Horreur

mitrailleurs. Il a cité: « Il fallait que je vive ça. Je le voulais… il faut que je vois tout de mes propres yeux… ». Il a donc combattu pour l’Allemagne lors de la Première Guerre Mondiale en France et en Russie. Il reste très marqué par les horreurs de la guerre. Peindre lui sert de thérapie. Il souhaite montrer toute l'horreur de la guerre à travers ses œuvres. Il réalise environ 600 dessins, gouaches, aquarelles qui sont comme des notes, prises sur le vif ou à l’occasion d’un souvenir qui

L'enfant apparait avec la tête et les bras oscillants. 3. Les enjeux de Guernica Le but de Picasso est dénoncer les horreurs de la guerre et ce dont les hommes sont capables contre un peuple sans grande défense. Picasso voulait que sa peinture soit compréhensible de tous. Cette oeuvre est engagée car elle prend parti en quelque sorte pour la paix, que toutes ces horreurs s'arrêtent, le peintre montre cela par le biais de cette peinture pour que enfant comme adulte voit la souffrance représentée

tant que soldat pendant la Première Guerre mondiale. Il a vécu l’horreur des tranchées et la violence des combats. Il est ainsi un témoin privilégié de cette guerre dont il revient traumatisé. A son retour du front, il entreprend de représenter les horreurs de la guerre, dans le but d’exposer crûment au public la souffrance humaine, les atrocités de la guerre, mais aussi d’entretenir la mémoire de ces événements tragiques pour les générations à venir. Quand les nazis arrivent au pouvoir, ils qualifient

d'écrire cette oeuvre ? 1. Nous allons voir dans un premier temps l'ironie de Voltaire : a. Tout d'abord sur la philosophie de Leibniz : critique de l'optimisme et de ceux qui l'enseignent pour cacher aux gens la réalité (que ce soit les horreurs de la réalité ou la réalité sur ce qui se passe autour d'eux) dans le but de les manipuler.

toutes mes oeuvres récentes, j'exprime clairement mon horreur de la caste militaire qui a fait sombrer l'Espagne dans un océan de douleur et de mort. »  Picasso. Guernica a était créé en quelques semaines, sur commande des républicains pour le pavillon Espagnol de l'Exposition universelle de Paris de 1937 (dédiée au progrès et à la paix), Guernica exprime la révolte du peintre espagnol. Cette immense toile monochrome est le symbole des horreurs de la guerre, inspiré du bombardement de la ville de

naturellement, le personnage le plus à même de révéler au lecteur les vices et les vertus de l’âme humaine, en parlant au nom de l’écrivain. Ainsi, par une habile mise en abyme, il montre le lien entre la fiction et le réel : « Enfin, toutes les horreurs que les romanciers croient inventer sont toujours au-dessous de la vérité ».  Quelle vision de la société proposent ces deux textes ? (3 points) Ces deux textes proposent, par le truchement du regard de l’avoué, une vision critique de la société

semaines par Pablo Picasso sur commande des républicains pour le pavillon espagnol de l’exposition universelle à paris en 1937 .Cet œuvre mesure 7m52 de long sur 3m51 de largeur. Il l'a peint pour montrer la violence, l’impuissance et les véritables horreurs du bombardement de la ville nommée Guernica. Contexte historique La guerre civile éclate en Espagne en 1936 entre les républicains et les nationalistes elle est dirigé par le générale Franco et soutenu par l’Allemagne et l’Italie(des états

de morts derrière elle, la guerre est à l'origine de la dictature imposée par la suite par Franco en Espagne. La derniere ville à tomber est Madrid. Le pays s'est fermé aux autres pays pour vivre en autarcie, essentiellement pour cacher toutes les horreurs due à cette dictature. Le pays d'espagne a bien dû s'ouvrir quand même aux autres pays pour survivre, mettant à jour toutes les fusillades des opposants, les meurtres, les techniques pas très légales du gouvernement. Franco n'était pas tres populaires

d’une autre image à portée universelle : celle d’une piéta ? Figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. Son enfant a les yeux vides, la tête et les bras ballants. Le soldat agonisant : Le corps du soldat est en morceaux pour montrer les horreurs de la guerre, en particulier celles des bombardements. Les traits sur les bras mettent en valeur les blessures. Il tient une épée brisée : c’est l’armée républicaine dont la résistance est brisée. Le cheval : C’est la pièce maitresse. Agonisant

aujourd'hui ? 40 PHÈDRE : Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable Je péris la dernière et la plus misérable. ŒNONE : Aimez-vous ? PHÈDRE : De l'amour j'ai toutes les fureurs. ŒNONE : Pour qui ? PHÈDRE : Tu vas ouïr le comble des horreurs. J'aime... A ce nom fatal, je tremble, je frissonne. 45 J'aime... ŒNONE : Qui ? PHÈDRE : Tu connais ce fils de l'Amazone, Ce prince si longtemps par moi-même opprimé ? ŒNONE : Hippolyte ? Grands dieux ! PHÈDRE : C'est toi qui l'as