Homme Libre Toujours Tu Chériras La Mer

l'oeil niais des falots !Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,L'eau verte pénétra ma coque de sapinEt des taches de vins bleus et des vomissuresMe lava, dispersant gouvernail et grappin.Et dès lors, je me suis baigné dans le PoèmeDe la Mer, infusé d'astres, et lactescent,Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blêmeEt ravie, un noyé pensif parfois descend ;Où, teignant tout à coup les bleuités, déliresEt rhythmes lents sous les rutilements du jour,Plus fortes que l'alcool, plus vastes

L'amour de la mer Joseph Bironneau O mer, je ne connais plus délicat plaisir que celui de fouler de mes pieds ton rivage aux endroits tourmentés de la côte sauvage, Pour peu que le labeur m'en laisse le loisir. Rien ne m'est agréable autant que de choisir Parmi tous ces galets, fruits d'un ancien clivage, Et qu'en expert polit l'incessant avivage La merveille qui sait répondre à mon désir. Puis je reprends ma course un moment suspendue, Le regard fasciné par l'immense étendue

ridées, cette bouche hagarde m’apitoient à la lâcher. Françis Ponge proposé par Philippe Bled J´ai choisi ce poème, car de tous ceux que j´ai trouvés et qui parlaient de la mer, celui- ci était le plus beau. Julie Cartotto L´Homme et la Mer Homme libre toujours tu chériras la mer! La mer est ton miroir; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n´est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image; Tu l´embrasses

exotique » la vision naît d'une sensation olfactive. Un texte entretient toujours un dialogue avec son titre-annonce, désignation, programme-, aussi gardons-nous l'idée de musique à l'esprit tout au long du texte, même si Baudelaire, par le jeu des synesthésies (les couleurs, les parfums et les sons se répondent), semble nous emmener bien loin du domaine des sons. Le comparé « la musique », disparaît au profit du comparant « la mer », l'audition du morceau de musique devenant un voyage en voilier avec

son champ. Elle allait à grands pas moissonnant et fauchant, Noir squelette laissant passer le crépuscule.  » Victor Hugo, les Contemplations, « Mors » • La mort et son pendant, le temps qui passe, engendrent angoisse et mélancolie. «  Et quand un homme meurt, je vois distinctement Dans son ascension mon propre avènement […] C'est mon tour ; et la nuit emplit mon œil troublé Qui, devinant, hélas, l'avenir des colombes, Pleure sur des berceaux et sourit à des tombes  » Victor Hugo, Toute la lyre,

ennuis et les vastes chagrinsQui chargent de leur poids l’existence brumeuse,Heureux celui qui peut d’une aile vigoureuseS’élancer vers les champs lumineux et sereins ;Celui dont les pensers, comme des alouettes,Vers les cieux le matin prennent un libre essor,— Qui plane sur la vie, et comprend sans effortLe langage des fleurs et des choses muettes ! Présentation et mes appréciations du poème : Elévation est  un poème composé en cinq quatrains d'alexandrins ,le troisième poème des Fleurs du mal dans

Le comparé « la musique », disparaît, puis apparaît le comparant « la mer », l'audition du morceau de musique est devenu un voyage en voilier avec toutes ces accidents possible. A partir du second vers la métaphore filée est presque absente.Il est probable que Baudelaire s'inspire ici de la musique de Wagner qui redonna une grande importance à l'orchestre tout au long de ses opéras prenants et envoûtants comme l'océan. La mer offre en effet ici l'idée de l'immensité et surtout du mouvement. .

ressenti la caresse abrupte du vent ? La mer, voilà le sujet que j'ai choisi pour cette anthologie. Si la mer a été abondamment traitée en poésie, elle reste fascinante et regorge aujourd'hui encore de mystères, tant son emprise sur l'homme à travers les siècles est forte. J'ai choisi ces poèmes pour la force de leurs émotions et leur beauté, afin de nous faire réfléchir à ce que nous pouvons exprimer nous-même en songeant à la mer. Les sentiments associés à la mer sont particulièrement intimes : pour

Florilège Thèmes : LA MER J'ai choisi le thème de la mer car cela me rappelle mes vacances au bord de mer avec ses immense plages. Cette étendue liquide, plane, vaste mais qui contient enfaite une beauté sous-marine grandiose avec ses magnifique espèces animales et végétales. On ne voit jamais le bout de la mer, et cela instaure une envie d'aller plus loin, de s'évader et de rêver ... Du 16ème siècle : Par l'ample mer, Mellin de SAINT-GELAIS Par l'ample mer, loin des ports et

l’écume ? La mer au fil des saisons, voilà le sujet choisi pour cette anthologie. Si la mer a été amplement traitée en poésie, elle reste fascinante et déborde encore de secrets. Les dix poèmes de cette anthologie ont été classés dans l’ordre que je trouvais plus approprié. J’ai choisi ces poèmes pour la force de leurs émotions et leur beauté, afin qu'ils vous fassent réfléchir, je l’espère, à ce que vous éprouvez en pensant à la mer. Les sentiments associés à la mer sont particulièrement