Homme Civilisé Homme Sauvage

La nature· Environnement · Le vivant/instinct/la sensibilité  · Origine/création· L’essence · Sauvage · Nature -> objet de connaissance Etymologie :Latin -> natura (=l’ensemble de ce qui est) -> nascorGrec : physis : physiqueNature :Sens 1 : C’est un principe actif souvent personnifié qui anime et organise l’ensemble des choses selon un certaine ordre.Sens 2 : L’ensemble des caractères, des propriétés qui définissent un être, une chose concrète ou abstraite.L’artifice : Ce qui est du à la

dans un deuxième temps, nous étudierons en détail leurs combats.  Au XVIIIe siècle voici les philosophes les plus marquants, ceux qui ont durablement influencé la pensée politique française et européenne :   -    Montesquieu (1689-1755) est homme qui marqua le siècle des Lumières par sa philosophie.  Il a été le premier à poser le problème du système d'organisation politique de notre société de l’époque en élaborant le concept de la « séparation des pouvoirs » exécutif, législatif et

violemment séparée du peuple. Ce n’est pas dans Byron qu’il l’a rencontré. Ce vagabond russe sans gîte poursuit aujourd’hui encore sa carrière et ne disparaîtra pas de longtemps. S’il ne va plus rejoindre les Tsiganes, pour trouver chez eux son idéal de sauvage vie errante et l’apaisement au sein de la nature, il se jette dans le socialisme, qui n’existait pas encore à l’époque d’Aleko. Il cherche toujours, non seulement la satisfaction de ses instincts personnels, mais encore le bonheur universel. Le vagabond

de l’aumônier et d’Orou Chapitre IV : Suite de l’entretien de l’aumônier et avec l’habitant de Tahiti Chapitre V : Suite du dialogue entre A et B III. LES PROTAGONISTES DU SUPPLÉMENT IV. AXES D’ANALYSE Critique de la colonisation Le mythe du bon sauvage L’opposition entre nature et société Les lois La sexualité et les mœurs Une œuvre protéiforme DANS LA MÊME COLLECTION EN NUMÉRIQUE 7 À PROPOS DE LA COLLECTION 9 COPYRIGHT 9 Supplément au voyage de Bougainville (Fiche de lecture) I. INTRODUCTION

l’Homme est un être solitaire, de ce faite, il se place aux antipodes de la société et ainsi de toutes ses règles. Cet homme nous est décrit comme un être bien différent de la vision commune de l’homme civilisé, moderne, sociable. En effet l’auteur nous le montre comme l’évolution d’un animal plus intelligent mais également beaucoup plus cruel et indéniablement violent ( « l’homme sauvage, libre et vagabond » , « la rancune, la cruauté, le besoin de la persécution »). Pourtant l’Homme être originairement

▪ « Macaniques victoires ! » ; indignation marquée par le point d’exclamation et d’une phrase nominale. ▪ Chiasme II. Un hômage aux civilisations détruites. a. Une civilisation enfant ➢ Origine (mythe du Bon Sauvage développé par Rousseau au 17ème siècle) ▪ Naïveté et possibilité de grandir ; « un monde enfant » ▪ Image reprise dans le 3ème paragraphe : « ignorance et inexpérience » b. Les qualités indiennes naturelles

une vision des choses moralisatrice. Au final, tout le monde va être à bout de nerf et ce qui était au début une discussion entre gens courtois et civilisés va tourner au véritable carnage. Critiques Une petite bagarre entre les enfants des deux couples. Les parents se retrouvent tranquillement pour discuter, les personnages sont courtois, civilisés, généreux, etc. La décoration de l’appartement est apaisante. Au début, tout est normal et tout semble se passer anodinement. Au fil de la discussion

l’ethnocentrisme des européens que nous verrons dans la prochaine partie. En effet, à l’époque, les Indiens étaient critiqués, discrédités et évangélisés de force. Nous faisons ici référence à la controverse de Valladolid avec Juan Gines de Sepulveda, homme d’église, partisan de la colonisation des Amérindiens. Les Européens à l’époque des massacres entre protestants et catholiques découvrent cette œuvre de Jean de Léry et en tirent une leçon de tolérance. Finalement, tant l’auteur- narrateur

Origine et utilisation du mythe du bon sauvage On attribue souvent à Rousseau la paternité de ce mythe, qui aurait été développé dans son Discours sur l’origine de l’inégalité parmi les hommes et l’Emile (traité sur l’Education). Cette théorie du bon sauvage pose que l’état de nature, antérieur à la civilisation, est bon et naturel pour l’homme. Dans l’état de nature, l’homme serait heureux. La civilisation correspondrait à la chute de l’homme, une perversion de sa nature: L’homme naît bon, c’est

le montrera Diderot dans son Supplément au voyage de Bougainville. De plus, leurs cultes religieux sont pour la plupart marqués par des sacrifices humains, d'enfants pour les Incas, de masse chez les Aztèques, ce qui contribue à développer l'image sauvage et barbare, aux antipodes du raffinement voulu par les modèles de civilisation. Le mot « civilisation » s'applique à un ensemble de peuples ou de sociétés. Ainsi, à côté de la civilisation qui est un degré élevé d'évolution ou un ensemble de traits