Honte

au point de parler de « sentiment infiniment fraternel »24 à son égard. L'expression paradoxale « une joie et une peine capiteuses me transportèrent » montre à la fois le plaisir de partager un sentiment douloureux et l'ivresse de réaliser que la honte peut mener à un désir de mort. Pour conclure, on peut dire que la perception de la scène par le narrateur est très manichéenne. Les protagonistes s'opposent en tout: nombre, luminosité, bruit. L'analogie aux peintures de Rembrandt occupe ici

ans, elle est entrée dans la honte. Le dimanche suivant elle est allée à la fête de la jeunesse avec sa classe. En rentrant Mlle L. leur a accompagnée à la maison et quelques filles de sa classe ont vues la mère avec une robe de chambre, quelque chose qui est considéré comme un accessoire de luxe dans son milieu. En juillet la grand-mère est morte et il avait une violente dispute entre des membres de famille de la narratrice. Elle pensait qu’il faut encore plus de honte, que ça ne va jamais arrêter

était sans seconde, Sa beauté fut l'aimant des princes d'alentour, Qui jadis tous en foule, abordaient en sa cour, La Guindaye est une île à son pouvoir soumise, Où cent Rois chaque jour apportaient leur franchise, Mais un seul rendit sien à la honte de tous, L'objet de tant d'amants, et de tant de jaloux : Florisel, c'est son nom, sous les fausses promesses D'un futur Hyménée, attira les caresses, Toutes les privautés que l'on peut commencer, Et tout ce qu'une amante a moyen d'avancer, Tout

« châtiment » 4ème paragraphe : « châtiment d’enfant » Question : Selon vous, pourquoi Rousseau n’emploie-t-il pas le terme de « fessée » ?(pas de temps de recherche pour les élèves) Le terme de « fessée » n’apparaît jamais, témoignant de la honte de Rousseau face à cet épisode de son enfance 2. Les ellipses Question : Quelles phases de la punition sont évacuées du récit de Rousseau ? (3 minutes) * Pourquoi a-t-il été puni ? * Comment la fessée s’est-elle déroulée ? Disparition

est heureux, détester, être mécontent, être affligé, 怒： enrager, se fâcher, s’indigner, être fâché, être indigné, il est fâcheux, 哀：déplorer, être triste, 惊：s’étonner, être étonné, être surpris, il est curieux, il est étonnant, 羞愧：avoir honte, c’est une honte, c’est honteux, 遗憾（后悔）： regretter, être désolé, se repentir, c’est dommage, 害怕：appréhender, craindre, redouter, trembler, avoir crainte, avoir peur Admirer, se plaindre, c’est pitié Ex. nous nous réjouissons que vous (être) en bonne

marcher ». Ensuite, elle passera du vouvoiement au tutoiement dans la 2ème tirade. 2ème tirade : 1. 1er vers : L'interjection « Ah! » coupe la parole à Hippolyte. Elle le traite de « cruel » car elle lui avoue un amour impossible dont elle a honte. Celui qu'elle aime la fait souffrir. « Tu m'as trop entendue !  » montre bien qu'elle lui fait une révélation. Il a compris ce qu'elle voulait dire. 2. Elle avoue son amour au vers 673. « Je t'aime ». 3. Elle le vit mal. Elle se dit « innocente »

l'entrevue de jeudi (--> elle sait que c'est une « rupture ») Ex :champs lexical de la crainte et de la honte (souligné en noir) : l.42 : humiliation l.47 : crainte l.48 : baisser les yeux l.51 : mains tremblantes l.52 : honteux l.55 : humiliation l.57 : honte l.65 : honte Elle imagine déjà cette rupture : elle utilise le futur (verbes au futur soulignés en rouge)

mange pas les midis de peur de grossir) si ce n’est pas pathétique ce genre de situation ! Mais tu n’es pas là Papa pour voir ça, mais si qu’est-ce que je dis tu es là à me regarder d’en haut et j’ai peur que tu ne sois pas fière de moi ! Qu’elle honte de voir ta fille manger comme ça, grossir comme ça, tu ne m’as pas éduqué comme. Tous ce que je voudrais c’est me reprendre et me remettre dans la bonne voie et par la même occasion mincir et revenir à 52 ou 51 kg. Mais tout ça va être très dur. Mais

Mais après ce qu'en vous je viens de voir paraître. Je vous déclare net que je ne le suis plus, Et ne veux nulle place en des cœurs corrompus. PHILINTE Je suis donc bien coupable, Alceste, à votre compte ? ALCESTE Allez, vous devriez mourir de pure honte; Une telle action ne saurait s'excuser, Et tout homme d'honneur s'en doit scandaliser. Je vous vois accabler un homme de caresses, Et témoigner pour lui les dernières tendresses; De protestations, d'offres et de serments, Vous chargez la fureur de

mes parents. Maintenant écoutez-moi et jugez-moi. Une femme, ayant accouché d'un fils, l'envoya quelque part en nourrice. Sut-elle seulement en quel pays son complice porta le petit être innocent, mais condamné à la misère éternelle, à la honte d'une naissance illégitime, plus que cela : à la mort, puisqu'on l'abandonna, puisque la nourrice, ne recevant plus la pension mensuelle, pouvait, comme elles font souvent, le laisser dépérir, souffrir de faim, mourir de délaissement ? La femme