Syndrome de Stevens-Johnson

de chaleur d'une source d'énergie vers la peau. L'agent vulnérant peut être thermique, électrique, chimique, des radiations ionisantes (rayons U.V., X, g ). Certaines maladies bulleuses de la peau sont assimilées à des brûlures (syndrome de Lyell ou de Stevens-Johnson). Elles mettent en jeu le pronostic vital dès que la surface cutanée brûlée atteint 15% chez l'adulte et 10% chez l'enfant [4]. Elles sont responsables d'un nombre important de journées d'arrêt de travail et sont source d'un handicap

toxoplasmose (11). Dans notre cas le malade a poursuivi, avec le Videx® et l’Épivir®, le traitement par Bactrim forte® sans récidive des lésions écartant la responsabilité de ces médicaments dans la survenue de l’érythème polymorphe. Un syndrome de Stevens-Johnson a été décrit chez les sujets infectés par le VIH en particulier avec la pyréthamine, la sulfadiazine et les phénytoïnes (12). Les critères d’imputabilité d’une toxidermie médicamenteuse semblent respectés (13). L’imputabilité intrinsèque

Érythème noueux Érythème pigmenté fixe Érythème polymorphe Érythrodermie Erythrasma Escarre Fiessinger-Leroy-Reiter (syndrome de) Folliculite Furoncle Gale Gangrène Granulome annulaire Herpès Ichtyose Impétigo Intertrigo Kératose actinique Kératose pilaire Leishmaniose Lèpre Leucokératose Lichen plan Lichen scléro-atrophique Livedo Lupus érythémateux Syndrome de Lyell Mal perforant plantaire Maladie professionnelle Mastocytose Mélanome Miliaire Mucinose Molluscum contagiosum

Dossier de pharmacovigilance : Le syndrome de LYELL médicamenteux. INTRODUCTION : Le syndrome de Lyell est une dermatose bulleuse encore appelée nécrose épidermique toxique (NET). Il s’agit de l’un des accidents médicamenteux les plus graves car il est potentiellement létal, mais il reste rare. C’est une nécrose aigüe des kératinocytes de l’épiderme avec altération de la jonction dermato muqueuse sur toute la hauteur du corps muqueux. La nécrolyse se traduit cliniquement par un érythème et

– Cytopénies Formes peu sévères - Urticaires / angiœdèmes - Exanthèmes maculo-papuleux - Erythèmes pigmentés fixes - Réactions de photosensibilité Formes sévères - Pustuloses exanthèmatiques aiguës généralisées - Syndromes de Lyell et de Stevens-Johnson - DRESS - Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms - Vascularites - Choc anaphylactique, œdème laryngé Clinique de l'allergie médicamenteuse •  Evoquer rapidement la possibilité dʼune allergie •  Préciser

Emanuel/Linda L. Emanuel 10 Médecines douces (médecines alternatives et complémentaires) Stephen E. Strauss 1 6 13 26 28 32 38 43 53 22 Engourdissement, fourmillements et déficit sensitif Arthur K. Asbury 23 Aphasies, troubles de la mémoire et autres syndromes cérébraux focaux M.-Marsel Mesulam 24 Troubles du sommeil Charles A. Czeisler/John W. Winkelman/Gary S. Richardson 141 145 153 SECTION 4 PATHOLOGIES DES YEUX, DES OREILLES, DU NEZ ET DE LA GORGE (Traduction P. Friocourt) 25 Pathologies

(plus de 72 heures) Atteintes dermatologiques (rash, urticaire), vaisseaux sanguins, rein, anémie, neutropénie, thrombocytopénie, StevensJohnson Syndrome d’hypersensibilité (DRESS: drug reaction with eosinophilia and systemic symptoms) • Effet classe : contreindication de la classe • Traitement du choc par adrénaline SyndromeStevens-Johnson IFSI ANTIBIOTIQUES Effets secondaires et contre-indications • Céphalosporines – Hypersensibilité : • • • • Réactions anaphylactiques parfois

périphérie. Elle réalise des lésions en cercles concentriques recouvrant de larges zones de peau avec une desquamation étendue. Le Tokelau est répandu dans des foyers bien localisés des zones tropicales (certaines îles du Pacifique). 2.3.2.3. Le syndrome dermatophytique chronique. Il survient chez des sujets ayant un déficit immunologique ou soumis à un traitement prolongé par corticoïdes ou autres immunosuppresseurs. Les lésions sont polymorphes et étendues au niveau des plantes des pieds et des

doses thérapeutiques, le risque augmentant proportionnellement à la dose, . troubles du comportement, modifications de la conscience, irritabilité, agressivité, agitation, . dépendance physique et psychique, même à doses thérapeutiques avec syndrome de sevrage ou de rebond à l'arrêt du traitement, . sensations ébrieuses, céphalées, ataxie, . confusion, baisse de vigilance voire somnolence (particulièrement chez le sujet âgé), insomnie, cauchemars, tension, . modifications de la libido

•Les contre-indications »Colchicine : IRS (Cl créat < 30ml/min) et HIS, association avec macrolides (sauf spiramycine - Rovamycine®) »INDOCID® : Ulcère, IR, traitement anticoagulant, méthotrexate »ZYLORIC® : Allergie (syndrome de Lyell ou de Stevens Johnson) »FASTURTEC : Déficit en G6PD, allaitement, enfant de moins de 6 ans –Colchicine »Troubles intestinaux : irritation intestinale = diarrhées 10 à 48H après le début du traitement  diminution de la posologie »Toxicité hématologique