Homéotéleute

leur gosier de nacre, d’où l’on trouve aussitôt à s’orner » sonorité en [r]. Ou encore à la ligne 8-9 «  visqueux et verdâtre (…), flue et reflue à l’odeur et à la vue » sonorité en [v], en [f] et en [u]. Nous pouvons aussi constater qu’il a des homéotéleutes : ligne 8  « noirâtre », ligne 2 « blanchâtre » et ligne 8 « verdâtre », ce sont un peu comme des rimes donc qui se rapprochent de la poésie traditionnelle. Nous pouvons voir que comme dans une poésie classique il y a des jeux entre le sens propre

"pleurer" + apostrophe lyrique qui traduit le retour de l'allégresse "Ô joli fou du roi" -bouleversement rythmique et musical: vers bref (hexasyllabe finaux) -des sons / phonemes riche qui reviennent en echos: rime riche en [-iere] homeotéleute en [-ron] -rythme et rime s'apparente a une comptine pour enfant et evoque la joie de Salomé + retour de la danse. "tabatiere" > reference a la comptine "j'ai du bon tabac dans ma tabatiere" -changement de ton: passe de la souffrance et de la

poème musique, effet sonore l.5 « Le rire…» allitération conventionnelle en f et en r = typique pour frottement des matières comme dans « A une passante » de BaudelaireEffet rythmique= « ainsi » comme un refrain, petite ritournelle Rime en prose= homéotéleute « Augustin, défunt » Densité sonore, narrative qui évoque la poésie dans ce texte en prose Question de supplice romantisme frénétique, noirMélange macabre et désir, érotisme et fantastique romantisme gothique Macabre= fille pendue mais belle=

Hugo est celui de l’accumulation de verbes de mouvement. Elle met en relief le caractère incessant de l’activité et des mouvements de Gavroche. Ce caractère incessant est renforcé par la terminaison identique des verbes à l’imparfait, c'est une homéotéleute. Les premiers mots du texte désignent l’action héroïque de Gavroche comme un «spectacle». Gavroche qui se met au service de ses camarades est aussi en représentation. Il a pour spectateurs ses amis les insurgés derrière la barricade et ses ennemis

à effet entre l’arrivée à l’auberge et la maladie alors qu’il s’agit d’un hasard. À la fin du deuxième alinéa, l’attente du lecteur, qui s’attend à une bagarre généralisée, est déçue par une conclusion en forme de ritournelle moqueuse (l.22-23, homéotéleute). Voltaire glisse, pour finir, de petites bizarreries dans son récit. Elles sont destinées à rendre certains personnages suspects aux yeux du lecteur. Les forces déployées autour de Candide sont sans rapport avec sa maladie (accumulation et chiffres

déjeunait de belles trippes frites, de belles grillades, de beaux jambons, de belles pièces de chevreau et de forces tartines matinales.»p.78, ligne 20. Il y a une énumération de verbes d’actions se rapportant aux activités quotidiennes et une homéotéleute. Deuxièmement, parce que l’apprentissage est perçu comme une ingestion. «Mes premiers maîtres m’ont donné cette habitude, disant que le déjeuner donnait bonne mémoire : aussi étaient-ils les premiers à boire.» p.78, ligne 32. Le verbe déjeuner

d’adjectifs qualificatifs, même parfois contradictoire «  passive et obstinée » ça fait comprendre au lecteur qu’il s’agira de définir, de décrire l’eau de manière précise. Personnification de l’eau d’une part et d’une autre une description matériel. Homéotéleutes, rimes internes. Personnification : « à l’intérieur d’elle-même » Moines : Comparaison humoristique qui se rapporterait à la mortification, pratiqué chez certains moines, forme de pénitence.  Participe passé « humilié » nous rappelle sa racine

caractéristiques les plus marquantes de cette technique d’argumentation. Citation : « il n’y a de caractères ineffaçables que ceux qu’imprime la nature, et la nature ne fait ni princes, ni riches, ni grands seigneurs » : construction élaborée (accumulation, homéotéleute, répétition lexicale).  L’argumentation est répartie en 3 périodes qui furent définies par cette methode d’argumentation pour renforcer la thèse de l’auteur :  On observe des références à l’antiquité qui servent comme outil à Rousseau pour

- Et dans une moindre mesure, connotation à l'ouïe : « parler ». Cependant, sous des apparences descriptives, ce texte présente les caractéristiques d'un texte poétique. II. Les caractéristiques d'un poème 1) Des jeux de sonorités - Des homéotéleutes (figure consistant à répéter des finales de mots) : « noirâtre », « blanchâtre », « verdâtre » qui fonctionnent presque comme des rimes. Des jeux sur les allitérations et assonances : En [r] : « parfois très rare une formule perle à leur gosier

-- Chateaubriand, Mémoires d'Outre-tombe b. Répétition phonique Allitération Assonance Homéotéleute Répétition sur plusieurs mots d'une sonorité consonantique (l’allitération en « s » crée dans l’exemple une harmonie imitative) Répétition d'une voyelle sur plusieurs mots d'une même phrase « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » — Racine, Andromaque, acte V scène 5 Une homéotéleute consiste en la répétition d'une ou de plusieurs syllabes finales homophones, soit de mots,