Homère

La médecine en Grèce antique Médecine et « religion » L'exercice de la médecine est lié au culte du dieu de la médecine, Asclépios. Il est le fils du dieu Apollon et de la mortelle Coronis. Homère, cite dans l’Iliade, Machaon et Podalire, habiles médecins de l'armée achéenne pendant la guerre de Troie, ils sont les fils d’Asclépios. La médecine est déjà reconnue comme un art à part entière : « Un médecin, à lui tout seul, vaut beaucoup d’hommes » ( ds l’Iliade) . L'animal favori

LECTURE ANALYTIQUE : Tristan et Iseult (Version moderne de 1973) L’évolution du personnage romanesque Précédé par l’Antiquité et le héros épique : Ulysse, Thésée, Hercule, Œdipe, Homère Héros aux forces surhumaines, souvent demi-dieu, confronté aux divinités et forces de la nature, héros guerrier et courageux, ancêtre du héros tragique Extrait typique du genre romanesque I. Le lieu de la rencontre amoureuse  « Locus Amoneus ». Un lieu clos : ici un verger dans un château. Iseult guette Tristan

percutent présent, passé et avenir). La durée de l’action du départ de Télémaque à la fin du récit se déroule en 40 ou 41 jours. Dans cette durée d’un mois lunaire et demi (faut-il y voir une indication particulière ? nautique ? astronomique ?), Homère fait tenir toute l’histoire d’Ulysse depuis le départ pour Troie, soit 20 ans : 10 ans de guerre et dix ans d’errance. Si on s’intéresse aux chants au programme, on peut même compter les jours : - 5 jours après l’arrivée d’Hermès, Ulysse

peu plus de mille ans plus tôt, Troie avait été vaincue par la coalition des Achéens, et le Troyen Enée s’était enfui. Après une traversée périlleuse, le fugitif voulut s’installer en Italie. Virgile s’inspire ainsi du retour d’Ulysse chanté par Homère sept siècles avant lui, mais la perspective est inversée : tandis qu’Ulysse rentra en vainqueur dans son royaume qu’il devait reconquérir, Enée arriva en vaincu sur une terre inconnue, le Latium, qu’il devait conquérir. À l’annonce du débarquement

donner ses fruits spontanément, sans qu'intervienne le labeur des Hommes, comme le suggèrent le rythme de la phrase et l'emploi du « on » dans les vers suivants : « en ce lieu déjà, on vendange, /en cet autre on foule les grappes » (VII, v.124-125). Homère parle d'une « merveilleuse vision » (VII, v.45), fruit des « dons éblouissant des dieux » (VII, v.132). II] Une communauté idéaleDe même, l'organisation sociale et politique de la Phéacie semble parfaite. La constitution de l'Etat phéacien est

Eurynomé. Ses enfants sont respectivement Proserpine, Mercure, Apollon et Diane, les Grâces. Il eu des enfants avec plusieurs mortelles :Athéna, Dionysos, Hermès, Apollon et Artémis, Héraclès, Persée, Castor et Pollux, etc. Ou habite Jupiter Selon Homère, Jupiter habite l'éther (la region cale qui s'étend u dessus de l'atmosphère terrestre) les sommets des montagnes qui touches l'éther sont ses trônes. Mais sa résidence la plus connue est l'olympe constuit par Héphaïstos. Attributs de Jupiter Ses

antique à travers l’Iliade 32 7. La langue et le style de l’Iliade 34 Chaque étude comporte : Une fiche professeur : objectifs, pistes de recherche, questions et activités complémentaires. NIVEAU 6e-5e-4e L’ILIADE nouvelle édition HOMÈRE, Traduction et adaptation de Michel WORONOFF Couverture de Gianni de Conno, illustré par Bruno Pilorget ÉPOPÉE/N° 2 – 336 p. – 10,90 € Une fiche élève : questions, activités, journal de lecture. Dossier réalisé par Dominique Guerrini,

figures du merveilleux : des événements constitutifs du mythe de l’Odyssée, des emblèmes, des symboles. Sirènes, cyclope, Calypso nourrissent l’univers de la mythologie Le merveilleux, élément caractéristique et indispensable de l’Odyssée permet à Homère d’illustrer les péripéties d’Ulysse et se pose comme trait particulier de l’œuvre. Il contribue à la création d’un univers mythologique, qui reste bien souvent l’élément majeur dans le souvenir du lecteur. Il serait à rapprocher de l’épisode clé de

fantasy. Étymologie et symbolique Le nom d'Ulysse existe sous plusieurs formes en grec ancien ; beaucoup d'entre elles possèdent un doublet en λ : Ὀλυσσευς, Ὀλυσευ..., d'où l'emprunt latin Ulixēs. L'étymologie du nom est sujette à discussions. Homère le rattache au verbe ὀδυσάω / odusáô, « haïr, être fâché », que l'on a rapproché de la racine indo-européenne odys qui a aussi donné odiosus (« odieux »). Ainsi, au chant XIX de l’Odyssée, Autolycos déclare : « Comme j'arrive ici fâché contre beaucoup

ironiquement dans le texte l’idée que les dieux inspirent les poètes (idée classique et noble)  - cette idée est reprise par les néologismes « enpégase » et « enlyre » : ils renvoient à l’Antiquité (Pégase était le cheval de Zeus qui, d’après Homère, inventa la poésie avec les Muses. La lyre était l’instrument des poètes, notamment d’Orphée) mais ce sont des néologismes ironiques 2) Une autocritique sur le travail de la forme : le poète ironise sur ce travail de la forme considéré comme