Horreur

chose est juste et de la liberté de quelqu’un. Donc Balzac ne présente pas ces trois principes dans son monde sans sarcasme: il prend le personnage de Derville, l’avoué, avec ses expériences professionnelles pour nous dire: «Enfin, toutes les horreurs que les romanciers croient inventer sont toujours en-dessous de la vérité.» Alors, c’est quoi, «la vérité» en générale et celle de Balzac en particulier à la première moitie de son siècle ? Quand nous supposons que le besoin central

crée une impression de confusion et de déséquilibre. Les éléments nombreux font du tableau une sorte de catalogue chaotique dont le désordre est à l’image de la folie du monde. V. L’interprétation : Les horreurs de la guerre : Les mutilés et les vitrines font référence aux horreurs de la guerre (les corps blessés et les prothèses). Le tableau nous montre aussi les victimes indirectes de la guerre. L’artiste nous montre aussi la violence des contrastes sociaux entre les nantis et les

allemande. Il devient mitrailleur et combat en France notamment durant la bataille de la Somme. Il obtient la croix de fer* mais est traumatisé par les horreurs de la guerre dont il a été témoin au point d’en faire des cauchemars. A la fin de la guerre, Otto part Dresde ou il commence à adopter l’expressionisme et le collage. Il décide de peindre les horreurs de la guerre, notamment «Les Joueurs de Skat» «Le marchand d’allumettes» et «Rue de Prague ». Les peintures d’Otto abordent souvent des thèmes

« infectaient » - présente les soldats victimes comme des mauvais dont la mort est nécessaire. • Il justifie la mort des soldats par l’expression « la raison suffisante »- ce sont les effets de la guerre  • Candide découvre les horreurs de la guerre, mais veut conserver une vision positive et poursuit son chemin dans un autre village  « parti ailleurs et « raisonner … des effets et des causes » selon le ‘tout est bien’ de Leibniz 3) Une vision qui doit être remise en cause

HIDA : Comment s’exprime les horreurs de la guerre ? Titre de l’œuvre : Guernica Auteur : Pablo Picasso Il est né le 25 octobre 1881 à Malaga (sud Ouest de l’Espagne) et est décédé le 8 avril 1973 à Mougins (sud Est de la France, Provence-Alpes-Côte d’Azur). Son père s’appelait Don José Ruiz y Blanco, c’était un peintre et professeur de dessin à l’école de Malaga appelé « San Telmo » et sa mère Dona Maria est originaire d’Andalousie (la région la plus au sud de l’Espagne) et a des origines

héroïque ». 2- la découverte des horreurs de la guerre Après avoir vu son côté« héroïque », Candide découvre le côté« boucherie» de la guerre. . 2èmeparagraphe: changement de vision du héros: d'un aspect positif «des âmes» 1.10) on passe à un aspect très négatif: « tas de morts et de mourants» 1.16. découverte de l' horreur de la guerre qui ne se passe pas uniquement sur les champs de bataille mais aussi à l'arrière: dans un « village »'-(1. 16) abare horreur car les tués sont des civils innocents:

qui appartient a ce mouvement. Voltaire ecrit <<guerre>> comme un conte philosophique. C’est un conte philosophique car c’est un texte argumentatif. Le but de cette texte argumentatif est de denoncer les horreurs de la guerre. Voltaire reussit a denoncer les horreurs de la guerre avec sa description des soldats. Il emploie <<mercinaires>> pour decrier les soldats de guerre comme les meurtriers. En plus Voltaire souligne le fait qu’il pense que tous les soldats n’ont pas

d'horreur dans la tête. Les gueules cassés, les blessés grave, les morts, le sang.. et d'autres souvenir qui lui font faire des tableau les racontant. Ses œuvres viennent de son traumatisme causé par les horreurs de la guerre. En 1920 il peigna « Les joueurs de skat » qui montre encore les horreurs de la guerre, « les gueules cassés » ~ Conclusion : A travers ce tableau et bien d'autres Dix reprend le sujet de la guerre, il nous montre et nous fait ressentir l'horreur de la guerre. Ayant lui-même

sont toutes deux victimes De la sombre nuit. Passants, faites grâce à la plante obscure, Au pauvre animal. Plaignez la laideur, plaignez la piqûre, Oh ! plaignez le mal ! Il n'est rien qui n'ait sa mélancolie ; Tout veut un baiser. Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie De les écraser, Pour peu qu'on leur jette un œil moins superbe, Tout bas, loin du jour, La mauvaise bête et la mauvaise herbe Murmurent : Amour ! ----------------------------------------- Texte B - Lautréamont (1846-1870),

regard est vide, il a l’air ébahi, son habit est noir de suie et il s’accroche à son fusil comme si sa vie en dépendait. Au second plan on aperçoit des décombres (La ville de Hue ?) Cette photo nous montre un homme choqué et traumatisé par les horreurs qu’il a vu. Ce personnage nous frappe par son impassibilité et son manque de réaction. Son air hébété nous montre qu’il ne peut supporter ce qu’il a vu, ou peut être refuse t’il de croire que ce qu’il a vu est vrai ? Don Mcculin avec cette photo