Horla Psychanalyse

L’INCONSCIENT. Dans un article paru en 1917, Freud compare la révolution provoquée par la psychanalyse à celle de Copernic et de Darwin. De même que la terre ne peut plus être considérée comme le centre de l’univers et que l’homme n’apparaît plus que comme le tard venu de la lignée animale, le moi conscient n’est plus maître dans sa propre maison. Par sa découverte de l’inconscient, Freud remarque en effet que nous sommes mus dans la plupart de nos actions, non par les mobiles que nous croyons

des perruques grises et ne boivent que de l’eau de vie. Or, le portrait est actuel: les jeunes filles se maquillent pour se vieillir, les plus âgées afin de se rajeunir. Cette quête de la jouvence peut être expliquée par l’inconscient grâce à la psychanalyse freudienne. Freud énonce dans ses Considérations sur la mort que notre inconscient est persuadé de sa propre immortalité, or lorsque l’on fait l’expérience de la mort d’un proche nous sommes face à l’évidence de notre propre mortalité: soit nous

lapsus). Pour lui, la vie psychique de l’individu est double : il y a le psychisme conscient (renvoie à la conscience) et le psychisme inconscient. C’est à ce dernier que Freud va s’intéresser et qu’il va développer. II] Les présupposés de la psychanalyse à propos de l’inconscient 1/ Qu’est ce que l’inconscient ? La décomposition du mot inconscient (in – conscient) permet de l’opposer à la conscience. L’inconscient serait donc ce qui serait contraire à la conscience, une limite de la conscience

du concept de contre-transfert freudien valable pour les institutions, je recherche à travers la littérature les éléments d’évolution du concept qui mènent naturellement à l’acception du terme que j’utilise. Pour ce qui est du sens du terme en psychanalyse freudienne, je m’appuie sur les textes de Freud et Ferenczi. Puis les textes de P. Heimann, M. Little, A. Reich, J. Guillaumin me servent à préciser l’évolution du concept et les différentes acceptions que l’on pourrait lui donner. Chapitre 2.

choqué par la psychanalyse, qu’il présente comme la troisième grande révolution intervenant dans la conception que l’homme peut avoir de lui-même : – la première a eu lieu lors du passage (avec Copernic et Galilée) du géocentrisme à l’héliocentrisme : l’homme ne peut plus se concevoir comme le centre de l’univers ; – la deuxième, que symbolise la théorie darwinienne de l’évolution des espèces, a révélé à l’être humain « l’indestructibilité de sa nature animale » ; – la psychanalyse, en troisième

n’aime guère donne à boire à sont chien dans la tasse qu’elle préfère.SYMPTOMES LIEES.Freud invente psychanalyse et abandonne hypnose (aléatoire, pas scientifique)Met en place le talking cure, la psychanalyse.Patient dit tout ce qui lui vient à l’esprit, ce qui lui semble absurde, improbable….But : parole ne soit pas mots qui vont suivre chemin de la raison mais de l’inconscientFreud invente donc psychanalyse (Théorie+ pratique).1ère loi : loi du refoulementQuand les désir pour des raisons affectives sont

Peut on fonder son existence sur le désir ? Qu’est ce que le désir ? On ne peut que désirer, ce que l’on a pas. Le désir est la prise de conscience d'un manque, dont la satisfaction procure du plaisir. Mais si ce n’est que du plaisir, le désir n’est pas obligatoirement un besoin. Car le besoin caractérise l’état dans lequel l’on est, lorsqu’on est privé de ce qui assure notre bon fonctionnement; contrairement au désir qui peut ne pas être un besoin, voire même un besoin vital. Un désir

qualitative et critique de la santé et de l’activité Université de Lausanne www.unil.ch/cerpsa L'attitude phénoménologique fait partie de l'attitude du psychologue clinicien et la psychologie clinique doit autant à la phénoménologie qu'à la psychanalyse • Minkowski (1885-1972) • Janet (1859-1947) • Bergson (1859-1941) • Husserl (1859-1938) • • • • La phénoménologie se caractérise par une démarche qui rassemble un certain nombre de penseurs, philosophes, psychiatres, puis psychologues

étudie la meilleure façon de soigner les maladies mentales plus ou moins graves. Le psychanalyste va faire des thérapies. Un psychanalyste n’est pas un docteur. Le psychologue est défini par la loi (5 ans d’étude). Psychiatre : médecin qui fait des psychanalyses. B- La Sociologie Ex : l’étude du suicide par Durkheim (1897 : publication du suicide) Il veut comprendre pourquoi il y a des variations qui sont induites par un certain nombre de facteurs (homme/femme, célibataire/marié etc.). Il essaye d’établir

La conception de Girard se base sur deux observations, d'une part l'observation que fit Aristote : l'homme est l'animal le plus apte à l'imitation et d'autre part celle de Freud qui stipulent que les interactions humaines sont gérées par les désirs des hommes. De ces deux observations il tire la théorie unitaire : le désir mimétique. Selon lui, tous les phénomènes qui entourent l'existence humaine se décrivent par cela. Le désir mimétique c'est le fait que l'homme a une volonté d'imitation, mais