Horreur

été créé en quelques semaines par Pablo Picasso, sur commande des républicains pour le pavillon Espagnol de l'Exposition universelle de Paris de 1937. Elle exprime la révolte du peintre espagnol. Cette immense toile monochrome est le symbole des horreurs de la guerre, inspiré du bombardement de la ville de Guernica, le 26 avril 1937, pendant la guerre d’Espagne, par l'aviation nazie, alliée de Franco. Elle est présentée aujourd'hui au Musée de la Reine Sofia à Madrid depuis 1981 seulement. En effet

la technique du collage qui rappelle les prothèses des personnages mutilés) Habits militaires + croix de fer Les détails du décor (articles de journaux allemands sur la guerre, tête de mort dans l’ampoule, etc.) II – Une sévère critique A- Les horreurs de la guerre La technique du peintre (couleurs ternes, verdâtres) = dégout pour la scène Caricature du trait car anciens combattants = caricature vivantes (exemple : Dix représente les prothèses auditives comme un jouet : le joueur de gauche porte

ce tableau ce n’est pas répresenter des gens défigurés qui jouent aux cartes. Non. L’objectif de ce tableau est répresenter les horreurs de la guerre (spécifiquement la première guerre mondiale) et comment ils se sont adaptés à la vie quotidienne des soldats affectés par la guerre. Ces gueules cassés qui jouent aux cartes qui sont si défigurés montrent que les horreurs de la guerre sont dévenus normales dans la vie quotidienne. Ce tableau montre les erreurs su passé qui ne doivent pas se commetre

dans les termes. · Un lieu vide : « gouffre » (v.2) ; « morne » (v.3) ; « nu » (v.7), « ni » répété quatre fois au vers 8 ; « chaos » (v.11). Là encore, une gradation dans les termes. · Un lieu atroce : Références à l’horreur : « horreur » ; « blasphème » (v.4) ; « horreur » (v.9) ; « cruauté » (v.10). Ici, on a affaire au contraire du « locus amoenus » (topos du lieu paradisiaque) 2. Un Sonnet fondé sur le rien, sur le vide : Usage de la négation : Baudelaire fait un usage particulier

ensemble aux cartes, Ces trois "gueules cassées" incarnent la souffrance de la guerre. Ils sont les témoins de la guerre. En l’occurrence celles sur les combattants rescapés mais mutilés. J’ai choisi de présenter cette œuvre car ce tableau dénonce les horreurs et les souffrances de la guerre, le traumatisme et le malaise de l'après guerre. Il montre de façon choquante, exagérée presque caricaturale les conséquences de la guerre. Il dresse un regard quasi clinique, d'une violence crue. Ces personnages apparaissent

combat en France notamment durant la bataille de la Somme. Il obtient la croix de fer mais est traumatisé par les horreurs de la guerre dont il a été témoin au point d’en faire des cauchemars dans lesquels il rampe dans des maisons en ruine. A la fin de la guerre, Otto quitte Gera pour Dresde ou il commence à adopter l’expressionnisme et le collage. Il décide de peindre les horreurs de la guerre, notamment des « gueules cassées » les infirmes estropiés par la guerre ( Les Joueurs de Skat, le marchand

expérimenter leurs armes nucléaires. La ville fut complètement incendiée et rasée à 19h30 le vacarme est fini. Picasso apprend l’horreur le 1er Mai grâce à la presse ; Le jour même il décide de réaliser sa fresque sur ce thème pour montrer sa colère, son horreur, il lutte ainsi pour la paix et la liberté du pays il appellera cette œuvre : « Guernica » Cette œuvre appartient au mouvement du cubisme (Picasso fondateur du cubisme) et faite au XXème siècle. Mouvement du cubisme : http://homepage.mac

lui, Picasso ressent la nécessité de réagir aux évènements historiques. Mais Picasso ne veut pas seulement dépeindre les faits, Guernica est une oeuvre engagée. Que cherche à dénoncer Picasso ? Picasso, à travers ce tableau, a voulu dénoncer les horreurs des conflits et des guerres, surtout lorsque les victimes sont des civils.Il alerte et prend à témoin toute la communauté internationale. Pour que son message soit très clair, il accumule des symboles que tout le monde peut comprendre Même si un

prisonniers. Tout au long de ce récit, il montre les horreurs de la déshumanisation des camps de la mort nazis. J’ai choisi ce livre car son titre m’a tout de suite interpellé. En effet, ce dernier m’a amené à penser que ça ne serai pas un simple témoignage mais une réelle réflexion sur l’humanité et ses failles. De plus, cet événement historique m’a toujours profondément marqué et je me questionnais sur la nature du premier témoignage des horreurs d’Auschwitz. Ce qui m’a fortement marqué c’est

apparaissent. Ce sont les restes de maisons écroulées ou calcinées. On ne repère aucune | |trace de présence humaine. Ceci évoque les ravages causés par les bombardements comme à Verdun par exemple. Au premier plan c'est la tranchée dans toute son | |horreur et son inhumanité qui est évoquée. En bas à droite, on voit un amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés, surplombé par un cadavre, à la bouche| |ouverte d'où jaillit un vers, et à la peau parsemée de pustules qui évoquent tout à la fois le