Homme Pense Animal Dépravé

l’essor des religions réformées, le progrès des sciences exactes => achevé par une crise de conscience : le scepticisme et le rationalisme. Philosophie: l’humain doute de tout, de toute autorité Remet tout en question (libertins): p. 146-147. Pense le mystère incompréhensible de l’existence (Pascal) * Baroque: Dans les arts: foisonnement, fragmentation, exubérance: le baroque. Voir Darcos p. 129-131. Baroque: barroco, perle irrégulière, pierre précieuse mais mal taillée ou impure XIX : baroques

riche sont nombreux." Bible, Proverbes "Le pauvre est odieux même a son ami, mais les amis du riche sont nombreux." Bible, Proverbes "D'après Aristote, l'amitié n'est qu'un pis-allé, un substitut bien imparfait de l'autarcie divine, de même que la pensée discursive est un substitut de la contemplation de soi-même. " (Amitié) L'amitié tient-elle du hasard ou de la nécessité ? L'amitié est-elle oubli de soi ou affirmation de soi ? Helvétius, dans De l'Esprit, écrit : "La force de l'amitié ne se mesure

moderne1 Le peintre de la vie moderne Charles Baudelaire Calmann Lévy, Paris, 1885 Exporté de Wikisource le 17 avril 20222 III LE PEINTRE DE LA VIE MODERNE[1] I. Le beau, la mode et le bonheur 51 II. Le croquis de mœurs 56 III. L’artiste, homme du monde, homme des foules et enfant 58 IV. La modernité 68 V. L’art mnémonique 73 VI. Les annales de la guerre 78 VII. Pompes et Solennités 83 VIII. Le militaire 87 IX. Le dandy 91 X. La femme 96 XI. Éloge du maquillage 99 XII. Les

Bergerac une occasion de déployer sa valeur dans des duels qui se renouvelaient presque tous les jours. - Si quelqu’un avait le malheur de le regarder et montrait quelque étonnement de voir un nez pareil, vite, il lui fallait aller sur le pré […] Tout homme doit faire respecter son nez, rien de mieux ; mais, Cyrano non content de tuer ou de blesser grièvement ceux qui ne paraissaient pas satisfaits de son appareil olfactif, voulut établir que tout le monde devait avoir un grand nez, et que les camus étaient

amoureuses n'est que l'enracinement d'une classe bourgeoise décadente vouée à l'ennui, ne trouvant distraction qu'avec la maîtrise du mal . Valmont en est l'incarnation : personnage qui dissimule les braises de l'amour sous une plume parfaitement pensées, tenant sa forme qu'à la froideur de son esprit, « qu'à la manière de la glace ».Il est en somme le principale vecteur des dangereuses liaisons, véritable noyau du roman qui tisse chacune des intrigues, s'affirmant comme « le protagoniste de l'action

vieil homme se redresse et sort la tête des draps, torse nu. Marc ( tremblant ) Oh merde, j'ai pas fais ça. J'étais pas bourré on m'a drogué c'est pas possible ! Ce sale vicieux a mis du LSD dans mon verre c'est clair ! Oh putain, oh c'est dégueulasse... Le vieil homme ( souriant ) [...] Marc Qu'est ce que vous m'avez fait vieux taré ? Qu'est ce que vous foutez chez moi ? Le vieil homme Je dormais. Marc Depuis combien de temps vous êtes là ? Le vieil homme Depuis

ballotte sur son ventre rebondi, et, les yeux à demi fermés, il marmotte un Pater noster dans son triple menton. (1.1.1- 5) Durement canotée sur son âne essoufflé, dame Pluche gravit la colline ; son écuyer transi gourdin à tour de bras le pauvre animal, qui hoche la tête, un chardon entre les dents… Bonjour donc, dame Pluche ; vous arrivez comme la fièvre, avec le vent qui fait jaunir les bois. (1.1.38-45) Il y a parfois, ici et là, d’une scène à l’autre, ou dans une même scène, une succession

--- APOLLODORE [172a] Je crois que je suis assez bien préparé à vous faire le récit que vous me demandez ; car, tout dernièrement, comme je me rendais de ma maison de Phalère * à la ville, un homme de ma connaissance, qui venait derrière moi, m'aperçut, et m'appelant de loin : GLAUCON Homme de Phalère ! s'écria-t-il en badinant, Apollodore ! ne peux-tu ralentir le pas ? APOLLODORE Je m'arrêtai, et l'attendis. GLAUCON Apollodore, me dit-il, je te cherchais justement ; je voulais

échapper à notre connaissance. Cependant, deux types d’expérience semblent remettre en question cette certitude immédiate : - tout d’abord, il arrive que ce que nous pensons être soit en décalage, voire en contradiction avec ce qu’autrui perçoit et pense de nous. Nous nous rendons alors compte que ce que notre conscience nous donne à observer ne constitue qu’une illusion, tributaire de notre propre point de vue, de nos projections et de nos fantasmes. Dans ce premier cas, nous avons donc l’impression

tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d’ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides, 12 Paix des pâtis semés d animaux, paix des rides Que l’alchimie imprime aux grands fronts studieux ; O, suprême Clairon plein de strideurs étranges, Silences traversés des Mondes et des Anges - O l’Oméga ! rayon violet de Ses Yeux ! La Muse (tant pis ! vivent nos pères !) la