Homme Moderne Aliéné Libéré

(accaparée par des particuliers), mais en tant que loi, elle plane au-dessus des particuliers qui sont tous égaux par rapport à elle. Rousseau conçoit l'Etat juste comme l'Etat où chacun aura conscience d'être libre parce qu'il ne doit obéir à aucun homme mais seulement à la loi. Dans l'Etat social, les relations d'hommes à hommes sont soumises à la violence, à l'arbitraire car chacun cherche à tirer un maximum de profits aux dépends d'autrui. Dès lors pour Rousseau, il n'y a qu'une solution au problème

compréhension, de synthèse, de direction. Ces activités semblent donc de possibles vocations, qui ne serait alors pas une corvée, et ne serait pas une histoire de nombre d'heures. Emmanuel Mounier a d'ailleurs affirmé que "Tout travail travaille à faire un homme autant qu'une chose". Cela montre bien que le travail est une manière de s'accomplir, un gain qui de par le fait, plus il est important, plus le gain l'est aussi. Cette valeur du travail se retrouve chez les classiques : Pour Adam Smith "c'est

qu’ils attristent ou qu’ils troublent4 ». Esquirol fera le même constat : « Dans tous les hospices ou hôpitaux, on a abandonné aux aliénés des bâtiments vieux, délabrés, humides, mal distribués, et nullement construit pour leur destination, excepté quelques loges, quelques cachots bâtis exprés ; les furieux habitent ces quartiers séparés ; les aliénés tranquilles, les aliénés dits incurables sont confondus avec les indigents, les pauvres. Dans un petit nombre d’hospices ou l’on enferme des prisonniers

Le capitalisme actuel comme source d’inégalités : Esclavage salarié contemporain Présentation du phénomène contemporain choisi : Notre société actuelle est marquée par un capitalisme grandissant. L’esclavagisme moderne, de l’anglais « wage slavery » (esclavage salarié), en tant que concept de notre société capitaliste actuelle, est une problématique contemporaine grandissante. Cette dernière correspond à l’acceptation légale d’un emploi par un individu mais qui en pratique se retrouve esclave de

humaine. Certes, l’animal peut aussi travailler, mais ce qui différencie le travail humain du travail animal est que, dans le cas de l’homme, on a affaire à un projet pensé, conscient de lui-même et toujours prémédité. Dès lors, la différence entre Homme et animal est définie. L’homme est l’être qui a le plus de besoins et que la nature a le moins favorisé en talents divers pour les satisfaire (par exemple, il court et/ou nage souvent moins vite que ses proies et son odorat et son ouïe sont moins développées

culturelle religieuse: La Bible, la genèse- « tu gagneras ton pain à la sueur de ton front » « tu enfanteras dans la souffrance »L’esclave dans l’antiquité n’est pas un moyen de s’enrichir, il permet à son maître de ne plus travailler c’est-à-dire qu’il libère le maître de la nécessité économique. Il peut donc jouir de son temps. Le temps hors du travail = temps libre Skholé (école) otium = loisir De nos jours, il n’y a plus d’esclaves, on doit donc tous travailler. Les personnes

Prométhée ds lequel l’humanité est soumise aux labeurs.  Nécéssité du travail et répugnance envers cette activité. B. Le T, une activité traditionnellement asservissante. Mépris des civilisations passées pour le T. Pr les Grecs travailler c’est aliéner sa liberté au service de la matière (du corps) ou d’autrui. Les grecs dénoncent l’impossibilité pr l’homme d’ignorer sa nature corporelle, Platon dit « le corps est une tombe ». Pr les grecs la matière est moins bien que l’esprit, ils distinguent

éloigner la faim et limiter le désir coupable et faisant chacun rester à sa place. * Nature et conditions du travail : une contradiction ? Le machinisme ne semble pas libérer l’homme de la contrainte : la division du travail est certes un gain d’efficacité mais aussi une perte de signification. (Charlie Chaplin, Les temps modernes). Plus le travail est rationalisé, plus il perd en humanité. Hannah Arendt : le travail est la répétition d’une tâche pour la satisfaction animale du cycle production-consommation

la presse (consacrée par la loi de juillet 1881) fait rage, de nombreux écrivains, de Chateaubriand à Zola, publient dans les journaux des articles, des critiques, des lettres d’opinion. En 1836, avec La Presse, Émile de Girardin crée le journal moderne, à prix modeste grâce à la publicité et à l’importance de la diffusion. La littérature trouve sa place dans ce journal à travers le roman feuilleton - de nombreux romans de Balzac et d’Alexandre Dumas (dont Les Trois Mousquetaires), entre autres,

contemporain doit tirer des leçons de la terreur fasciste et prendre conscience qu’il est en grande partie responsable de l’Histoire de son temps. Sartre soutient que la seule façon d’agir positivement sur l’Histoire, c’est de s’engager c’est-à-dire aliéner sa liberté dans une cause universelle et par conséquent libératrice. Enfin, cette œuvre témoigne d’un grand progrès dans la libération des mœurs. Sartre parle librement de politique, de faits de société considérés comme pernicieux (l’avortement