Horreur

ne pouvais supporter qu'une telle dégradation frappe ma mère » (p.11), et « ce n'était pas la femme que j'avais connue » (p.13). Le terme « horreur » est régulièrement employé. Il apparaît la première fois lorsque l'auteur la voit nue pour la première fois: « cette horreur de la voir nue, de dos (...) » (p.24), « mon sadisme me fait horreur » (p.28) « Horreur, trop de déchéance, d’animalité » (p.88) « (…) l'horreur non seulement n'a plus d'importance, mais elle est devenue nécessaire » (p.101). On

renversé, Ensanglantant l'autel qu'il tenait embrassé ?». Ensuite elle vas évoquer la dernière nuit de Troie dans les vers 997-1005 : « à cette nuit cruelle », « Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle » , « nos palais brûlants », « ses horreurs » Elle va après, en troisième temps se concentrer sur son bourreau, Pyrrhus, du vers 999-1002 : « Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants », « Sur tous mes frères morts se faisant un passage ». Puis va peu après enchainer en évoquant des sons

écho, tout vif Enterré, là, sous le massif… – Ça se tait : Viens, c’est là, dans l’ombre… – Un crapaud ! – Pourquoi cette peur, Près de moi, ton soldat fidèle ! Vois-le, poète tondu, sans aile, Rossignol de la boue… – Horreur ! – … Il chante. – Horreur !! – Horreur pourquoi ? Vois-tu pas son œil de lumière… Non : il s’en va, froid, sous sa pierre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bonsoir – ce crapaud-là c’est moi.               Ce soir, 20 Juillet.  Tristan Corbière - Les

églises derrière l’hôtel, son utilité est pour prier et représenter la passion du christ marie le saint du paradis. Il commence à peindre ses plus célèbres œuvres dix ans après le premier conflit (1930 ; 1940), il peint des toiles illustrants les horreurs de la guerre : (mutilations, retour des soldats blessés, champs de bataille etc.……) et enfin Dix achève le tableau le 30 janvier 1933, il le met en lieu sûr et le ferme. DESCRIPTION DU TABLEAU Panneau de gauche : soldats dans

dévalorisation de l’Homme + « te deum » -> chant religieux ->mise en cause de l’alibi religieux dans la guerre -> religion qui cautionne les horreurs de la guerre III. Vision réaliste et pathétique de la guerre •CL de la mort, non-distinction des morts et des mourants, non-assistance à ceux qui sont en train de mourir+ absurdité de la guerre car les deux clans vivent la m^horreur + voc juridique donnant une connotation rationnelle, ironie car justification des tueries par la loi + le massacre touche toute

roi des porcs est donc une caricature ordurière, représentant Emile Zola, défenseur de Dreyfus. Cette caricature a été réalisée en 1899 par Victor Lenepveu. Elle fait partie d’une série de 51 caricatures, cette collection est intitulée le musée des horreurs. C’est d’ailleurs la 4e œuvre sur les 51. On peut remarquer que le dessin n’est pas conforme aux représentations caricaturales classiques de l'époque, car le visage du personnage n'est absolument pas déformé, au contraire, on peut même dire qu’il

nourrissent les curés) : leur père les nourrit toujours, même s’ils ne pensent pas ou justement parce qu’ils ne pensent pas. La science elle-même, d’ailleurs, a éprouvé l’ « horreur sacrée » à des époques où elle n’était pas encore la science selon sa propre définition actuelle. On a des témoignages écrits de cette horreur chez les premiers anatomistes ; bien que ne craignant plus Dieu depuis longtemps, longtemps après ils eurent à craindre la police. Il ne fait plus guère de doute qu’il existe

guerre sont les mêmes. Dans chaque pays impliqués dans la guerre, il existe ce qu’on appelle la propagande. Mais la propagande est souvent qu’une illusion, loin de la réalité. Tout d’abord, parmi plusieurs peintres et les auteurs qui ont décrit les horreurs de la guerre 14-18, il y a un peintre en particulier que nous connaissons bien, Otto Dix. Il a peint plusieurs tableaux pour montrer au monde entier les catastrophes et le chaos de la guerre. Ses œuvres touchent le public particulièrement puisqu’il

césure du premier hémistiche ce qui accentue l'hésitation de Médée. Elle évoque l'ambivalence de ses sentiments en opposant des termes tels que amour/colère, j'adore/horreur. Médée ne sait pas si ses enfants doivent être épargnés ou non. Pour cela, elle emploie des phrases contradictoires: "J'adore les projets qui me faisaient horreur.", (v.1344) "D'éaprgner des enfants que je ne verrais plus." (v.1348) "Il me prive de vous et je vais l'en priver. Mais ma pitié renait et reviens me braver" (v.1351-1352)

-Tout y est mort et anéanti comme les maisons au second plan qui sont complètement détruites, il n’en reste que des ruines. Seul un paysage désertique apparait derrière sans aucune trace de vie. -Au premier plan on voit les tranchées dans toute leur horreur avec des cadavres en pagaille. - Otto Dix a voulu représenter par une métaphore les arbres à fruits qui sont désormais des arbres à cadavres dont le tronc est en fer parce que tout le naturel et toute la végétation a disparue pour laisser place aux