Homme Civilisé Homme Sauvage

Joséphine TL « Notre hôte me paraît un homme plein de sens/ Faisons-lui les présents hospitaliers, selon l'usage »( Chant VIII ). L'hospitalité est en effet au coeur de l'épopée grecque qu'est l' Odyssée, puisqu'elle fait partie d'un ordre établi, d'un usage, envers les étrangers, que les mondes civilisés avaient coutume de respecter. Nous nous demanderons alors, en quoi l'hospitalité fait-elle partie de l'humanité qu'Ulysse est venu retrouver. Pour cela nous verrons d'abord le rôle narratif

Montaigne est une réflexion sur la relativité des jugements sur la barbarie. -Le genre de ce texte est un essai, il appartient à l’argumentation directe. Montaigne (je, moi) parle aux Européens, aux Français (nous) qui ne sommes pas des barbares, des sauvages. La citation latine est de Properce, elle fait partie de l’émetteur. -Le registre est polémique et didactique (développé une thèse dans le but d’être compris, référence à la nature). -Le lexique va plutôt être mélioratif et la thèse péjoratif. -Montaigne

............27 V........................................................................................................34 i Supplément au Voyage de Bougainville Auteur : Denis Diderot Catégorie : Philosophie Débat sur le mythe du bon sauvage. Licence : Domaine public 1 I JUGEMENT DU VOYAGE DE BOUGAINVILLE A. Cette superbe voûte étoilée, sous laquelle nous revînmes hier, et qui semblait nous garantir un beau jour, ne nous a pas tenu parole. B. Qu'en savez-vous ? A. Le brouillard

Il rencontre un Homme-aigle qui le sommes, sous peine de mort, d'étudier la musique avec sa mère-aigle. Il part de chez la mère-aigle cultivé du savoir musical pour répendre son savoir parmit les hommes. Il fait une grande fête avec son père oû ils apprennent que la musique fait en sorte que « les bêtes sauvages deviennent des hommes véritables ». Cette dernière phrase du texte nous amène à notre idée directrice : la musique, les chants et les fêtes sont la culture qui civilise « les bêtes » et

d’ être inquiets, ils ont réussi par-delà la mesure et leur propre attente. Ils n’ même plus besoin d’ ont avoir recours aux méthodes frustres d’ antan, ils ont même inventé un mot pour les stigmatiser : le génocide. Le génocide a eu raison de l’ homme américain. Mais en d’ autres cas sa réussite n’ été que partielle : la traite a saigné l’ a Afrique, elle n’ pas a liquidé tous les Noirs. Et puis le moyen est voyant. Heureusement avec le progrès nous avons trouvé beaucoup mieux. Puisque, n’ est-ce

par des besoins mutuels, et de leur faciliter l'usage de la parole, combien elle a peu mis du sien dans tout ce qu'ils ont fait, pour en établir des liens. En effet, il est impossible d'imaginer pourquoi dans cet état primitif un homme aurait plutôt besoin d'un autre homme qu'un singe ou un loup de son semblable, ni ce besoin supposé, quel motif pourrait engager l'autre à y pourvoir, ni même, en ce dernier cas, comment ils pourraient y convenir entre eux des conditions. Je sais qu'on nous répète sans

conversation. Les deux personnages attendent que le brouillard se lève pour continuer leur périple. B est en train de lire le Voyage autour du monde de Bougainville. A, qui n'a pas lu cet ouvrage interroge B sur la personnalité de Bougainville (« un homme curieux qui passe d'une vie sédentaire et de plaisirs au métier actif, pénible, usant et dissipé du voyageur ») et sur son voyage, ce qui permet à B de rappeler les grandes étapes de son périple. Ensuite sont évoquées les difficultés rencontrées

personnages attendent que le brouillard se lève pour continuer leur périple. B est en train de lire le Supplément au Voyage autour du monde de Bougainville. A, qui n'a pas lu cet ouvrage interroge B - sur la personnalité de Bougainville : un homme " curieux' qui passe "d'une vie sédentaire et de plaisirs au métier actif, pénible, usant et dissipé du voyageur." - sur son voyage, ce qui permet à B de rappeler les grandes étapes de son périple. Ensuite sont évoquées les difficultés

société ou à refouler ses pulsions. L’Homme civilisé doit répondre poliment, se tenir correctement, être doux et patient ou encore savoir se contrôler. Au contraire un être sauvage ne suit aucunes règles. Il vit hors de la civilisation et n’écoute que ce que lui dicte son instinct car il n’apprend et n’intègre rien. L’état sauvage apparaît alors comme tout à fait naturel. Ainsi, la culture et la civilisation semblent tout d’abord éloigner l’Homme de cet état sauvage et de sa véritable nature. Or, éloigner

l’est l’animal, il doit conquérir par la culture ce que la nature lui a refusé. L'éducation a pour but de conduire l'homme à sa propre humanité. L’idée centrale du texte de Kant est que l’homme ne peut devenir homme que par l’éducation. Cette éducation assure une transition entre l’être sauvage, proche de l’animal qu’il représentait et par l’être humain qu’il devient après cette acquisition. Cette éducation dont l’homme est soumis dès la naissance comporte trois étapes le soin, la discipline et l’instruction