Homme des cavernes

de la société ou des médias, et nous les avons admises sans avoir réfléchi. En bref, nous sommes souvent certains pour de mauvaises raisons. Prenons l’exemple du mythe de la caverne : Les prisonniers de la caverne dans le célèbre texte de la République de Platon ne doutent pas des images qu'ils perçoivent au fond de la caverne, même si nous savons qu'elles sont des ombres, des images. Ces hommes sont prisonniers des apparences car ils ne remettent pas en doute ce qu'ils voient. Il s’agit de leur certitude :

celle de Mac Coy, c a d soit Mac Coy est coupable de délit de fuite soit il est coupable de non-assistance à personne en danger : interprétation contre interprétation. Le visible, le tangible, sont partiels et partiaux : la vie et la liberté d’un homme dépendent des ponts précairement jetés sur l’abîme séparant le visible de l’invisible. Un garçon sans importance Assumer et vouloir librement nous diriger dans l’existence implique le fait de devoir faire face aux difficultés de l’orientation

beau et ne s'arrête pas aux multiples choses belles. Ceux qui s'arrêtent aux choses belles ne sont que des rêveurs « qui prennent le reflet d'une chose non pour un reflet mais pour la chose elle-même » (p. 232 :anticipa­tion de l'allégorie de la Caverne, voir note 343). - B - 476e-480a, pp. 232-237. - De la distinction entre philosophes et hommes du com­mun suit la distinction entre philosophie et philodoxie puis celle entre connaissance et opinion. 1) [476e-477a] Trois objets de connaissance

question : qu'en est-il de la vérité ? Hors de ou dans la philosophie. Personne ne peut être indifférent à la question de la vérité. Chaque homme a besoin de croire à quelque chose auquel il donne du sens comme un idéal, "une vérité pour lui" qui se distingue parmi beaucoup d'autres, mais aussi il demande la sincérité relationnelle à ses proches. Chaque homme doit un jour se prononcer sur "ce qui fait vérité" à ses yeux. C'est à ce prix qu'il assure à sa vie une dignité, et en même temps assure une

sur une conviction personnelle. Pour le savoir, la conviction mène à une démonstration ou à une vérification, alors que pour la croyance cette conviction n’est pas poussée plus loin. Prenons l’exemple d’un homme qui est renseigné d’une certaine avancée scientifique sur un certain sujet. Si cet homme a confiance dans son interlocuteur il n’a aucune raison de ne pas prendre pour vrai ce qu’il lui dit et de remettre cette chose en cause. Il en est donc rapidement convaincu. Et de fait l’homme est dans

depuis quatre jours, lorsqu’il découvrit une caverne dans laquelle il entra. Dedans se trouvait une belle femme qui lui dit : – Qui t’amène ici, où tu vas être mangé par cet ogre ? – Mais toi, répondit le chasseur, quelle est ton histoire, et comment l’ogre t’a-t-il apportée ici ? – Il y a aujourd’hui trois jours, répondit-elle, qu’il m’a enlevée ; j’étais la fiancée du fils de mon oncle, c’est alors que l’ogre m’a ravie. Je suis restée dans la caverne, il m’apporte de la nourriture, je reste

d’Adimante : Socrate n’a pas tout dit sur le mode de vie des gardiens. Socrate soutient trois paradoxes, il fait déferler trois vagues successives : - La vague de l’égalité des sexes  (V 451c 457c) - Aucune occupation ne convient à un homme parce qu’il est homme mais parce qu’il est doué pour elle. - Les femmes doivent être éduquées comme les hommes et avoir les mêmes occupations. Elles peuvent donc être philosophes ou gardiennes. - La vague de la communauté des femmes et des enfants ( V 457c

:allégorie de la Caverne en est l’illustration .Métaphore Lumières et ténébres pour symboliser itinéraire philosophe .en contraste les sophistes montrent les ombres de la caverne .Démarche philopsophe apparait douloureuse et risquée .Académie apprenait à s’élever d’une vision des faits isolés à une vision d’ensemble , et jusqu’au principe qui commande le tout .démarche ascendante et descendante .s’appelle la dialectique :aller de la multiplicité à l’unité qui la gouverne .Ainsi e philosophe homme d’Etat est

sent menacé dans ce qu'il a de plus profond, dans ce qu'il cherche à se cacher. Platon a mis en avant dans « l’allégorie de la caverne », un certain souhait peut être de préférer rester dans l’ignorance. La recherche de la vérité fait peur à celui se penche sur son passé, vers des secrets qu'il craint de savoir. Platon à dit un jour, que le choix fondamental d’un homme se fait entre la vérité et la violence. Mais ne vaut-il pas mieux se blesser une fois, qu’être meurtri toute une vie ? Le moi

au bien dont Platon dit au livre VI de République, qu’il est au-delà de l’essence. 18. dialectique ascendante: c’est le passage de la multiplicité partout dispersé à l’unité. Dialectique descendante : c’est lorsque le bon philosophe revient à la caverne pour convaincre les autres de sortir. 19. Victor Goldschmidt, le pragmatisme dans la dialectique platonicienne. « Le pragmatisme est un exercice […] la première démarche dialectique tend vers la définition. Dans une « vision d’ensemble », il faut