Hong Kong

ainsi qu’Angleterre réagit en envoyant des forces en 1840, c’est le début de la première guerre de l’opium. +Intérêts commerciaux prédominants observables dns revendications : reprise du commerce, remboursement des stocks d’opium et passation de Hong Kong De même, notion évidente dans la 2ème partie du conflit : avec Royaume-Uni qui recontacte autorités chinoises pour révision des traités, et qui devant refus, attendent occasion d’entrer en conflit. • Pouvoir pénétrer sans hostilité dans Canton

investissements étranger parmi les nations en voie de développement, 82 milliards en 2007 près de 100 milliards en 2009 * Le tiers de la production industrielle * Outil essentiel de la croissance chinoise Chinois de l’étranger : Singapour, Hong Kong, Taiwan, Canada sont les premiers investisseurs chinois ; 1ère terre d’accueil des investissements. Le facteur salarial * un avantage salarial relatif * les contraintes administratives * le préjudice moral * Un avantage

marché total. Deuxièmement, analysons de poids que la chine entretient sur le marché du jouet. La chine produit 50% du marché mondial, dont 25% passent par Hong Kong, la ville est donc une plate forme de réexportation. De plus, la chine est une pépinière de nouveaux concurrents, c’est à dire que d’anciens sous traitant « Hong 
Kongais » des multinationales américaines sont devenus indépendants et figurent parmi les 10 premières marques mondiales comme V tech. Troisièmement, intéressons

littoral pacifique. _ Ces pays ont su profiter de leur situation géographique en construisant de grands ports et surtout ils ont compris que la révolution des transports leur a permis d’amener des ports à conteneurs, des plus grands du monde (Hong-Kong, Singapour, Pusan et les ports japonais). _ De plus, ces pays disposent de flottes marchandes parmi les plus importantes du monde. Cette ouverture maritime est complétée par de grands aéroports internationaux (hub). _Le dynamisme industriel Nous

considéré comme le centre politique et culturel de la Chine, tandis que Hong Kong et Shanghai dominent au niveau économique. Population, économie Avec 19,6 millions d'habitants (2010), Pékin est la deuxième ville la plus peuplée de Chine après Shanghai. La zone urbaine compte quant à elle 18 millions d'habitants. D'un point de vue économique, Pékin est la troisième ville de Chine par le PIB total derrière Shanghai et Hong Kong. Elle connaît une croissance économique très rapide, nettement plus de

sur ces marchés l’opportunité de proposer à leurs cadres prometteurs une expérience internationale. Les missions d’expatriation sont traditionnellement proposées par les entreprises des pays d’Europe, d’Amérique du Nord et, en Asie, par le Japon, Hong-Kong et Singapour. Toutefois cette enquête révèle une forte augmentation du nombre de missions d’expatriation dans de nouveaux pays tels que l’Inde, la Taïwan ou le Qatar. 70 % des entreprises indiennes, 78 % des entreprises taïwanaises et 67 % des entreprises

elles peuvent concerner quelques immeubles comme de très vastes espaces ¡  B) Des pôles portuaires ¡  L’urbanisation des littoraux est accentuée par les activités portuaires. On compte dans ces régions les plus grands hubs mondiaux comme Hong Kong, ou Kaohsiung à Singapour qui sont des plates formes multimodales spécialisées dans le trafic de conteneurs et qui vont fonctionner en harmonie avec de grands aéroports comme celui de Tokyo (4e mondial). ¡  Ces ports d’Asie orientale concernent

voire plus Pour échapper à ces taxes, de nombreux consommateurs chinois partent à l'étranger pour y acheter ces produits, et le montant des dépenses annuelles à l'étranger à cet effet pourrait s'élever à près de 200 milliards de yuans en moyenne. Hong Kong, le premier choix pour les tourisme shopping, où les taxes sur les produits de luxe sont 30% moins élevées qu’en Chine continentale, attirent plus de --- touristes. 31 millions de touristes chinois ont ainsi parcouru le monde en 2005. Ces touristes

plateformes mondiales pour le commerce ; le port de Shanghai demeure un atout majeur : il est actuellement le premier du monde pour le vrac (560 M t en 2007) et le 2ème pour le trafic de conteneurs (26,15 M EVP en 2007, soit 1/4 du trafic chinois) devant Hong Kong et à quelques encablures de Singapour. La ville-province accueille un nombre croissant de sièges asiatiques, de grandes sociétés internationales, notamment françaises. Début 2008, elle concentrait ainsi plus de 35% des filiales d’entreprises françaises

importants marchés financiers internationaux. Comme Wall Street, Londres ou Paris, elles ont connu un krach en octobre 2008. Le principal indice de la bourse de Shanghai, le Shanghai Composite Index, a perdu plus de 60 % de sa valeur en 2008, et celui de Hong Kong, le Hang Seng, presque la moitié. Cela correspond à des chutes bien supérieures à celles qu’ont connues les places occidentales. Pourtant, ces chiffres catastrophiques sont loin de faire les gros titres des journaux. Pourquoi cela ? Une capitalisation