Hôpital psychiatrique

Associoates, Paris, le 3 mars 2005. Le nombre de pages est de 192. Présentation de l'auteur: Marie de Hennezel est née le 5 août 1946 à Lyon. Elle débute sa carrière de psychologue en 1975. Puis, elle obtient un poste de psychologue dans un hôpital psychiatrique à Villejuif. Elle y travaille trois ans auprès de grands psychotiques. Elle intègre la première unité de soins palliatifs afin de montrer que l'on peut mourir dans la dignité,entouré de ses proches. En 1992 ,Marie de Hennezel fonde avec Jean-louis

(services de médecine et de réanimation) et de soins psychiatriques (service d accueil psychiatrique et de liaison, et en centre médico-psychologique). En débutant la formation et ce travail, les réflexions qui nous animent concernent les pratiques du cadre de santé pour le bien être au travail du personnel. En effet, elles font écho avec des situations de vies de patients en grande souffrance dans leur travail. De plus, le travail en équipe à l hôpital, ses enjeux au niveau individuel, collectif, institutionnel

jugulaire ainsi qu’une ponction artérielle (gazométrie) soins que je vais réaliser pour la troisième fois ce jour. Le Centre Hospitalier Cet hôpital fait partie du C.H.U.M (Centre Hospitalier Universitaire de Martinique). Il possède deux services de médecine, un d’urologie, un de néphrologie, un consacré à la tête et au cou, un d‘hémodialyse, un psychiatrique, un de chirurgie en ambulatoire, pédiatrique, réparatrice. Un laboratoire, service de radiologie, et les soins intensifs où je suis en stage

des convenances. Ce déracinement exécuté, il fut malheureusement pour elle immédiatement suivi par sa chute, puisqu'elle fut atteinte d'une maladie psychique, qui la sépara de son mari, du monde réel et lui imposa de vivre dans plusieurs hôpitaux psychiatriques finissant par mourir brûlée vive dans l’incendie d’une institution de soins dans lequel elle se trouvait internée. 1 Interview : Gilles Leroy, prix Goncourt 2007 pour Alabama Song au Temps. JETSET magazine (en ligne) 7 mai 2008. http://www

rendre visite et fait la rencontre de sa fiancée, Madelon dont il devient l’amant. Plus tard, la vieille Henrouille décède, probablement poussée dans l’escalier par Robinson, ce qui décida Bardamu à rentrer à Paris.   Recruté dans un centre psychiatrique parisien dont le responsable est le docteur Baryton, Bardamu se lie d’amitié avec celui-ci. Il prendra plus tard la charge de la clinique lorsque Baryton ayant sombré dans la folie s’enfuit à la découverte du monde. Robinson qui avait finalement

proches de la mort. Les mauvais malades : Les infirmières redoutent les malades en provenance des urgences et les patients difficiles à prendre en charge. Elles cherchent donc à éviter d’accueillir les personnes dépendantes, les malades psychiatriques et les personnes atteintes par le Sida. Les patients indésirables sont stigmatisés et surnommés « les HIV », « les psy », « les toxico », « les Park » (Parkinson), « les SEP » (sclérose en plaques) et « les K » (cancer). Pour les infirmières,

sanitaires et médico-sociaux implantés sur la moitié Nord de la Franche –Comté. Elle propose des prises en soins à destination de 3 types de publics : les personnes âgées dépendantes les personnes handicapées les personnes atteintes de maladies psychiatriques Je m’attarderai sur le dernier public suivi car c’est au service de Psychiatrie général de Montbéliard que j’évoluerai jusqu'au 14 Mars 2013. Chaque jour est une répétition cyclique d’évènements réglés comme une partition musicale : lever ,

satisfaction des usagers dans les établissements de santé fait l’objet d’une recommandation ancienne1. L’ordonnance du 24 avril 1996 en a fait une obligation. A priori, satisfaire les usagers qui s’adressent à lui devrait être un souci élémentaire de tout hôpital. Il paraît donc naturel que chaque établissement se donne les moyens de connaître le degré de satisfaction de ses usagers. Pourtant, il a fallu qu’une loi stipule cette nécessité, et que des textes réglementaires définissent comment souscrire à

projets bien particuliers, les projets culturels en établissement de santé. Concert, spectacle de danse, atelier de théâtre, intervention artistique en milieu hospitalier prennent diverses formes et, depuis la signature de la Convention Culture et Hôpital en 1999, les initiatives se multiplient. L’article L6111-1 du Code de Santé définit les établissements de santé comme les établissements assurant « le diagnostic, la surveillance et le traitement des malades, des blessés et des femmes enceintes. »3

soins de santé. Des recherches sont menées pour essayer d’améliorer son quotidien, de soutenir son moral. C’est dans le cadre de ce mouvement d’humanisation du séjour de l’enfant hospitalisé, que se sont développés des associations qui proposent aux hôpitaux des activités clownesques dans les chambres d’enfants malades. Ce type d’action est aujourd’hui encouragé par les pouvoirs publics qui accordent des aides à certaines A.S.B.L. L’objectif de ce travail est de découvrir ce qui se passe lors de l’échange