Homère

est moyen, à l’égard, soit de la qualité, soit de la quantité ou ce qui est intermédiaire entre le bon et le mauvais, mais plus rapproché du mauvais. » (Petit Robert) Le mot héros vient du grec « »rwj » (hêrôs) qui désigne le chef de guerre (chez Homère) ou le demi-dieu (chez Hésiode).Gardant le sens de demi-dieu voir d'homme exceptionnel en latin, elle nous revient en français dans le courant du 14e siècle avec la même définition. Ce n'est qu'à l'époque moderne que le mot « héros » s'attache aux

manteau rouge éclatant contraste avec celui de son père, plus sombre. Ce tableau allie aussi un lien symbolique entre le mélange de la mythologie grecque et le christianisme : le peintre représente l’épée et le casque à longues plumes décrit par Homère, symboles de la vie de guerrier gisant maintenant aux cotés d’Hector ; et en même temps, il nous dépeint Hector allongé, la tête ceinte d’une couronne de lauriers ; il le représente comme les martyrs

à la définition d'Hector (un combat de paroles) Ulysse substitue une autre définition (une pesée), c'est lui qui dirige désormais le débat tout en affirmant qu'il n'y a pas débat. 2. La fatalité : L'image de la pesée est également empruntée à Homère (Iliade VIII 70 sq, XXII 210 sq) : Zeus, garant de l'ordre cosmique, doit veiller à ce que les destins s'accomplissent ; il pèse alors les destins dans une balance. Cette référence suggère donc la présence d'une fatalité qui dépasse les hommes. L'allégorie

français du XVIIème siècle (nommé au vers 130) ; Juba, savant et écrivain (nommé au vers 130) ; Le Tasse, poète italien du XVIème siècle (nommé au vers 209) ; Virgile, écrivain et poète latin du Ier siècle avant Jésus-Christ (nommé au vers 325) ; Homère, poète de la fin du VIIIème siècle avant Jésus-Christ (nommé au vers 326) ; Ménandre, auteur comique grec de la fin du IVème siècle avant Jésus-Christ (nommé au vers 352) ; Molière, dramaturge français du XVIIème siècle (nommé au vers 393). Les

sacrifice. Pourtant elle n'était pas brillante mais ce qu'elle faisait était fait avec tant d'amour et elle y mettait tant de cœur qu'il ne pouvait lui faire de remarques. » L’odyssée Homère « Le roman raconte l’histoire d’Ulysse qui, il y a plusieurs années déjà, était parti à la guerre de Troie. Maintenant, prisonnier de Calypso, le temps est venu pour lui de partir et de retourner à Ithaque, aidé de la déesse Athéna. Il rencontrera

protectrice. Outre cela, et en « prélude » (pourrait-on dire) à Calypso, Circé symbolise également la tentation, à laquelle Ulysse ne manquera pas de céder par ailleurs : humaine et désirable de par son corps, mais puissante et immortelle de par sa nature (Homère la désigne comme une déesse, ce qui n’est ni repris ni avéré par les autres auteurs qui ont employé le personnage) ; elle ne peut que séduire Ulysse, qui est lui-même un être humain mais semblable aux dieux de par sa ruse (ce qu’Athéna elle-même ne

enfonce sa javeline. La pointe perce tout droit la tendre gorge. Hector s’écroule dans la poussière. Achille triomphe. Doc.1 : D’après Homère, l’Iliade, chant 22 fond noir Athéna Achille Hector Apollon Doc.2 : Scène sur un cratère grec en céramique, Ve siècle avant J.-C., Hatier 2009 Doc.4 : Scène sur une amphore grecque Doc.3 : D’après l’Odyssée, chant 8 Homère, Les Troyens avaient traîné le cheval dans la citadelle. Ils proposaient plusieurs solutions. Les uns voulaient l’éventrer; les autres

l’amenant à retrouver à la fois Ithaque, son pays natal et de trouver sa place dans le cosmos. Il doit regagner sa place d’homme sage après les combats héroïques de Troie. On parle alors d’une dimension morale et didactique. Dans un second temps, Homère nous fait part de la magie d’un autre univers. En effet, l’épopée nous mène dans un monde fabuleux qui garde sa part réaliste et proche de nous. On parle alors d’une dimension fabuleuse et divertissante pour le lecteur. C’est cette leçon sur l’homme

en mettant fin si possible à ses épreuves , comme le promet Nausicaa : "… va droit à ma mère et embrasse / ses genoux, si tu veux bientôt avoir la joie / de vivre l'heure du retour, serais-tu très loin de chez toi." ((310-312) Introduction : Homère, dans le chant VI de l’Odyssée, fait revivre, dans une narration pleine de saveur, un monde vieux de 3000 ans, dont les scènes nous parlent encore : une jeune fille s’en va laver son linge avec ses servantes, quand un naufragé survient sur le rivage

qu’il peut etre fragile, perdre la maitrise de sa destinee. Nous montrerons enfin qu’il est un personnage en devenir. Meme si les deux poemes que sont L’Iliade et L’Odyssee appartiennent au meme cycle et sont peut-etre l’?uvre d’un meme aede, Homere, ils sont tres differents et presentent des personnages dont les valeurs sont differentes : L’Iliade est le poeme d’Achille, de la vie breve, du heros epique a proprement parler qui domine pas sa force, par son adresse physique, par son courage,