons ici l’idée

siecle après celle du 18eme avec la machine à vapeur et un siècle apres la seconde fin 19eme marquée par la découverte de l’électricité. -facon nouvelle de voir le travail humain -revolution culturelle entrainée par mai 68 qui remet en question le holisme industriel. - rupture qui vient des marchés financiers. En 1929 placés sous tutelle, en 1980 ils reprennent l’ascendant. -mondialisation qui entraine l’arrivée de la chine et inde dans le Kisme mondial. Révolution technologique Les innovations

de tâches à effectuer dans le but de « faire la chasse au temps mort ». La troisième rupture est d’ordre culturel et est issue d’un malaise générationnel. Marquée en France par Mai 68, elle voit la jeunesse de l’époque s’opposée à la logique du « holisme industriel » et prônée ensemble, et c’est là que réside le paradoxe, l’éveil de « l’individualisme contemporain ». La quatrième rupture que distingue Daniel Cohen, c’est la révolution financière des années 80 où l’on passe d’un capitalisme « managérial »

au centre de la réflexion. Avec la montée de l’individualisme, il y a montée en exergue de l’individu et non plus du groupe. On en est arrivé au Droit de l’Homme parce qu’est monté l’individualisme. A l’inverse, penser au groupe d’abord, c’est le Holisme. Libéralisme : Il apparait avec J. Locke, c’est un concept Anglais, assez aristocratique, et pas du tout démocratique. Pour lui la nature c’est le monde, et on est très peu. Des hommes cultive la Terre, et il y a des pommes partout, des terres partout

de sciences sociales, selon lequel les phénomènes collectifs peuvent (et doivent) être décrits et expliqués à partir des propriétés et des actions des individus et de leurs interactions mutuelles (approche ascendante). Cette approche s'oppose au holisme, selon lequel les propriétés des individus ne se comprennent pas sans faire appel aux propriétés de l'ensemble auquel ils appartiennent (approche descendante). L'individualisme méthodologique ne doit pas être confondu avec l'individualisme en tant

(pouvoir, privilèges, revenus, patrimoine, diplômes, prestige, etc.). Au sens large, tout ensemble social caractérisé par des inégalités économiques, sociales et culturelles opposant des catégories supérieures, intermédiaires et «inférieures». holisme : interprétation globalisante du fonctionnement et de l'évolution de la société. Les comportements individuels sont analysés avant tout comme le produit des structures sociales. La démarche holistique privilégie ainsi les «effets de système» aux

du suicide, qu’est ce qui le fait varier ? Il se dresse contre les explications de la psychologie. Il réfute ensuite dans l’ensemble les explications individualistes : folie, hérédité, imitation (Tarde). Car la socio de D est holiste. A. Le Holisme et conscience collective Conscience collective : « l’ensemble des croyances et sentiments communs à la moyenne des membres d’une même société et formant un système déterminé qui a sa vie propre » : mélange de toutes les pratiques et idées que l’on