Horreur

diable » l26 « des rires frénétiques partirent de tous côtés » l55 « neuf mois après […] le front » l81 Le doute, la peur, l’inquiétude : « effrayait » l11 « on crut » l15 « intrigué » l55 « effroi » l57 « ses cheveux se dresser » l58  « peur » « horreur » l61 Maintien de l’ambiguïté : explication rationnelle : l’enfant a une malformation de naissance et il s’est fait kidnapper. Absence d’explication : l’enfant est le fils du diable, celui là hante ses parents et à enlever l’enfant. Le texte s’inscrit

cet enfer » est une métaphore. b/ La bataille de Verdun est comparé à un enfer et ce, sans aucun outil de comparaison. Il s’agit bien d’une métaphore. Le terme « enfer » a de nombreuses connotations qui peuvent faire frémir le destinataire : «horreur », « mal absolu », « souffrance », «châtiment divin »… a/ Les deux adjectifs qualificatifs synonymes sont « « terribles » et « horribles ». b/ Les termes appartenant à la famille du mot « terrible » sont les suivants : terriblement

alors que nous sommes acteurs de toute cette horreur. Vous me semblez totalement aveuglé par les faux discours que nos supérieures nous récitent à longueur de tem… » Un boulet atterri non loin du lui, l’explosion le cloua au sol et l’assourdi un instant. Lorsqu’il se releva, le jeune soldat repris sans changé de ton alors que tous les autres commençaient à s’agiter face à une menace grandissante qui les dominait et les écrasait : « - Est-ce une horreur que de défendre sa patrie face à tous ces

Si l'on prend un peu de recul par rapport à l'européo-centrisme, on peut voir dans ce conflit comme une véritable guerre civile européenne. Avec tous les déchaînements de violence et toutes les horreurs qu'une guerre civile peut engendrer. En cela, elle prépare et habitue les esprits aux autres horreurs qui vont suivre dans l'entre-deux-guerres et surtout durant le second conflit mondial. Si ce premier conflit marque la fin d'un monde c'est donc aussi la fin de la primauté du continent européen

Nature de l’œuvre : Peinture à l’huile et collage sur toile. Dimensions : 101x81cm - La scène représentée est cadrée, oblique, ce qui donne une impression de déséquilibre. Que raconte l’œuvre : Les mutilés et les vitrines font référence aux horreurs de la guerre. Le tableau nous montre aussi les victimes indirectes de la guerre : l’orpheline (en haut à droite du tableau). L’artiste nous montre aussi les contrastes sociaux entre les riches et le mendiant. On voit que les regards ne se croisent

anti-franquistes. «« La peinture n'est pas faite pour déécorer les appartements. C'est un instrument de guerre offensive et dééfensive contre l'ennemi »» Picasso Picasso a voulu exprimer dans cette œSuvre la démembrement du monde en proie aux horreurs de la guerre. Les Joueurs de cartes : Le courant artistique : l’expressionnisme L’artiste expressionniste livre sa vision de la réalité. Il laisse libre cours à son inspiration et exprime ses sentiments. Son travail interpelle, interroge ou

d’Emma un aspect dramatique au sens théâtral du terme. Flaubert joue sur les rythmes, alternant phases lentes et phases accélérées II Une mort violente - les réactions du corps suscitent une certaine horreur, qui vient s’opposer à la beauté qui était celle d’Emma autrefois Cette horreur est redoublée par l’insistance sur le bruit, bruit que Bournisien et Bovary semblent vouloir étouffer, l’un par ses oraisons, l’autre part ses sanglots. - La deuxième partie du texte ne renvoie plus au corps

la guerre civile et l'histoire personnelle de l'artiste : Le gouvernement républicain espagnol commande, pour son pavillon de l'exposition universelle de 1937 à Paris, un tableau de Picasso. Les bombardements à Guernica l’inspirent à peindre les horreurs de la guerre civile espagnole. 2) Histoire des habitants de Guernica lors la guerre civile en Espagne: _En juillet 1936, le général Franco prend la tête du soulèvement nationaliste contre le gouvernement républicain du Front populaire, il dirige

à 2 coups » de Voltaire. texte commence par 2 parties au ton très différents : d’un côté le récit, sur un ton détaché, de la bataille, de l’autre les horreurs des conséquences de la bataille. Candide, au milieu, est surtout un témoin. I. la feinte valorisation de la guerre : une dénonciation de l’illusion optimiste II. les horreurs de la guerre III. Candide dans la guerre la feinte valorisation de la guerre : une dénonciation de l’illusion optimiste 1) le spectacle

vos soupirs     Adieu ! voici le boute-selle     Il disparut dans un tournant     Et mourut là-bas tandis qu'elle     Riait au destin surprenant Guillaume Apollinaire (1880 - 1918) Guerre qu'Apollinaire : "Ne pleurez donc pas sur les horreurs de la guerre Avant elle nous n'avions que la surface De la terre et des mers Après elle nous aurons les abîmes Le sous-sol et l'espace aviatique Maîtres du timon Après après Nous prendrons toutes les joies Des vainqueurs qui se délassent