Horreur

d’horreur, de consternation, de vision traumatisante. L’artiste cherche à choquer, à marquer les esprits tout en décrivant sans réserve les horreurs des camps.  Ce qui fait son originalité est que tout est en noir et blanc, que les personnages sont des animaux mais surtout que c’est une bande dessinée qui raconte des faits historiques sans cacher les horreurs faites à cette époque. .On a une référence aux animaux dans le titre « Mauschwitz to the Catskills » qui nous fait penser à une souris pour

Otto Dix : 1891, 1969 né en allemagne. Engagement dans l'armée : participe à la première GM. Expressionniste ( mouvement ou tendance cherchant à exprimer les entiments et les émotions plutôt qu'à décrire la réalité ou la nature de façon objective.) horreur de la guerre va le marquer → libération en peignant carnage + conséquences. / ses œuvres : choquantes ou dégénérées → une partie brulée ou retirée des musées par les nazis. Contexte historique : 1920 → suitre à le 1ere G.M : l'allemagne a perdu

volontairement en tant que soldat durant la 1ère guerre mondiale. Il a vécu l’horreur des tranchées et la violence des combats. Il est ainsi témoin privilégié de cette guerre dont il revient traumatisé. A son retour du front, il entreprend de représenter les horreurs de la guerre, dans le but d’exposer crûment au public la souffrance humaine, les atrocités de guerre, mais aussi entretenir la mémoire des évènements tragiques pour les générations à venir. La guerre devient un thème majeur de son œuvre, à travers

d'automates avec lesquels on s'amuse. L'imprécision désinvolte: “a peu prés six mille hommes” ligne 5,6 traduit avec humour le regard détaché du jeune philosophe. Tout le passage est une illustration des leçons de Pangloss. La guerre est débarrassée de son horreur par un langage qui la justifie : la tournure philosophique “otâ du meilleur des mondes” ligne 7 est un euphémisme trompeur (l'euphémisme est une figure de style qui consiste à adoucir par l'expression une idée désagréable); en évitant le terme juste

encore en moi. Elles m’avaient appris le combat, la terreur et l’ivresse de survivre. Elles m’avaient appris la rapidité de l’assassin et la patience du chien. On ne fait pas un homme avec cela. Nous n’étions plus des hommes. » Ne pensant qu’aux horreurs qu’il a vues et vécues, et dénonçant le manque d’humanité entre soldats, il part en Afrique en quête de tranquillité et d’oubli, y devient marchand d’armes, accumulant les trafics de tous genre, « incandescent », n’ayant pas d’autre choix. Les populations

s'étant propagé, il a détruit 70% des habitations. Il y eu environ 1 600 morts durant cette attaque. PICASSO décide de témoigner de ce drame à travers un tableau qui sera présenté à l'Exposition Universelle de Paris en 1937 afin de dénoncer les horreurs de la guerre. Pablo PICASSO est un artiste engagé. Il commence les études du tableau, c'est à dire les esquisses, le 30 avril 1937. PICASSO mettra un mois pour réaliser le tableau. Le tableau : Ce tableau est fait de peinture à l'huile.

même tas (vie et mort ne font plus qu’un), l’effet d’accumulation ou la surenchère dans le malheur renforce ce registre pathétique notamment avec cet effet oxymorique : « mamelles sanglantes »de plus ce qui pourrait être de l’ironie devient simple horreur : « demi-brulé », « cervelles ». B. La religion comme facteur de guerre On peut observer, dans un second temps, que la religion est définie comme facteur de guerre avec les deux rois qui chantent des Te Deum qui sont des chant latin

Voltaire utilise des expressions approximatives : «à peu près» (l.2 et 3) et «le tout pouvait se montrer à une trentaine de mille âmes» (l.5). II – Les procédés Comme dans le chapitre 1 Voltaire utilise Candide pour nous faire découvrir les horreurs de la guerre. Pour cela il emploie les temps de la description des verbes à l'imparfait «était» (l.1), «infectaient», (l.4) et «faisaient» (l.7) etc. La description réaliste de la guerre fait un répertoire des victimes : femmes, enfants, vieillards

Pour cette raison, depuis 1985, une reproduction de Guernica siège à l'entrée du Conseil de sécurité des Nations unies à New York. Elle y a été placée pour rappeler les horreurs de la guerre. Il est un appel constant, pour nous tous, de l’horreur de la guerre. Pacifiste convaincu, Picasso a toujours pris parti contre les horreurs commises.

nous sommes dans la caricature. Pourtant c’est une peinture réaliste : les anciens combattants, « gueules cassées », se retrouvent entre eux. Ce sont des victimes de guerre. La société civile ne peut les regarder. L’auteur dénonce la guerre, ses horreurs, les souffrances morales et physiques, la solitude de ceux qui en ont gardé l’empreinte. Pour les formes, nous observons des corps brisés, tordus, ces hommes n’ont plus rien d’humain. Au premier plan les couleurs vives attirent l’œil du spectateur