Hugo Le Crapaud

Quelles images les poètes donnent ils d'eux même dans ces textes ? Ce corpus est composé de trois poèmes, « Fonction du poète » Les rayons et les ombres de Victor Hugo, « L'albatros » Les Fleurs du Mal de Baudelaire, « Le crapaud » Les Amours jeunes de Tristan Corbiere. Ces poèmes montrent la places des poètes dans la société, On voudra donc savoir quelles images donnent ils deux même. On va voir premièrement les points négatifs, la façon dont ils interprètent le regard des autres. Deuxièmement

Le texte A « Une charogne » est extrait du recueil Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire (1861) ce poème est un quatrain tout comme le texte C « J'aime l'araignée ». Ce poème est tiré du live Les Contemplations de Victor Hugo écrit en 1856. Le texte B est un sonnet « Le Crapaud » (1873) du recueil Les Amours jaunes de Tristan Corbière. A la lecture de ces poèmes nous pouvons voir comment les différents auteurs ont contrasté le beau et le laid. Nous nous demanderons alors quels moyens sont mis en

Anthologie Poétique La dénonciation dans La Légende des siècles De Victor Hugo Anthologie Poétique La dénonciation dans La Légende des siècles De Victor Hugo Source : La Légende des siècles, édition Gallimard Sommaire : Sommaire : * Poème n°1 : Chapitre VI Après les Dieux, les rois, II De Ramire à Cosme de Médicis, « Le Romancero du Cid », VII « Le roi fourbe » * Poème n°2 : Chapitre XV Les chevaliers errants, II Eviradnus, VI « Les deux voisins » (extrait) * Poème

Résumé Lecture méthodique entièrement rédigée du poème Le Crapaud, dans la perspective de la préparation à l'oral de l'épreuve anticipée de Français. Les idées essentielles sont soulignées, ainsi que l'analyse des procédés stylistiques à l'oeuvre dans l'écriture poétique de Hugo, de manière à faciliter la constitution de fiches de révision. Extrait: Hugo et sa famille, lors de leur séjour à Jersey, organisèrent des séances de spiritisme (tables tournantes) au cours desquelles ils entraient

Français : la poésie. Question : En quoi ces poèmes sont-ils provocateurs ? Ce sujet portant sur la poésie est constitué d'un corpus de quatre poèmes (dont un extrait), écrits dans la seconde moitié du XIX ème siècle entre 1856 pour celui de Victor Hugo et 1887 pour celui de Germain Nouveau. Cette époque est encore fortement marquée par la poésie classique et la poésie romantique du début du XIX ème siècle. Ces poèmes qui sont pour certains les précurseurs de la poésie moderne et surréaliste sont

lyrisme a évolué à travers les siècles est s'est vue éclipsée par d'autres genres littéraires, comme au XVIIe siècle en France, mais existe encore de nos jours. Les auteurs lyrique les plus connus sont Alfred de Musset avec les Nuits ou encore Victor Hugo avec les Contemplations. Les poètes artistes étaient également assez nombreux au XIXe siècle: Théophile Gautier, Théodore de Banville ou encore Mallarmé ... La forme, et l'aspect général du poème étaient alors prioritaires. Les phrases étaient travaillées

printemps cherche les vieilles tours. La Coccinelle. Le Hibou. J'aime l'araignée et j'aime l'ortie. Une groupe tout à l'heure était la sur la grève... Le Crapaud. La Méridienne du lion. Les oiseaux. A des oiseaux envolés. A un homme partant pour la chasse. 3- Biographie des auteurs en l’occurrence la, il n'y a que Victor HUGO. 4- Conclusion. Bilan du parcours de cette anthologie. L'apport de ce travail. 1 - Préface: La poésie

hideuse, comme une verrue. Quelquefois une énergie singulière, un pittoresque effrayant [...]. Quelquefois de l’esprit de vaudeville [...]; et puis partout des mots bizarres, mystérieux, laids et sordides, venus on ne sait d’où [...]. On dirait des crapauds et des araignées. Quand on entend parler cette langue, cela fait l’effet de quelque chose de sale et de poudreux, d’une liasse de haillons que l’on secouerait devant vous.» (Ch.V, §3) «[...] Le patois de la caverne et du bagne, cette langue

Classes de 1res S et ES   Correction de l’examen de février  Question sur le corpus.  Le  corpus  réunit  quatre  poèmes  composés  dans  la  seconde  moitié  du  XIXè  siècle  dans  lesquels les poètes font l’éloge d’un animal ou d’un objet repoussant. Ainsi Victor Hugo se  fait‐il  le  défenseur  de  l’araignée  et  de  l’ortie  dans  « J’aime  l’araignée »  extrait  de  Les  Contemplations publiées en 1856. Baudelaire décrit une charogne repoussante dans « Une  charogne »  tiré  du  recueil   Les  Fleurs  du  Mal  

l’enfer est dans son cœur. (Henriade, Voltaire) 2 - Le taudis où son regard plongeait en ce moment était abject, sale, fétide, infect, ténébreux, sordide (Les Misérables de Victor Hugo) 3 - Le crapaud, sans effroi, sans honte, sans colère, / Doux, regardait la grande auréole solaire ; (« Le crapaud » de Victor Hugo) 4 - [...] il récite des historiettes qui y sont arrivées ; il les trouve plaisantes, et il en rit le premier jusqu’à en éclater (Arrias de La Bruyère) 5 - Ces mots ineptes claquèrent