Homéotéleute

................................................................................ 6 Paronomase.................................................................................................................................................... 7 Homéotéleute ................................................................................................................................................. 7 Figures d’insistance:..........................................................................

l’applique, les allitérations, les assonances et les homéotéleute ont eux aussi leur rôle quand à la sonorité de l’épopée II- Fond Ensuite l’écriture poétique s’écarte de l’usage courant de la langue également au niveau du fond. Tout d’abord, le genre poétique est caractérisé par le grand nombre de figures de styles présentes. En effet, il y a premièrement les figures jouant sur les sonorités telles que les allitérations et les homéotéleutes et ensuite bien évidemment les figures de styles concernant

verbes de mouvement. Elle met en relief le caractère incessant de l’activité et des mouvements de Gavroche. Ce caractère incessant est renforcé par la terminaison identique des verbes à l’imparfait, c'est une homéotéleute. Une homéotéleute est une figure de style qui consiste à utiliser à intervalles rapprochés des mots présentant des syllabes finales identiques.Le narrateur décrit le personnage à l’aide de métaphores: Une vision épique 

« On commence une phrase et on la finit autrement ». Assonance : Une assonance est la répétition d’une même voyelle dans une phrase ou un vers. L’effet obtenu est généralement expressif ou harmonique. Lire également : allitération. Homéotéleute : Une homéotéleute est la répétition d’un même son à la fin d’une phrase ou à la fin des mots d’une même phrase. Paronomase : Une paronomase consiste à rapprocher des mots comportant des sonorités semblables mais qui ont des sens différents. On appelle

n’étaient que des formes de la rébellion » l.13-14. Cette négation restrictive montre que Javert est tellement obsédé qu’il ne laisse aucune entorse. Nous voyons également qu’il est obsédé par son travail à la ligne 17 : «veiller et surveiller ». Cette homéotéleute insiste son obsession sans fin. Enfin, Javert est semblable moralement à un monstre. Nous pouvons le remarquer par sa rigidité et sa froideur à la ligne 16-17 : « cela était froid et cela perçait ». Cette anaphore insiste sur le regard de Javert

Imparfait d'habitude = faits d'habitude. Exercice du corps prend toute sa place dans l'éducation. Comparaison corps, esprit. Il y a un équilibre. Sujet corps = dupé avec hygiène ( énumération comme pour le sport ) élégance même pour l'hygiène. Homéotéleute : énumération composée de terminaison pareilles. Personnification de l'appétit : Allégorie de la faim. B. L'éducation de l'esprit Éducation fondée sur la lecture : Développement esprit critique. Ponocrates rend l'élève plus instruit. Pour ce

masculins.Donc polémique (majorité des femmes, droit, vote). Les femmes sont opprimées par les hommes comme le peuple.« Femme et de l’homme » (l.109) une périphrase allusive. « Naturels, la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance » (l.109-111) homéotéleute, rythme ternaire, une accumulation, valeur assois l’autorité. III. Article 3 d’où vient le pouvoir, article 4 la « tyrannie » de l’Homme contre la femme Style péremptoire catégorique : déterminants indéfinis totalisant annihilant négation exceptée

"les grattes-ciels" -> éclipese + défis les cyclones Dénonciation de l'artifice, de l'abs de nature "coeur artificiel", les habitants ne semblent pas naturel : (2) -> froid Chiasme (v12) + allitération en -S = sueur + odeur espèce de rimes (homéotéleutes)+3 négations = vie impossible, abs de vie et de nature. II. L'ambivalence souligne l'antagonnisme entre afrique et Occident. a) Les respects de la nature. Pas de respectà Manatthan -> personnification de la nature, impression de froideur.

de superbe préfigure le combat qu’il va lui livrer et le triomphe qu’il va lui imposer, ce qu’elle va subir par consentement et faiblesse. -Ambigüité du désir : (v5) -> rythme régulier 3/3/3/3. Reprise du [i] implique une souffrance ambigüe. Homéotéleute -> trace de culpabilité et la régularité rythmique traduit une forme d’acceptation du trouble = Phèdre marche vers lui d’un pas assuré comme hypnotisée. Phèdre ne peut se défendre, absence d’arythmie = effet du poison qui brule. Phèdre se suicide

L'image du poète A: l'humilité de Du Bellay -Peur d'offenser Marguerite, va changer la visée de son éloge: différencie la louange et la divinisation. Eloge différé: à Melin, mais pour Marguerite. Respect: conditionnel présent: "userais". -Homéotéleute: "craindrais/offenser/humilité" assonnance en é: humilité. B: l'éloge fait à la religion chrétienne -Religion: 3eme personne. "L'antique vanité": coupure, négatif: mauvais chrétien qu'idolâtrent ou poètes qui divinisent les grands. Manière condamnée