Horreur

question ………………………… I- Un héros tragique, humain et impuissant vainquant son angoisse de la mort par l’affirmation de son amour pour Isabelle a) Un héros tragique, humain et impuissant proche du spectateur * « infâmes » (l.1238), « horreur » (l.1239), « les plus noirs » (l.1243) :; perte totale de confiance, pessimisme puissant, grande souffrance * Clindor critique une justice partiale, il n’est pas coupable d’avoir tué Adraste. Il a aimé au dessus de sa condition. * Champ lexical

HISTOIRE DE L’ART : PEINTURE Titre de l’œuvre : « Guernica » Pablo Picasso DATE : 1937 349,3 m x766,6m Musée de la reine Sophia, Madrid COURANT ARTISTIQUE : Le cubisme THEME : La guerre et ses horreurs. Le thème récurrent chez Picasso est le massacre des innocents. CONTEXTE HISTORIQUE : Depuis 1936 la guerre d’Espagne fait rage et oppose les républicains aux franquistes ; le bombardement de la petite ville de Guernica au nord de l’Espagne le 26 avril

ailleurs d’après Voltaire, les deux lois suprêmes, celle de la religion «  Te deum » et celles du droit public sont utilisés pour légitimer la guerre. Par l’accumulation de la description des horreurs, Voltaire illustre l’horreur de la guerre. Voltaire utilise ici l’ironie pour dénoncer les horreurs de la guerre et introduire la notion de l’existence du mal dans le meilleur des mondes.

Ecrit au XVIIIème. Il a été réédité vingt fois du vivant de l’auteur ce qui en fait un des plus grands succès littéraires français. Siècle des Lumières. Conte philosophique basé sur la philosophie de l'optimisme. Dans ce chapitre, la guerre et ses horreurs sont évoquées. Comment Voltaire dénonce-t-il la guerre ? Lecture orale Annonce du plan I – Une double vision : A – La vision de Candide : un beau spectacle Visuel : un beau spectacle pour les yeux. Champs lexical de la beautéavec aussi

(chaise, porte-manteau, le fond), le bleu (veste du soldat de droite), blanc et le rose-rouge (pour certaines blessures). L’auteur a réalisé ce portrait dans le but de montrer aux civiles les horreurs de la guerre. III) Impression/Avis sur l’œuvre : J’aime bien ce tableau car il montre bien les horreurs de la guerre et nous montre à quel point les soldats ont pu souffrir, mais je n’aime pas l’esthétique de ce tableau, je ne le trouve pas beau. En voyant ce tableau j’éprouve de la pitié pour

guerre, comme Ungaretti ne donne pas les descriptions à elle, elle occupe un espace vide dans notre langue et dans nos esprits parce qu’elle est inexplicable. C’est le vide qui suive la question qui donne le tourment interne qui a brisé le cœur, les horreurs de la guerre mène aux recherches pour les réponses et lorsqu’on ne les trouve pas dans le monde externe on tourne au monde interne, et quand on ne les trouve pas la ca mène au cœur fou et brise. Le vide ajoute au sens d’être perdu dans le monde méconnaissable

ouvrier et d’une ancienne poète. Au début de la première guerre mondiale, il s’engage avec enthousiasme dans l’armée allemande. Il obtient la croix de fer mais est traumatisé par les horreurs de la guerre dont il a été témoin. En 1930, il est professeur à l’école des Beaux-Arts à Dresde. Il décide de peindre les horreurs de la guerre, notamment des « gueules cassées », les infirmes estropiés par la guerre. Les peintures d’Otto abordent souvent des thèmes lugubres comme la mort, la vieillesse, la prostitution

curiosité malsaine » p.36 mais de comprendre ce qu’a vécu cet homme mythomane poussé dans une vie mensongère. Ce que nous allons étudier dans ce commentaire est la réponse à la question : « Comment l’évocation d’un matin banal laisse place à une horreur absolue et dévoile un meurtrier trouble ? ». Afin d’approfondir ce point de vue il est nécessaire de prendre l’extrait des pages 162 à 165 du livre. Il faut en premier lieu citer que la description des faits se déroule au tribunal afin de juger

laisser son fils entre les mains de Pyrrhus. Hector est le centre d'intérêt de l'héroïne car on voit bien l'amour qu'elle éprouve à son égard, l'amour par la flamme « Ce fils que de sa flamme il me laissera ». En outre, Andromaque se remémore les horreurs passées de la guerre de Troie. Celle-ci s'adresse à Céphise, « Quoi ! Céphise ». On pourrait penser que c'est sa confidente qui vient lui rappeler un souvenir qui perturbe Andromaque « De quel souvenir viens-tu frapper mon âme ! ». La guerre de Troie

La nuit qui précéda sa mort Fut la plus courte de sa vie L'idée qu'il existait encore Lui brûlait le sang aux poignets Le poids de son corps l'écœurait Sa force le faisait gémir C'est tout au fond de cette horreur Qu'il a commencé à sourire Il n'avait pas UN camarade Mais des millions et des millions Pour le venger il le savait, Et le jour se leva pour lui. Info : Poème dédié à la mémoire de Lucien Legros (1942-1943) élève au lycée Buffon. L'écrivain était un ami de sa famille